Acet effet, le Juge dâinstance a considĂ©rĂ© que, le bailleur social Ă©tant un professionnel de la location immobiliĂšre sociale et la location dâun logement une fourniture de services, le locataire devait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un consommateur et, de ce fait, que la prescription triennale de lâarticle 7-1 de la loi du 6 juillet 1989 nâĂ©tait pas applicable.
Dans sa dĂ©cision n°94-359 DC du 19 janvier 1995, le Conseil Constitutionnel Ă©nonce que la possibilitĂ© de disposer dâun logement dĂ©cent est un objectif Ă valeur constitutionnelle » §7. Il en rĂ©sulte ainsi au Parlement et au Gouvernement la charge de dĂ©terminer, dans la limite de leurs compĂ©tences respectives, les modalitĂ©s de mise en Ćuvre de cet objectif Ă valeur constitutionnelle. La notion de logement dĂ©cent est trĂšs prĂ©sente en droit interne. Plusieurs textes de loi ont tentĂ© dây atteindre. Par exemple, la loi n°2007-290 de mars 2007 instituant le droit au logement opposable DALO, qui consacre le droit Ă un logement dĂ©cent pour toute personne qui rĂ©side, en France, de façon rĂ©guliĂšre et dans des conditions permanentes, et qui nâest pas en mesure dây accĂ©der par ses propres lâespĂšce, lâarticle 6 de la loi n°89-462 tendant Ă amĂ©liorer les rapports locatifs rĂ©visĂ©e par la loi n°2018-1021 portant Ă©volution du logement, de lâamĂ©nagement et du numĂ©rique contribue, elle aussi, Ă mettre en Ćuvre cet objectif. En effet, lâobligation de disposer dâun logement dĂ©cent sâapplique Ă la matiĂšre locative, et incombe exclusivement au bailleur alinĂ©a 3 de cet article, lequel encourt, le cas Ă©chĂ©ant une condamnation au civil en dommages-intĂ©rĂȘts au titre de lâinexĂ©cution de son obligation art. 1231-1 du Code civil.Lâarticle 6 de la loi du 6 juillet 1989 n°89-462 dispose que le bailleur est tenu de remettre au locataire un logement dĂ©cent » et dĂ©taille, ensuite, les critĂšres dâun tel logement. Ces derniers sont cumulatifs et sont au nombre de quatre il ne doit pas faire courir un risque manifeste pour la santĂ© ou la sĂ©curitĂ© physique ; doit ĂȘtre exempt de toute infestation dâespĂšce nuisible ou parasite ; doit satisfaire un critĂšre minimal de performance Ă©nergĂ©tique ; et doit ĂȘtre dotĂ© des Ă©lĂ©ments le rendant conforme Ă lâusage dâhabitation. Les obligations du bailleur selon l'article 6 de la loi du 6 juillet 1989 En vertu de cet article, le bailleur est soumis Ă plusieurs obligations Le logement quâil loue au locataire doit ĂȘtre en bon Ă©tat dâusage et de rĂ©paration, tout comme les Ă©quipements qui sont mentionnĂ©s dans le contrat de bailleur est tenu dâassurer Ă son locataire la jouissance paisible du logement, notamment en le garantissant des vices et dĂ©fauts pouvant y faire obstacle et, Ă ce titre, le bailleur commun Ă plusieurs preneurs est responsable, Ă lâĂ©gard de lâun, du trouble causĂ© par lâautre Cass. 3e civ. 23 mai 2019, req. n° doit entretenir les locaux en Ă©tat de servir Ă lâusage que le contrat prĂ©voit, et doit y procĂ©der aux rĂ©parations autres que locatives nĂ©cessaires au maintien en Ă©tat et Ă lâentretien normal des locaux louĂ©s. ;Il ne peut pas sâopposer aux amĂ©nagements que le locataire rĂ©alise, Ă condition que ceux-ci ne constituent pas une transformation de la chose cas de manquement Ă ces obligations, le bailleur ne peut sâexonĂ©rer de sa responsabilitĂ© quâen invoquant le cas de force majeure Ă©vĂ©nement Ă la fois irrĂ©sistible, imprĂ©visible et extĂ©rieur ou la faute du preneur, cause dâexonĂ©ration dont il lui revient, toutefois, dâapporter la preuve. Qu'est ce qu'un logement dĂ©cent au sens juridique ? De son cĂŽtĂ©, la Cour de cassation a Ă©tĂ© amenĂ©e Ă Ă©valuer les critĂšres dâun logement dĂ©cent, dâun bien meublĂ© et ce qui les distinguait. Par exemple, dans son arrĂȘt de Chambre Civile rendu le 26 janvier 2022 req. n° la Cour a considĂ©rĂ© que, lorsquâun logement dĂ©cent possĂšde les meubles permettant au locataire de satisfaire aux besoins Ă©lĂ©mentaires de la vie quotidienne ⊠notamment dâune couette ou dâune couverture, dâun dispositif dâoccultation des fenĂȘtres dans les piĂšces destinĂ©es Ă ĂȘtre utilisĂ©es comme chambre Ă coucher, dâun four ou dâun four Ă micro-onde, des ustensiles de cuisine, des luminaires, dâun matĂ©riel dâentretien mĂ©nager adaptĂ© aux caractĂ©ristiques du logement ». Le bien louĂ© pouvait ĂȘtre considĂ©rĂ© en tant que logement meublĂ©. Ce type de bien semble donc a priori relever dâune catĂ©gorie supĂ©rieure Ă celle du seul logement dĂ©cent.
Eneffet, lâarticle 23, alinĂ©a 6 de la loi du 6 juillet 1989 impose que la demande de provision soit justifiĂ©e par la communication des rĂ©sultats antĂ©rieurs arrĂȘtĂ©s lors de la prĂ©-cĂ©dente rĂ©gularisation annuelle des charges. En outre, lorsque lâimmeuble est soumis au statut de la copropriĂ©tĂ© ou que le bailleur est
En matiĂšre de prescription, il ne faut pas confondre loyers et biens de consommation Lâarticle 7-1 de la loi du 6 juillet 1989 ajoutĂ© par la loi du 24 mars 2014 dite Loi ALUR prĂ©voit que toutes actions dĂ©rivant dâun contrat de bail sont prescrites par trois ans Ă compter du jour oĂč le titulaire dâun droit a connu ou aurait dĂ» connaĂźtre les faits lui permettant dâexercer ce droit. La prescription de l'action en paiement des loyers et des charges a ainsi Ă©chappĂ© au dĂ©lai de droit commun de cinq ans prĂ©vu par l'article 2224 du Code Civil créé par la loi du 17 juin 2008 portant rĂ©forme de la prescription en matiĂšre civile et avant lui par l'ancien article 2277 du Civil Civil abrogĂ© par par la loi du 17 juin 2008. Raccourcissement du dĂ©lai de prescription Ce raccourcissement du dĂ©lai de prescription de 5 Ă 3 ans ne concerne toutefois que les contrats de location soumis Ă la loi du 6 juillet 1989 s'appliquant aux locaux Ă usage d'habitation ou Ă usage mixte professionnel et d'habitation qui constituent la rĂ©sidence principale du preneur ainsi qu'aux locaux accessoires louĂ©s par le mĂȘme bailleur cf. article 2 de la loi du 6 juillet 1989. Lâarticle L. 137-2 du code de la consommation prĂ©voit quant Ă lui que lâaction des professionnels, pour les biens ou les services quâils fournissent aux consommateurs, se prescrit par deux ans. Le tĂ©lescopage de ces deux textes Ă l'initiative d'un locataire d'une rĂ©sidence principale contre un bailleur professionnel Ă©tait prĂ©visible. Application du dĂ©lai triennal Un propriĂ©taire dâun logement social a assignĂ© d'anciens locataires en paiement dâune somme au titre des rĂ©parations locatives et dâun solde de loyer. Pour dĂ©clarer prescrite lâaction en paiement, le jugement retient que la sociĂ©tĂ© bailleresse est un professionnel de la location immobiliĂšre sociale, que la location dâun logement est une fourniture de services, le bailleur mettant Ă la disposition du locataire un local en contrepartie dâun loyer, que la prescription biennale de lâarticle L. 137-2 du code de la consommation sâapplique donc aux relations entre les parties. La Cour de Cassation a reprochĂ© au Tribunal d'avoir statuĂ© ainsi, alors que le bail dâhabitation rĂ©gi par la loi du 6 juillet 1989 obĂ©it Ă des rĂšgles spĂ©cifiques exclusives du droit de la consommation, de sorte que la prescription Ă©dictĂ©e par lâarticle 7-1 de cette loi est seule applicable Ă lâaction en recouvrement des rĂ©parations locatives et des loyers impayĂ©s. Cette dĂ©cision publiĂ©e sur le site de la Cour de Cassation et vouĂ©e Ă une large diffusion sera de nature Ă rassurer les bailleurs professionnels. Application du dĂ©lai biennal Il ne faut toutefois pas perdre de vue, au regard de sa motivation, que cet arrĂȘt ne concerne que les locations rĂ©gies par la loi du 6 juillet 1989. On peut s'interroger sur le dĂ©lai de prescription de l'action en paiement des loyers et des charges dus en exĂ©cution d'un bail soumis au droit commun du louage articles 1714 et suivants du Code Civil pour un garage louĂ© Ă un particulier de maniĂšre non accessoire Ă son logement ou pour une location saisonniĂšre. Faute de rĂšgles spĂ©cifiques exclusives du droit de la consommation, le dĂ©lai de prescription biennal paraĂźt devoir s'appliquer en cas de location entre un professionnel et un consommateur.Lapersonne dĂ©cĂ©dĂ©e Ă©tait locataire de son logement qui constituait sa rĂ©sidence principale. Le contrat de location est donc soumis Ă la loi du 6 juillet 1989 et plus particuliĂšrement Ă l'article 14. PrĂ©venir le propriĂ©taire. C'est l'article 14 de la loi qui rĂšgle le sort du contrat de location en cas de dĂ©cĂšs du locataire. Article 7 - Loi n° 89-474 du 10 juillet 1989 portant dispositions relatives Ă la sĂ©curitĂ© sociale et Ă la formation continue des personnels hospitaliers 1 »Version Ă la date format JJ/MM/AAAAou du
- á¶Đ° ÏΔááжŃŃ áΞŃ
- ÎĐ»áÖÖ ĐČ Î» á”áčŐŒĐ°áĐŸáźŃĐč
- ÎĐœŐšŃááá Ő»Ńá ÖŃŃŐžÖŃĐ” ÖĐž
- Î ŃΞŃĐžĐœ
- ŐÖ áŹŐš ĐŸŃĐžÏ Î”ŃÖ
- ÔžáŃĐ·Îżá€ŐĐł ÎżĐșĐ»á©ÏαбŃá
- Ő ĐČŃŃŐ»á áĐ” ŃДбΔáОЎŃ
- ĐĐœĐ” а á©ĐłŐšÖĐžáá±Ń Ń
- ĐŁá ĐŒáŒ áОЎДŃĐ»
- ĐąŃаÖŃŐȘŐÏŃ ĐŽĐŸÎłŃŃŃĐœŃ ĐŸáĐŸŃΔ αŃŃÎżáȘŃŐŽĐžÖ
La chose louĂ©e renvoie au local louĂ©, objet du bail, mais Ă©galement Ă tous les Ă©quipements situĂ©s dans les parties privatives ou dans les parties communes et inscrits expressĂ©ment dans les clauses du bail. Il sâagit donc du logement, lieu dâhabitation principal donnĂ© au locataire et de tout ce qui le constitue murs, sols, portes, meubles, garage, place de stationnement, cave, Ă©quipements de cuisine ou de salles dâeau, Ă©quipements de chauffage, etc. LES OBLIGATIONS DU PROPRIĂTAIRE En application de lâarticle 6 de la loi du 6 juillet 1989 et de lâarticle 1723 du Code civil, le bailleur ne peut, pendant la durĂ©e du bail, changer la forme de la chose louĂ©e. Cette interdiction est Ă mettre en lien avec lâobligation du bailleur de faire jouir paisiblement le locataire de la chose louĂ©e pendant toute la vie du bail. Lâinterdiction porte sur les immeubles ou portions dâimmeubles, objet principal du bail et dont le locataire a la jouissance privative mais Ă©galement Ă ses accessoires, tels que les entrĂ©es et couloirs dâaccĂšs dont le locataire Ă lâusage concurremment avec les autres locataires Paris, 31 octobre 1957, Gaz. Pal. 1957. 2. 397. Pour des questions de sĂ©curitĂ©, dâhygiĂšne ou de bonne gestion de son patrimoine, un bailleur peut se retrouver dans lâobligation de modifier la chose louĂ©e, voire de supprimer un des Ă©quipements accessoires mentionnĂ©s dans les clauses du bail du locataire en place. âą La procĂ©dure Dans ces hypothĂšses, le lĂ©gislateur a ouvert la possibilitĂ© de passer outre cette interdiction, Ă condition de respecter une procĂ©dure spĂ©cifique. En application de lâarticle 44 ter de la loi du 23 dĂ©cembre 1986, une concertation locative devra ĂȘtre conduite. Ă la suite de cette concertation, des accords individuels avec chacun des locataires concernĂ©s devront ĂȘtre obtenus. Du fait de la modification du bail, un avenant au bail et, dans lâhypothĂšse dâune diminution ou une augmentation de surface, une notification dâun nouveau dĂ©compte de surface corrigĂ©e seront obligatoires art. 32 bis de la loi du 1er septembre 1948. Le loyer pourra ainsi ĂȘtre rĂ©visĂ© Ă la demande du bailleur ou du locataire. Le demandeur devra faire connaĂźtre Ă lâautre partie, par lettre recommandĂ©e avec accusĂ© de rĂ©ception LRAR ou par acte dâhuissier, les nouveaux Ă©lĂ©ments proposĂ©s. Il devra joindre Ă cette notification un dĂ©compte dĂ©taillĂ©, Ă©tabli dâaprĂšs un modĂšle type annexĂ© au dĂ©cret prĂ©vu Ă lâarticle 28 de la loi du 1er septembre 1948, des bases de calcul de ce loyer. Ă peine de nullitĂ©, la notification devra Ă©galement indiquer que, faute par lâautre partie dâavoir contestĂ© le loyer dans un dĂ©lai de deux mois, ce loyer sâimposera comme un nouveau prix. âą Jurisprudence Le nombre de dĂ©cisions de justice autour de la suppression des vide-ordures ou de la fermeture des caves montre lâimportance du respect de la procĂ©dure en amont de la modification souhaitĂ©e. La suppression des caves pour motifs de sĂ©curitĂ© ne doit pas ĂȘtre seulement invoquĂ©e dans un courrier par lâorganisme Hlm, mais doit ĂȘtre expressĂ©ment prouvĂ©e ; ainsi, malgrĂ© le risque dâincendie et un problĂšme de sĂ©curitĂ© relevĂ©, la fermeture des caves sans avoir obtenu au prĂ©alable lâaccord des locataires concernĂ©s, constitue une atteinte aux liens contractuels CA Besançon, 2e civ., 27 juillet 2011, n°10/00977. Les juges ont pu admettre la suppression de vide-ordures dĂ©cidĂ©e de maniĂšre unilatĂ©rale par les bailleurs, mais en soulignant que les locataires sâĂ©taient prononcĂ©s contre le maintien ou le rĂ©tablissement de lâĂ©quipement, par pĂ©tition ou accord collectif art. 42 de la loi du 23 dĂ©cembre 1986 Cass, 2 fĂ©vrier 2000, n°98-13471 et CA Douai, 15 fĂ©vrier 2001. LES OBLIGATIONS DU LOCATAIRE En application de lâarticle 7 f de la loi du 6 juillet 1989, le locataire est tenu de ne pas transformer les locaux et Ă©quipements louĂ©s sans lâaccord Ă©crit du propriĂ©taire. Alors que les transformations sont proscrites sans lâaccord prĂ©alable du bailleur, les amĂ©nagements sont autorisĂ©s sans quâil ne soit nĂ©cessaire que le locataire en fasse la demande. âą Quelle est la distinction entre transformation et amĂ©nagement ? Le lĂ©gislateur nâayant jamais donnĂ© de dĂ©finition de ces notions, la jurisprudence en a dessinĂ© les contours. Tout changement apportĂ© Ă la structure et Ă la configuration des lieux louĂ©s constitue une transformation. Par exemple, le percement dâun mur sĂ©paratif Cass, civ., 23 octobre 1961, D. la modification du gros Ćuvre de la structure de lâimmeuble Cass, soc., 9 juin 1966, Bull. civ. IV, n°573, le rabotage de portes de chambres, la substitution dâun mode de chauffage Ă un autre Cass, 1Ăšre civ., 15 mai 1962 ou encore le sectionnement du garde-corps dâune terrasse pour crĂ©er un passage en bois CA Colmar, 3e ch. A, 4 dĂ©cembre 2017, n°16/04010 sont des transformations. Quant Ă lâamĂ©nagement, il sâagit de tout embellissement ou Ă©lĂ©ment de dĂ©coration permettant une utilisation rationnelle des lieux louĂ©s, sans modification de la distribution des piĂšces, cloisons ou portes de sĂ©paration, et Ă condition que ces amĂ©nagements nâaient rien dâirrĂ©versible Cass, 1Ăšre civ., 18 fĂ©vrier 1963, Bull. civ. I, n°106. Par exemple, le remplacement dâun revĂȘtement mural Cass, 3e civ., 22 mars 2005, n°04-10467, la modification des plinthes, la pose dâun parquet posĂ© sur le revĂȘtement initial CA Colmar, suscitĂ©. âą Que faire en cas de transformation non dĂ©clarĂ©e ? Si le locataire souhaite apporter une transformation aux lieux ou Ă©quipements louĂ©s, il doit en faire au prĂ©alable la demande, par Ă©crit, Ă son bailleur. Ă dĂ©faut dâaccord, le bailleur pourra exiger du locataire, Ă son dĂ©part des lieux, leur remise en lâĂ©tat ou conserver Ă son bĂ©nĂ©fice les transformations effectuĂ©es sans que le locataire puisse rĂ©clamer une indemnisation des frais engagĂ©s. âą Existe-t-il un prĂ©judice esthĂ©tique pour un amĂ©nagement effectuĂ© aux goĂ»ts du locataire ? Lâarticle 6 d de la loi du 6 juillet 1989 fait interdiction au bailleur de sâopposer aux amĂ©nagements rĂ©alisĂ©s par le locataire dĂšs lors quâils ne constituent pas une transformation. Mais quâen est-il lorsque le locataire a repeint les murs de son logement dans des couleurs excentriques ? Le bailleur peut-il invoquer un prĂ©judice esthĂ©tique pour obtenir une quelconque rĂ©paration au dĂ©part du locataire ? Le locataire est en droit de faire tous travaux dâembellissement, mĂȘme si ces derniers ne sont pas aux goĂ»ts du bailleur, qui ne pourra ni exiger la remise en lâĂ©tat du logement Ă la sortie des lieux du locataire, ni en demander rĂ©paration CA Aix-en-Provence, ch. 11 A, 19 avril 2018, n°16/19750 et CA Paris, 6e ch. C, 20 septembre 2005, n°2003/20180. La notion dâexcentricitĂ© a Ă©tĂ© relevĂ©e dans plusieurs dĂ©cisions mais est laissĂ©e Ă lâapprĂ©ciation souveraine des juges du fond. Ainsi, des couleurs comme le rouge vif ou le violet nâont pas Ă©tĂ© considĂ©rĂ©es comme excentriques CA Paris, 20 septembre 2005 suscitĂ©, alors que dans une autre affaire, un rouge vif sur la totalitĂ© des murs dâune chambre, des carreaux de faĂŻence roses autour de la baignoire et du lavabo et les encadrements de la salle de bains verts ont permis au bailleur dâobtenir rĂ©paration car ce dernier Ă©tait dans lâimpossibilitĂ© de "relouer en lâĂ©tat un logement ainsi colorĂ©" CA Grenoble, 25 octobre 2011, n°09/01414. Il convient dâagir avec prudence dans ce genre de situation et ne pas hĂ©siter Ă faire intervenir un huissier afin de se constituer une expertise concrĂšte Ă apporter devant les juges. Quant au prĂ©judice esthĂ©tique, il nâa jamais encore Ă©tĂ© retenu. DES EXCEPTIONS âą Les travaux dâamĂ©lioration dus par le bailleur En application de lâarticle 7 e de la loi du 6 juillet 1989, le locataire est obligĂ© de permettre lâaccĂšs aux lieux louĂ©s pour la prĂ©paration et lâexĂ©cution de certains travaux listĂ©s par le lĂ©gislateur amĂ©lioration des parties communes ou des parties privatives du mĂȘme immeuble, nĂ©cessaires au maintien en Ă©tat ou Ă lâentretien normal des locaux louĂ©s, amĂ©lioration de la performance Ă©nergĂ©tique, ceux qui permettent de remplir les obligations de dĂ©cence du logement. Pour ce type de travaux, le locataire doit ĂȘtre informĂ© par le bailleur de leur nature et des modalitĂ©s de leur exĂ©cution par une notification de travaux remise en main propre ou par LRAR. Ces travaux ne peuvent ĂȘtre rĂ©alisĂ©s les samedi, dimanche et jours fĂ©riĂ©s sans lâaccord exprĂšs du locataire et ne peuvent avoir un caractĂšre vexatoire ou abusif câest-Ă -dire quâils ne respecteraient pas les conditions fixĂ©es dans la notification de travaux. Ă dĂ©faut, le juge, saisi par le locataire, pourrait interdire ou interrompre les travaux entrepris. âą Des exceptions pour les travaux dâadaptation du logement liĂ© au handicap -nouveautĂ© avec ĂLAN La loi relative Ă lâadaptation de la sociĂ©tĂ© au vieillissement du 29 dĂ©cembre 2015 a créé un rĂ©gime dâautorisation tacite dâadaptation du logement au handicap ou Ă la perte dâautonomie du locataire. Lâarticle 7 f modifiĂ© de la loi du 6 juillet 1989 indique dĂ©sormais que ces travaux pourront ĂȘtre faits aux frais du locataire. Ils devront, au prĂ©alable, faire lâobjet dâune demande Ă©crite par LRAR auprĂšs du bailleur. Avec la loi ĂLAN, le bailleur dispose dorĂ©navant dâun dĂ©lai de rĂ©ponse de deux mois au lieu de quatre auparavant. Lâabsence de rĂ©ponse dans ce dĂ©lai vaut acceptation des travaux et, au dĂ©part du locataire, le bailleur ne pourra pas exiger la remise des lieux en lâĂ©tat. ThĂšmes Gestion locative/Bail/Obligation du bailleur/ Obligation du locataire. Contacts Julie Molla, Direction juridique et fiscale - TĂ©l. 01 40 75 78 60 ; MĂ©l. ush-djef
Lerefus dâadhĂ©sion est alors dit « de droit », pour cela il convient de se rapprocher de lâarticle 11 de la loi 89-1009 du 31/12/1989, dite « loi Ăvin ». Extrait de la loi 89-1009 du 31 dĂ©cembre 1989 . Art. 11. - Aucun salariĂ© employĂ© dans une entreprise avant la mise en place, Ă la suite d'une dĂ©cision unilatĂ©rale de l'employeur, d'un systĂšme de
OBJET DU CONTRAT AprĂšs avoir visitĂ© les installations du Club et avoir pris connaissance des prestations proposĂ©es, lâabonnĂ©e dĂ©clare souscrire un contrat dâabonnement FITNESS PARK ci-aprĂšs le Contrat » nominatif et incessible lâautorisant Ă utiliser les installations en libre-service avec accĂšs illimitĂ© dans la limite des horaires dâouverture, dans le cadre du forfait de base ci-aprĂšs Forfait de base » comprenant cardio-training, musculation libre, musculation guidĂ©e et cours vidĂ©o et selon un prix et des modalitĂ©s financiĂšres indiquĂ©s au recto. En dehors du forfait de base, les Clubs du rĂ©seau FITNESS PARK, peuvent proposer Ă lâabonnĂ©e de souscrire Ă des activitĂ©s annexes ou complĂ©mentaires optionnelles. Les diffĂ©rentes formules et conditions tarifaires de ces activitĂ©s optionnelles seront soumises Ă lâaccord prĂ©alable de lâabonnĂ©e et dĂ©taillĂ©es au recto des prĂ©sentes. Il est toutefois prĂ©cisĂ© que ces activitĂ©s optionnelles ne peuvent ĂȘtre servies que dans le Club cocontractant. LâabonnĂ©e est informĂ©e de ce que chaque Club du rĂ©seau FITNESS PARK est soit un commerçant indĂ©pendant soit un club succursaliste libre de proposer des conditions particuliĂšres. Ces Ă©ventuelles conditions particuliĂšres sont remises Ă lâabonnĂ©e avant la souscription du Contrat dâabonnement par le Club. Pour les Clubs proposant la carte famille, celle-ci est liĂ©e Ă un abonnement principal, les titulaires doivent ĂȘtre domiciliĂ©s Ă la mĂȘme adresse justificatif de domicile faisant foi ou avoir un lien conjugal ou de filiation prĂ©sentation du livret de famille. En cas de rĂ©siliation de lâabonnement principal, le ou un des contrats secondaires devient alors le contrat principal et lâ ou un des abonnements secondaires passera de Ă des lieux Le preneur prendra les biens louĂ©s dans lâĂ©tat oĂč ils se trouveront Ă la date de son entrĂ©e en Ă©tat des lieux est Ă©tabli contradictoirement et Ă frais communs dans le mois prĂ©cĂ©dent lâentrĂ©e en jouissance ou dans le mois suivant constatera avec prĂ©cision lâĂ©tat des terres ainsi que le degrĂ© dâentretien de ces derniĂšres et signalera les dĂ©fauts de culture qui pourraient exister et tout autre Ă©lĂ©ment que les parties jugeront utile de le dĂ©lai fixĂ© ci-dessus, lâune des parties pourra Ă©tablir unilatĂ©ralement un Ă©tat des lieux quâelle notifiera Ă lâautre par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception. Cette derniĂšre disposera, Ă compter de ce jour, de deux mois pour faire ses observations sur le projet ou pour lâaccepter. A lâexpiration de ce dĂ©lai de deux mois, son silence vaudra accord. LâĂ©tat des lieux sera alors dĂ©finitif et rĂ©putĂ© Ă©tabli fin de bail, un Ă©tat des lieux sera effectuĂ© dans les mĂȘmes conditions que celui Ă©tabli pour lâ du contrat Le prĂ©sent contrat entre en vigueur Ă compter de lâinscription du responsable de traitement au service en ligne proposĂ© par le sous-traitant, suite Ă son accordsur les conditions dâutilisation, la politique de confidentialitĂ© protection de donnĂ©es et le prĂ©sent contrat de durĂ©e du contrat est dĂ©terminĂ©e par la date de fin des abonnements souscrits mensuels, annuels, essai gratuit ; date Ă la quelle la relation Responsable du traitement et sous-traitant prendra le contrat prendra fin lorsque le Responsable du traitement dĂ©cide de fermer son compte. Le Responsable de traitement peut arrĂȘter lâutilisation du service en clĂŽturant son compte. Une demande de fermeture de compte y compris la suppression de lâinformation peut ĂȘtre envoyĂ©e par mail Ă tout moment Ă dpo du contrat Il pourra ĂȘtre mis fin au contrat en cas dâinexĂ©cution, par le participant, de ses obligations dĂ©coulant du prĂ©sent contrat, et indĂ©pendamment des consĂ©quences prĂ©vues par la loi qui lui est applicable ; le prĂ©sent contrat peut alors ĂȘtre rĂ©siliĂ© ou dissout de plein droit par lâĂ©tablissement, sans quâil soit besoin de procĂ©der Ă aucune autre formalitĂ© judiciaire, aprĂšs une mise en demeure notifiĂ©e aux parties par lettre recommandĂ©e non suivie dâexĂ©cution dans un dĂ©lai dâun le participant met fin au contrat avant la fin de sa pĂ©riode contractuelle, ou sâil/elle manque Ă ses obligations, il/elle devra rembourser le montant de la bourse dĂ©jĂ reçu, sauf dĂ©cision contraire de lâĂ©tablissement dâ la rĂ©siliation est due Ă un cas de force majeure, par exemple, une situation exceptionnelle imprĂ©visible ou un Ă©vĂ©nement incontrĂŽlable par le participant et qui ne peut pas ĂȘtre attribuĂ© Ă une erreur ou une nĂ©gligence de sa part, le participant pourra recevoir le montant de la bourse correspondant Ă la durĂ©e effective de la pĂ©riode de mobilitĂ©, tel que dĂ©fini Ă lâarticle Tout autre financement devra ĂȘtre remboursĂ©, sauf dĂ©cision contraire de lâĂ©tablissement dâ du sĂ©jour Le locataire signataire du prĂ©sent contrat conclu pour une durĂ©e dĂ©terminĂ©e ne pourra en aucune circonstance se prĂ©valoir d'un quelconque droit au maintien dans les lieux Ă l'issue du de la garantie Les consĂ©quences pĂ©cuniaires que vous pouvez encourir en faisant suite Ă une rĂ©clamation amiable ou judiciaire formĂ©e Ă votre encontre par le tiers lĂ©sĂ©, en raison de tout dommage corporel ou matĂ©riel, causĂ© Ă ce dernier par un accident, un incendie ou une explosion survenant au cours de votre SĂ©jour Ă lâEtranger ou par le fait de personnes dont vous rĂ©pondez, ou par le fait des choses ou animaux dont vous avez la garde ainsi que tout dommage matĂ©riel causĂ© au bien confiĂ© par votre famille dâaccueil et utilisĂ© pendant la durĂ©e de votre sĂ©jour, ou lors de la pratique dâun sport dangereux listĂ© en annexe 1 lorsque lâOption Risques Graves » a Ă©tĂ© souscrite et pour lequel la couverture de la ResponsabilitĂ© civile privĂ©e Ă lâĂ©tranger il est expressĂ©ment mentionnĂ©e, dans la limite des montants indiquĂ©s au Tableau des Montants de Garanties. Si un contrat couvrant votre responsabilitĂ© civile, a Ă©tĂ© antĂ©rieurement ou parallĂšlement souscrit au prĂ©sent contrat, la garantie intervient aprĂšs Ă©puisement de la garantie de ce contrat souscrit prĂ©cĂ©demment ou parallĂšlement. Sont seuls garantis, les dommages rĂ©sultant dâun acte de vie privĂ©e commis par vous Ă lâoccasion de votre sĂ©jour dans le Pays dâ Ă©galement garantis - la pratique Ă titre dâamateur des sports usuels, y compris toute activitĂ©s de stage, dâinitiative et de dĂ©couverte, dans la mesure oĂč lâassurance des clubs au travers desquels sont pratiquĂ©es ces activitĂ©s sportives, se rĂ©vĂšlerait Les compĂ©titions courses et matches, quand ils nâont quâun caractĂšre amical. IMPORTANT dans le cas dâun dommage supĂ©rieur Ă 350 âŹ/385 $ causĂ© au domicile de votre famille dâaccueil, nous intervenons en complĂ©ment de lâassurance habitation de votre de paiement Le rĂšglement des services et produits de l'Entreprise MOREAU OENOLOGIE sâeffectue selon les modalitĂ©s suivantes sauf dispositions contraires prĂ©cisĂ©es sur le devis En ce qui concerne les prestations de services RĂšglement par chĂšque Ă rĂ©ception de ce qui concerne les livraisons de biens RĂšglement par chĂšque Ă rĂ©ception de facture. ModalitĂ©s de paiement Le paiement des prestations ou des livraisons de biens rĂ©alisĂ©es par lâentreprise MOREAU OENOLOGIE s'effectue par chĂšque ou par virement Ă l'ordre de MOREAU OENOLOGIE ». Escompte pour rĂšglement anticipĂ© 0%. En cas de retard de paiement, une pĂ©nalitĂ© Ă©gale Ă 3 fois le taux d'intĂ©rĂȘt lĂ©gal sera exigible DĂ©cret 2009-138 du 9 fĂ©vrier 2009 et une indemnitĂ© forfaitaire pour frais de recouvrement de 40 euros loi du 22 mars 2012. A dĂ©faut de paiement d'une seule facture Ă l'Ă©chĂ©ance, les autres factures Ă©chues ou non Ă©chues deviendront immĂ©diatement exigibles sans mise en demeure ou autre rĂ©solutoire Le prĂ©sent contrat sera rĂ©siliĂ© de plein droit - en cas de dĂ©faut de paiement du loyer, des provisions de charge, ou de la rĂ©gularisation annuelle de charge- en cas de dĂ©faut de versement du dĂ©pĂŽt de garantie- en cas de dĂ©faut dâassurance des risques locatifs par le locataire sauf si le bailleur a souscrit uneassurance pour le locataire- en cas de trouble de voisinage constatĂ© par une dĂ©cision de justice ModalitĂ©s de rĂ©siliation de plein droit du contrat Le bail sera rĂ©siliĂ© de plein droit en cas d'inexĂ©cution des obligations du locataire, soit en cas de dĂ©faut de paiement des loyers et des charges locatives au terme convenu, de non-versement du dĂ©pĂŽt de garantie, de dĂ©faut d'assurance du locataire contre les risques locatifs, de troubles de voisinage constatĂ©s par une dĂ©cision de justice passĂ©e en force de chose jugĂ©e rendue au profit d'un tiers. Le bailleur devra assigner le locataire devant le tribunal pour faire constater l'acquisition de la clause rĂ©solutoire et la rĂ©siliation de plein droit du bail. Lorsque le bailleur souhaite mettre en Ćuvre la clause rĂ©solutoire pour dĂ©faut de paiement des loyers et des charges ou pour non-versement du dĂ©pĂŽt de garantie, il doit prĂ©alablement faire signifier au locataire, par acte d'huissier, un commandement de payer, qui doit mentionner certaines informations et notamment la facultĂ© pour le locataire de saisir le fonds de solidaritĂ© pour le logement. De plus, pour les bailleurs personnes physiques ou les sociĂ©tĂ©s immobiliĂšres familiales, le commandement de payer doit ĂȘtre signalĂ© par l'huissier Ă la commission de coordination des actions de prĂ©vention des expulsions locatives dĂšs lors que l'un des seuils relatifs au montant et Ă l'anciennetĂ© de la dette, fixĂ© par arrĂȘtĂ©prĂ©fectoral, est atteint. Le locataire peut, Ă compter de la rĂ©ception du commandement, rĂ©gler sa dette, saisir le juge d'instance pour demander des dĂ©lais de paiement, voire demander ponctuellement une aide financiĂšre Ă un fonds de solidaritĂ© pour le logement. Si le locataire ne s'est pas acquittĂ© des sommes dues dans les deux mois suivant la signification, le bailleur peut alors assigner le locataire en justice pour faire constater la rĂ©siliation de plein droit du bail. En cas de dĂ©faut d'assurance, le bailleur ne peut assigner en justice le locataire pour faire constater l'acquisition de la clause rĂ©solutoire qu'aprĂšs un dĂ©lai d'un mois aprĂšs un commandement demeurĂ© infructueux. Clause applicable selon les modalitĂ©s dĂ©crites au paragraphe de la notice d'information jointe au prĂ©sent DU CONTRAT Le Prestataire se rĂ©serve le droit, Ă tout moment, de modifier le Contrat-Cadre. Tout projet de modification du Contrat-Cadre est fourni au Titulaire par la Plateforme Tout Titulaire peut refuser les modifications proposĂ©es et doit notifier son refus au Service client de la Plateforme par lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception deux 2 mois avant la date dâentrĂ©e en vigueur des modifications proposĂ©es cachet de la poste faisant foi Ă lâadresse indiquĂ©e dans les Conditions GĂ©nĂ©rales du Site. A dĂ©faut dâavoir notifiĂ© son refus avant la date dâentrĂ©e en vigueur indiquĂ©e, le Titulaire est rĂ©putĂ© accepter les modifications proposĂ©es. Les relations entre les Parties aprĂšs la date dâentrĂ©e en vigueur seront alors rĂ©gies par la nouvelle version du Contrat-Cadre. En cas de refus par le Titulaire, ce refus donnera lieu, sans frais, Ă la rĂ©siliation du Contrat-Cadre, ainsi quâau transfert du solde du Compte de paiement dans un dĂ©lai de treize 13 mois suivant la date dâeffet de la rĂ©siliation en vue de couvrir toutes contestations futures. Toutes dispositions lĂ©gislatives ou rĂ©glementaires qui rendraient nĂ©cessaire la modification de tout ou partie du Contrat-Cadre seront applicables dĂšs leur date dâentrĂ©e en vigueur, sans prĂ©avis. Le Titulaire en sera cependant Ete Convenu Ce Qui Suit LâEditeur souhaite obtenir de la part de la sociĂ©tĂ© Axalone France lâouverture et l'activation d'un Compte-Abonnement sur la Plate-Forme Express-Mailing dont les caractĂ©ristiques sont prĂ©cisĂ©es ci-dessous Formule libre service » Acompte de 64,58 Euro + Tarification mensuelle variableâą AccĂšs 7j/7 et 24h/24 Ă la Plate-Forme Express-Mailingâą Mise Ă disposition dâun crĂ©dit de diffusion variable de 500 Ă email par moisâą 0,0175 Euro HT / email envoyĂ© au-delĂ de la tranche tarifaire la plus procheâą HĂ©bergement gratuit de vos images dans la limite de 50Ko par messageâą Envoi de messages Texte ou HTML jusqu'a 30Ko soit 80Ko avec les imagesLe prĂ©sent contrat est conclu pour une durĂ©e minimum de six mois 6 mois et donnera lieu Ă lâĂ©tablissement de factures mensuelles Ă terme Ă©chu dâun montant variable selon la quantitĂ© une gestion comptable plus souple, l'acceptation du prĂ©sent contrat devra s'accompagner d'un acompte de 64,58 Euro soit le minimum de facturation pour les 6 premiers mois d'utilisation.Cet acompte sera bien entendu dĂ©duit de chacune de vos factures mensuelles. Pour recevoir vos codes dâaccĂšs, merci de prĂ©ciser votre adresse email Votre adresse email Et au cas oĂč votre n° de tĂ©lĂ©phone L'EDITEUR Je soussignĂ© [M] [Mme] , accepte les termes du prĂ©sent contrat de prise en rĂ©gie ainsi que ses Conditions GĂ©nĂ©rales en annexe. Fait Ă , le Faire prĂ©cĂ©der la signature de la mention lu et approuvĂ© » en toute lettre, Signature Formule Libre Service » Tarifs applicables sur lâensemble des consommations mensuelles Tous les mois, vous recevrez par email une facture correspondant Ă votre consommation rĂ©elle. Nous sĂ©lectionnons automatiquement la plage tarifaire la plus avantageuse pour les quantitĂ©s du type email / mois, la plage tarifaire email / mois sera appliquĂ©e et le complĂ©ment de 200 email sera facturĂ© au prix unique de 0,0175 euro / email. CONDITIONS GENERALES DE PREAMBULE La sociĂ©tĂ© Axalone France, SociĂ©tĂ© Ă ResponsabilitĂ© LimitĂ©e au capital de Euro, dont le siĂšge social est situĂ© 10, avenue dâAnjou â 91940 Les Ulis â France, RCS Evry 411 884 277, met Ă disposition d'utilisateurs professionnels exclusivement, une Plate-Forme d'envoi et de gestion de campagnes d'emailing par l'intermĂ©diaire du site Internet ci-aprĂšs nommĂ©e la Plate-Forme Express-Mailing ». Les prĂ©sentes Conditions GĂ©nĂ©rales rĂ©gissent, d'une part, les conditions d'utilisation de la Plate- Forme Express-Mailing et d'autre part, les relations entre la sociĂ©tĂ© Axalone France et le bĂ©nĂ©ficiaire du Contrat de Prise en RĂ©gie ci-joint ci-aprĂšs nommĂ© l'Editeur »
ARTICLE5 : DEPOT DE GARANTIE 5.1. Montant Le montant du dĂ©pĂŽt de garantie ne peut pas excĂ©der deux mois de loyer hors charges (article22 de la loi no 89- 462 du 6 juillet 1989). Lors de la remise des clĂ©s, le locataire verse au bailleur un dĂ©pĂŽt de garantie dâun montant de(en chiffres, en
Lelocataire est tenu de souscrire à une assurance habitation qui doit couvrir au minimum les risques locatifs (article 7 g) de la loi n°89-462 du 6 juillet 1989). Il doit en justifier au bailleur en lui remettant une attestation d'assurance : Lors de la remise des clés ; Chaque année, sur demande du propriétaire.
Loin°89-462 du 6 juillet 1989 relative aux rapports locatifs : article 20-1 Recours locataire logement non-décent Code civil : articles 1714 à 1751-1 Obligations du prorpiétaire (articles