Lesformations pour arriver à travailler dans les ressources humaines. Au delà des formations type bachelor, il existe des diplômes de niveau Bac +2 qui donnent accès à ce secteur. BTS gestion PME (petite et moyenne entreprise), qui est dispensé dans des écoles spécialisées publiques ou privées, ou bien dans des lycées.
La France compte plusieurs milliers d’associations humanitaires et caritatives. Aide aux Sans Domicile Fixe, aux migrants, aux malades, soutien aux victimes de guerres et de catastrophes naturelles… Les champs de d’action ne manquent malheureusement pas. Si l’activité est en progression constante, le nombre d’emplois n’augmente pas pour autant faute de moyens, les organisme préfèrent faire appel aux bénévoles et aux volontaires. Ces derniers représentent 80% des effectifs du secteur. Même les grandes ONG françaises n’emploient qu’un nombre réduit de salariés Médecins du monde, par exemple, compte 24 salariés sur le terrain contre 430 personnes ayant le statut de volontaire. Devant le besoin accru de solidarité internationale, les ONG se sont multipliées et leur rôle n’a jamais été aussi primordial. Face à cette effervescence, le besoin de formation s’est avéré nécessaire. C’est ainsi qu’en France, les offres de formations aux métiers de l’humanitaire n’ont cessé de s’accroitre depuis une vingtaine d’années. Dispenser par les écoles de deuxième cycle ou les Universités, les jeunes étudiants souhaitant s’investir dans l’aide internationale peuvent désormais jouir d’une formation dite professionnalisante ». Mais cela est-il réellement le cas ? Ces formations sont-elles adaptées aux besoins des ONG ? En 2007, l’ONISEP déclarait dans sont étude lors du recrutement, c’est souvent l’expérience qui fait la différence’. Nous avons voulu savoir si cinq ans après c’était toujours le cas. Entre rêve académique et réalité professionnelle Il n’existe pas moins de trente cinq cursus formant aux métiers de l’humanitaire en Franceque ce soit par le biais des Universités, des Instituts ou des Ecoles. Les Ecoles préparent à des métiers spécifiques tels que logisticien ou coordinateur de mission. Les universités quant à elles, proposent deux types de cursus soit niveau bac+ 2, soit niveau bac+5 visant a donner des compétences aux étudiants pour les métiers d’administrateur ou de gestionnaire de projet. Les débouchés de ces cursus concernent aussi bien l’Etat et ses différents services publics, le secteur associatif, les ONG, les Fondations, les structures publiques, nationales et locales de la coopération internationale de la France, les agences européennes et internationales ainsi que celle de coopération de l’Union européenne. Tout ceci semble donc très attractif pour un étudiant plein de bonne volonté voulant œuvrer pour la bonne marche du monde ». Une question se pose néanmoins. Où vont les étudiants tout droit sortis de ces nouveaux cursus ? Les promesses faites à ces jeunes diplômés sont-elles en adéquation avec les réalités du monde professionnel ? Une étude réalisée montre deux éléments d’importance. Premièrement, les étudiants sortant de formation universitaire de type bac+5 ne trouvent pas, pour la grande majorité d’entre eux, d’emploi dans le secteur humanitaire. Deuxièmement, on observe qu’en fonction de la réputation du centre formateur, certains jeunes diplômés s’en sorte mieux que d’autres. En effet, l’étude du profil universitaire d’individus de 35 ans en moyenne et travaillant dans une ONG est sans équivoque. La majeure partie d’entre eux sort d’écoles de commerce, d’un Institut d’Etude Politiques IEP ou encore d’une formation médicale. Viennent ensuite les cursus de Droit et de Relations Internationales, et seulement après en dernière position les formations spécifiques consacrées å l’humanitaire, qu’elles soient de nature universitaires ou faites dans des Ecoles. Par ailleurs, on s’aperçoit que les personnes ayant effectuées ces formations humanitaires å l’université ont souvent cumulé cette formation avec d’autres cursus notamment du Droit dans 50% des cas. Autrement dit, suivre une formation humanitaire à l’université a valeur de complément quand elle est de niveau bac+5. C’est ce que confirme un témoignage d’une jeune étudiante de l’université de Paris I inscrite en Master professionnel Sciences Politiques Spécialité Coopération Internationales, Action humanitaires et Politiques de Développement. Elle confessait que, déjà munie d’un diplôme en Droit, cette formation avait pour but de parfaire son parcours universitaire. Place au désenchantement les formations universitaire à la dérive Nous avons découvert que les formations humanitaires ne sont pas efficace en terme d’employabilité alors qu’elles regroupent idéalement un apprentissage théorique et pratique. Dans le même temps, il s’avère que les parcours dit mixtes », ciblés » et professionnel de terrain présentent en chacun d’eux un type de parcours prometteur dans ce secteur. En effet, les formations mixtes’ dispensées dans les Ecoles de formation humanitaire fonctionnent très bien si on en croit les données chiffrées publiées sur leurs siteswebrespectif. Prenons l’exemple de Bioforce. Cet Institut se démarque en jouant la carte parcours mixte’ et répond, à travers la spécificité de son programme, à la question suivante comment concilier engagement humanitaire et nécessité d’acquérir un métier reconnu par le monde de l’entreprise ? Nous allons évoquer ici l’innovation Bioforce », et plus particulièrement de la formation intitulée Chargés des services généraux, option logistique humanitaire ». Durant cette formation, d’une durée de 3 ans, les élèves alternent entre cours et missions dans différentes ONG en partenariat avec Bioforce. A l’issue de la formation, les chiffres parlent deux étude des promotions 2004 à 2006 a montré que la proportion d’élèves partis en mission à la fin de leur formation était très élevée logisticien 80 %, administrateur 80 %, gestion de projet 91 %, technicien en Eau 92 %. Le taux de placement de ces derniers s’élevait globalement à 86%. De manière générale ce sont ces parcours-là qui fonctionnent bien lorsqu’ils sont proposés par les Ecoles. Mais pourquoi les parcours mixtes universitaire ne fonctionnent pas de la même manière alors que le même schéma de formation semble être adopté? La réponse se trouve peut-être dans le fait que la formation Bioforce dure trois fois plus longtemps que celle d’un Master 2. Une deuxième explication pourrait être celle selon laquelle les formations proposées dans les Ecoles ne sont pas complémentaires’ à d’autre cursus mais constituent bel et bien une formation à part entière. Par ailleurs, un autre avantage proposé par cet institut est à souligner, c’est celui de la double vocation’. Cette double vocation permettrait de facilité l’insertion professionnelle du fait d’avoir une double casquette et donc de posséder une capacité à se diversifier, chose qu’une année en Master 2 ne peut pas prétendre délivrer. Cela dit, cela n’explique pas les résultats d’une autre enquête traduisant le fait que sur 50 personnes travaillant dans une ONG, 70% d’entre eux étaient déjà partis en mission humanitaire avant de devenir salariés. Sachant que chaque élève poursuivant une formation humanitaire dans les universités que nous avons observé dans cette étude possède cette expérience de terrain, ils ne devraient pas, à priori, rencontrer de difficulté lors de recrutement dans le secteur concerné. Par ailleurs, il a été démontré, lors du recrutement professionnel, que l’expérience de terrain et la volonté de l’engagement étaient largement valorisés par rapport à un diplôme universitaire de type Master 2 humanitaire. Toutefois, à en croire les résultats de notre enquête sur le taux de placement dans une ONG des élèves sortant de formations humanitaires, une seule expérience ne serait pas considérée comme suffisante. En conséquence, les formations de type master 2, seraient considérées inadaptées en terme de formation et n’auraient donc pas lieu de perdurer telle qu’elles sont définies aujourd’hui. Si la majorité des personnes travaillant dans le secteur humanitaire ne dispose pas de formation universitaire, que ce soit via une Ecole ou une université, la question de la nécessite d’un diplôme dans ce domaine se pose avec acuité. Si les parcours ciblés sont une des clés de la réussite, il faut s’interroger sur la perrenité des formations académiques dans ce secteur, et la désillusion qui peut en résulter. La plus-value des formations ciblées Quant on parle de formation ciblée, cela concerne les métiers de type médecins et infirmiers. Environ 2000 volontaires français partent chaque année en mission à l’étranger et les profils médicaux sont encore les plus recherchés. Viennent ensuite les logisticiens, qui représentent par exemple un quart des départs chez Action contre la faim. Les associations recrutent également des experts, ingénieurs agronomes et hydrauliciens en particulier, capables d’apporter une expertise dans les missions de développement. Enfin, elles recherchent des généralistes école de commerce, IEP pour faire de la coordination sur le terrain, gérer les projets et encadrer les équipes. Ce sont donc bien des métiers précis que les ONG recherchent. En effet, si on prend l’exemple de MSF, elle présente une fiche de métiers dont elle a particulièrement besoin, ce qui cible la demande. Les métiers paramédicaux sont les plus demandés. Puis, les métiers purement médicaux tels que les médecins et spécialistes. Enfin, les non-médicaux comme les logisticiens, ingénieurs, gestionnaires approvisionnement, constructeurs etc. et les administrateurs ayant des diplômes supérieurs en Gestion, Sciences économiques, Comptabilité et Audit financier, gestionnaires de Ressources Humaines etc. Donc, on s’aperçoit que 67% des profils que MSF recherche sont des profils du domaine médical, chose paraissant normale pour une ONG se nommant Médecin Sans Frontières. Mais surtout, ce qu’il y a de frappant, c’est que les métiers recherchés par cette ONG, ne font pas partis des métiers que les cursus universitaires tendent à pourvoir. On observe donc un problème de coordination, voire d’adéquation, entre les besoins réels des ONG et ce que proposent les cursus académiques. L’humanitaire victime de son succès » 700 candidats sont venus de tous les horizons pour 80 places dans nos trois masters autour de ces thèmes », explique Marie-José Domestici-Met, d’Aix-Marseille-III. La demande grandissante provoquant un manque de place dans les formations préexistantes et la nécessité de formation demandée par les ONG elles même, ont poussé, à juste titre, la création de formation académique dans ce domaine. Cependant, la période où il y avait des débouchés concrets dans ce secteur est révolue à ce jour. Cela s’explique notamment par le manque de postes à pourvoir dans les ONG car si les ONG ont globalement augmenté leur nombre de salariés, s’est opéré dans le même temps un accroissement considérable du nombre de diplômes en la matière, provoquant un surplus de mal diplômés». Par ailleurs, l’Etat pourrait-il est partiellement responsable de ce phénomène? Olivier Benquet, responsable du recrutement à Action contre la Faim, explique On veut des professionnels.» Plutôt des professionnels de la logistique, de l’agronomie, de l’assainissement d’eau, de la sante – infirmières, médecins… L’idéal, c’est d’avoir appris un métier à travers une formation classique, et d’avoir reçu son baptême du feu sur le terrain comme volontaire ». Mais alors pourquoi a-t-on créé tant de cursus uniquement spécialisés dans l’humanitaire? S’il fallait des professionnels, il ne fallait pas pour autant créer un surplus de mal-diplômés’ dans ce secteur. Alors maintenant que faire ? Réinventons la formation humanitaire » Même si les résultats montrent que le taux d’employabilité de ces jeunes diplômes est quasi nul, il n’en reste pas moins nécessaire de ne pas abandonner l’idée de formations compétentes en la matière. De grandes responsabilités reposent sur les ONG et dans le secteur humanitaire en général. Si le besoin de personnes formées est réel, il faut alors créer des formations adaptées à ces besoins. C’est justement pour y répondre, qu’il est primordial de sauvegarder ces formations aux métiers de l’humanitaire dans les universités, Ecoles et Instituts. Cependant, une réinvention ou une re-masterisation » de la formation est nécessaire. La professionnalisation est un des buts de l’enseignement supérieur et les formations en master proposées doivent de manière effective servir à l’insertion dans la vie active. L’une des première chose à faire serait peut être d’établir un suivi des élèves diplômés afin de savoir exactement quel taux de placement il en ressort. Cela permettrait d’évaluer les formations qui sont compétentes et celles qui ont besoin de soutien ou encore celles qui n’ont pas lieu d’être. Il faut donc introduire une notion qualitative au sein du tout » qualitatif actuel. Par ailleurs, on remarque qu’au Royaume-Uni, les élèves ont la possibilité d’intégrer une sorte d’option humanitaire dans les cursus de type management’, marketing’ etc. , sans pour autant avoir le besoin de créer un Master ou une licence spécifique aux ONG. Il semblerait que cette solution serait plus adaptée et qu’il faudrait peut être accentuer cette démarche sur le sol français. Ces éventuelles solutions n’auraient pas pour vocation la résolution problème du trop-plein de candidat voulant se former pour ensuite s’engager dans l’humanitaire mais cela pourrait permettre de résoudre le problème de la formation illusoire qu’offre certain cursus en France. En conclusion, il n’existe pas de cursus miracle » pour pouvoir travailler dans une ONG. Le tableau général que nous avons dressé montre que la formation délivrée dans les Masters humanitaires ne répond pas forcément aux attentes des ONG et des structures du domaine de la solidarité. Cela interroge donc sur la nécessité de poursuivre ces formations sous leur forme actuelle. La plus-value de compétences professionnelles concrètes, comme l’expérience préalable – en tant que bénévole –avec des ONG humanitaires, semblent donc surpasser l’intérêt de formations universitaires généralistes, peu axées sur le terrain et l’acquisition d’un métier ». La prolifération récente de ces formations ne semblent donc bénéficier ni aux étudiants, ni aux ONG. Une remise à plat paraît donc nécessaire. Bio Derniers articles Marine Gaignard est étudiante à l’université de Sheffield, en Angleterre, où elle fait un Master en Gouvernance et politiques publiques, spécialité Union Européenne
LeService des Relations et de la Coopération Internationales (SERCI) de l’Université Paris 8 finance vos stages à l’étranger ! Forum des universités pour le futur de l’Europe - 25 et 26 janvier 2022. ERUA - Appel à propositions : « initiatives conjointes innovantes en matière d’enseignement et d’apprentissage ».
Réalisez votre bilan de compétences près de chez vous ou 100% à distance ✓ premier entretien gratuit ✓ accompagnement par un coach ✓ 100% pris en charge par le CPFEt vous, pour quel métier êtes-vous destinée ? Les métiers accessibles avec une formation en histoire de l’art sont parfois surprenant et plutôt méconnus. Si certains biens connus du grand public sont facilemment identifiables, il en est d’autres que beaucoup d’entre nous n’auraient même pas imaginés. Quel cursus scolaire pour travailler en histoire de l’art ?Les spécialisations possiblesLes débouchés en histoire de l’artTravailler dans un muséeTravailler en lien avec le marché de l’artTravailler dans le tourisme culturelTravailler dans l’enseignement et la rechercheTravailler dans l’éditionTravailler dans le secteur du luxeExemples de métiers avec salairesConclusion Quel cursus scolaire pour travailler en histoire de l’art ? Le point d’entrée est la licence en histoire de l’art et archéologie, un cursus qui demande une maitrise de l’expression écrite et orale, un goût prononcé pour l’art, et un intérêt pour les démarches scientifiques. La maitrise d’une voir plusieurs langue étrangère est fondamentale. Les spécialisations possibles Une fois les bases acquises avec une licence en histoire de l’art, plusieurs spécialités peuvent être envisagées animation du patrimoine archéologie histoire de l’art marché de l’art muséologie préparation aux concours d’entrée des écoles du patrimoine ou de la restauration… Les employeurs privilégient les masters sur le marché du travail. Les débouchés en histoire de l’art sont beaucoup plus nombreux qu’il n’y paraît et ne se limitent pas aux musées ou au marché de l’art en général. voici les 5 secteurs priviliégiés Travailler dans un musée L’étude de l’histoire de l’art et de l’archéologie prépare naturellement les étudiants à divers métiers du monde muséal communication catalogage acquisitions programmation relations publiques conservateurs de musées art managers etc. En troisième année de licence d’histoire de l’art, les étudiants peuvent choisir entre des cours de conservation et de recherche, qui leur permettront de poursuivre leurs études en stratégie muséale et gestion de projet, ou, selon les cas, en master d’histoire de l’art. Travailler en lien avec le marché de l’art Grâce à des rencontres avec des professionnels organisées par le directeur du programme d’histoire de l’art, de nombreux diplômés choisissent de travailler dans les galeries et le secteur du marché de l’art. Des compétences acquises en études d’icônes, d’écriture et d’expression orale sont les bienvenues dans ce domaine où il faut comprendre l’art et son histoire, mais aussi savoir présenter et convaincre. Les opportunités sont également nombreuses dans ce domaine d’activité grandes foires internationales FIAC expositions professionnelles événements culturels… Il est à noter que pour travailler comme commissaire-priseur, des études juridiques sont nécessaires pour compléter le cursus. Travailler dans le tourisme culturel Le diplôme d’histoire de l’art et d’archéologie comprend plusieurs programmes, principalement l’art-anglais et l’art-espagnol. Forts de ces compétences linguistiques, les diplômés peuvent développer leurs talents dans le domaine du tourisme et de la culture guides conférenciers médiateurs culturels correspondants d’offices de tourisme organisateurs de circuits culturels internationaux D’autres domaines tels que les fondations du patrimoine ou les musées historiques sont également envisageables. La flexibilité interculturelle offerte par les compétences linguistiques sera un atout indéniable pour ces métiers. Travailler dans l’enseignement et la recherche Beaucoup choisissent de poursuivre leurs études dans le domaine de la recherche fondamentale en histoire de l’art à travers le Master d’histoire de l’art et d’études archéologiques. Quant à la recherche archéologique, elle se développe de plus en plus par le biais de l’archéologie, qui associe sciences humaines et sciences exactes. L’archéologie se développe autour de trois champs d’études principaux archéologie histoire de l’art conservation du patrimoine La voie du doctorat et de la recherche est reservée à tous les passionnés qui souhaitent contribuer à la connaissance de l’art et des civilisations antiques, médiévales, modernes et contemporaines. Travailler dans l’édition La maîtrise des capacités de présentation écrite et orale, la capacité d’organisation et de synthèse, ainsi que les larges connaissances générales acquises dans les cours de spécialisations, font des étudiants en histoire de l’art un bon profil pour travailler dans l’industrie de l’édition, en particulier dans l’édition d’art ou des magazines en ligne spécialisés. Travailler dans le secteur du luxe Avec un large éventail de cultures, y compris d’autres civilisations, et une faculté de s’exprimer dans plusieurs langues, les diplômés ont également des débouchés dans le luxe. mode parfumerie haute joaillerie Après avoir obtenu une licence en histoire de l’art, les étudiants qui souhaitent s’orienter dans ce domaine à l’international peuvent opter pour une maîtrise en histoire de l’art. Exemples de métiers avec salaires Voici une selection de métiers accessibles avec une formation en histoire de l’art, n’hésitez pas à consulter les fiches métiers associées ➜ Fiche métier documentaliste Pour cette profession les débouchés sont faibles, côté salaire un Gestionnaire de bases de données et de ressources documentaires peu espérer un salaire médian de 3000€ brut/mois en revanche un documentaliste sera plus proche de 2300€ brut. ➜ Fiche métier de professeur en histoire de l’art Peut être la profession avec les meilleurs débouchés, le salaire est celui réservé aux enseignants en fonction de l’ancienneté. ➜ Fiche métier d’animateur culturel Les débouchés pour ce job restent assez faibles et pour la majorité concernent des activités saisonnières. Côté salaire on est proche du SMIC pour un animateur mais il y a des possibilités d’évolution. ➜ Fiche métier d’un responsable de galerie d’art Les débouchés pour ce métier sont très faibles et par conséquent peu de données salariales. ➜ Fiché métier d’un commissaire priseur Comme pour le métier précédent les débouchés pour cette profession ne sont pas élevés mais le salaire d’un commissaire priseur est très correct. ➜ Fiche métier d’un professeur en art plastique De bons débouchés pour ce métier et une grille salariale alignée sur les enseignants de l’éducation nationale. ➜ Fiche métier d’un chargé du développement culturel Des débouchés dans la moyenne, tout comme le salaire médian qui va de 1900€ brut par mois à 2400€. Conclusion Il existe beaucoup des métiers accessibles aux étudiants en histoire de l’art, il suffit de prospecter et surtout d’accepter de rejoindre des villes riches culturellement. Certes il ne s’agit pas de la filière avec les meilleurs débouchés cependant elle permet un épanouissement et une richesse intellectuelle qui est toujours un atout pour le êtes en reconversion professionnelle ? Découvrez Chance, le parcours de coaching digital le plus innovant au monde pour choisir la voie professionnelle qui vous vous, pour quel métier êtes-vous destinée ? A propos de l'auteur Entrepreneur et passionné par les statistiques, j'ai créé top-metiers pour vous aider a choisir le métier qui vous convient le mieux. Je suis également responsable du groupe Facebook Orientation scolaire.
Commeofficier relations internationales et diplomatie, vous assurez un suivi minutieux et actif de différents dossiers géopolitiques et stratégiques, des conflits et des tendances sécuritaires qui concernent la Défense Belge. Par une analyse précise des différents conflits et développements géopolitiques, vous êtes bien placé pour
Contactez-nous pour en savoir plus sur nos programmes Vous souhaitez nous rejoindre ? Les débouchés dans le domaine du commerce international sont multiples et s’adaptent à de nombreux profils. On trouvera des secteurs aussi variés que l’import-export, les contrats internationaux, le marketing digital, droits et fiscalités, chargé de clientèle, finance internationale, négociateur international,contrôle de gestion… Mais on trouvera également des emplois en lien avec le tourisme, commissaire agréé en douane, la gestion des services, transport et logistique… Les possibilités sont immenses et adaptées à tout type d’études et de parcours. Quelles formations peut-on faire pour travailler dans le commerce international ? Les formations sont multiples et celles-ci sont accessibles aux étudiants venant de filières générales et technologiques. Ainsi, de nombreux programmes scolaires peuvent mener aux écoles de commerce international BTS commerce international 2 ans, Licence et Bachelor spécialisés 3 ans, Master 5 ans. Parallèlement à l’apprentissage de connaissances, ces différents enseignements participent au développement d’un réseau de contacts, particulièrement nécessaire et utile dès le début de carrière. Quels sont les parcours pour s’orienter vers le commerce international au lycée ? Les candidats de chaque filière ont leur place pour intégrer le commerce international. Il n’y a pas de profil pré-établi. Il est tout de même conseillé de garder les mathématiques soit en spécialité, soit en complément. Un candidat qui n’a pas fait de mathématiques pendant deux ans au lycée peut difficilement avoir le concours. On retrouve la discipline partout, en finance, études de marché, économie ou encore statistiques… Au-delà des mathématiques, les lycéens peuvent opter pour les matières de leur choix. Cela servira leur culture générale, donnée très importante en école de commerce. On peut suggérer l’utilité des sciences humaines et sociales pour les élèves de secondes souhaitant aller vers la filière, ainsi que les sciences politiques. Quelles sont les formations post-bac licence, bachelor pour travailler dans le commerce international ? Une fois le bac général ou STMG en poche, il est possible d’intégrer un BTS commerce international en deux ans ou bien un DUT technique de commercialisation, spécialisé en commerce international. Il est possible de commencer à travailler dans ce secteur après ces formations, mais les titulaires de ceux-ci sont de plus en plus nombreux à se diriger ensuite vers une Licence ou un Bachelor spécialisé. Il est également possible de s’orienter vers une licence pro en 3 ans. La licence met l’accent sur les échanges internationaux. On y trouve nombre de spécificités Licence pro logistique de distribution et commerce international Licence pro commerce spécialité import-export Licence pro adjoint de responsable export Licence pro attaché au développement international des organisations Licence pro commerce spécialité technico – commercial en commerce international. La license pro se décline en mentions et représente un diplôme d’insertion professionnelle, en ciblant des postes précis Production agricole Industrielle Transport Commerce droit du commerce Le Bachelor universitaire quant à lui présente des programmes assez proches mais varie sur certaines spécialités Chargé de développement internationalChargé d’affaires internationalInternational businessResponsable opérationnel à l’internationalMarketing et commerce international Le Bachelor Commerce international peut se suivre en alternance. L’acquisition de compétences professionnelles pendant l’ apprentissage séduit particulièrement les recruteurs. Bien souvent les diplômés d’un bachelor poursuivent en Master. Les titulaires de Licence pro, quant à eux, se dirigent en majorité vers le marché du travail. Quelles sont les formations Bac +4 et Bac +5 pour travailler dans le commerce international ? Il existe différents types de Masters Master Professionnels, Master spécialisés MS, Masters of science MS. cLes mastères spécialisés sont reconnus par le label de la Conférence des grandes écoles CGE. Concernant le Ms, sa reconnaissance peut varier en fonction des établissements le délivrant. Les spécialités sont nombreuses et très recherchées Master commerce et échanges internationauxMaster commerce et management internationalMaster affaires international et négociation interculturelleMaster langues étrangères et échanges internationauxMaster en management maritime, transport international et logistiqueMastère spécialisé ingénierie d’affaires internationales Quelle est l’offre de formation en commerce international de l’ESCE ? Les offres de formation aux carrières internationales sont multiples à l’ESCE. Les différents programmes pédagogiques sont conçus pour favoriser les compétences managériales, les connaissances en commerce international, la maîtrise des langues, tout en cultivant une charte éthique et responsable. L’international Bachelor ESCE En 3 ans, elle forme des futures managers destinés à travailler à l’international. Un projet qui allie cas d’entreprise, enseignement individualisé, séminaires à l’étranger, et enseignement pédagogique complet. Possibilité de faire des séjours en entreprise, pouvant aller jusqu’à 12 mois. Programme grande ecole – 2eme cycle – Campus de Paris En 5 ans, on y retrouve 12 spécialisations en Master, en apprentissage ou classique, parfois exclusivement en anglais. Toutes orientées pour travailler à l’étranger. On mettra l’accent sur les connaissances en affaires internationales, cultiver la compréhension des challenges dans un contexte mondial. Comprendre les pratiques, les modes de pensée et l’organisation des différents pays. Quelles sont les branches du commerce international ? Le domaine propose de vastes perspectives et englobe de nombreux postes en fonction des spécificités choisies. On trouvera donc des domaines aussi variés que Ressources humaines, Métiers de la finance, Management, Marketing, L’import-export, Langues étrangères pour échanges internationaux,Logistique, Droit international… Focus import-export quels sont les métiers de ce secteur ? Comme nous le disions auparavant, le milieu du commerce international est très divers et propose de nombreux débouchés. Les métiers de l’import-export sont les grands favoris des étudiants du commerce international. Ainsi, voici quelques métiers qu’il est possible de faire dans l’import-export en faisant chef des venteschargé d’affaires internationalescommercial import-exporttechnico-commercialacheteurdirecteur commercialcourtierlogisticienresponsable marketingResponsable des achats Quel est le rôle d’un vendeur import / export ? Le vendeur ou la vendeuse import/export a un rôle commercial primordial. Celui-ci peut travailler dans plusieurs secteurs avec des rôles différents Vente de produits grande consommation ou bien d’équipement dans ce cas, son rôle sera de donner des informations sur les produits ou les services aux clients. Vente de produits / services avec une donnée technique forte ou qui a une forte valeur ajoutée le vendeur devra avoir des compétences avérées par rapport à la technicité des produits S’il se consacre à la vente de produits de grande consommation, le vendeur import export a plusieurs tâches prospection sur un secteur géographique prospection sur un marché cibleil identifie les besoins des clients et les conseils pour développer les ventes il fait de la négociation de la prise de commande, fait du suivi client, et peut animer le réseau de distribution S’il se consacre à la vente de produits techniques ou avec une forte valeur ajoutée, le vendeur import / export doit avoir développé une compétence technique et commerciale, celle-ci l’aidera dans sa tâche de prospection et de promotion des servicesil établit un cahier des charges, fait le suivi client et le suivi de projet en général, s’occupe de la direction export de l’entreprise, fait de la négociation de contrat, il parle plusieurs langues anglais obligatoire, Il est plutôt nomade car il est amené à beaucoup se déplacer. Avec les années d’expériences, le poste peut évoluer vers le management et le développement de projets d’envergure à l’international. Quel bac privilégier pour travailler dans le commerce international ? Tous les bacs peuvent mener au commerce international. Chaque spécialité conduira vers branche spécifique du domaine. Le bac ES, de par son aspect polyvalent, permet une intégration aisée par l’approche plurielle des disciplines. Ressources humaines, finance, management…Contrairement aux idées reçues, la voie scientifique Bac S est recherchée en école de commerce. Méthode, rigueur et logique sont prisées pour avancer dans certaines branches techniques. L’approche littéraire bac L est également intéressante pour l’aspect analytique et critique du métier. La culture générale et une utilisation scrupuleuse des langues sont particulièrement appréciées. Le talent rédactionnel joue un rôle majeur dans la négociation et le rapport au client. Enfin, les Bac Pro et technologique, parfois allié à une expérience en alternance sont également compatibles et bien reçu pour compléter un cursus dans le domaine du commerce international. La motivation et l’implication est le premier moteur pour évoluer dans ce domaine. EN SAVOIR PLUS Ecole de commerce international guide, carrière, matièresGuide complet des études en commerce international Licence commerce international débouchés, prix, programmeTout savoir sur le bachelor commerce international guide, tarif, programme Tout savoir sur le master en commerce international programme, prix, débouchésQu’est-ce qu’un BUT commerce international TC ? Quels sont les métiers du commerce international ? Quels sont les salaires dans le commerce international ? Trouver un stage en commerce international annonces, conseils Trouver une alternance en commerce international annonces, conseils Un guide pratique du droit du commerce international Définition commerce international enjeux, flux, tendances Mis à jour le 19 mai 2022
Conseilsde rédaction pour sa lettre de motivation. Vous créerez votre courrier de candidature en adaptant notre modèle de lettre de motivation pour intégrer une fac en Master Droit International selon votre parcours universitaire, vos stages et vos expériences. Vous n'oublierez pas de démontrer la cohérence de votre demande de formation
Les relations internationales désignent les relations multiformes entretenues entre les individus, les organisations privées et les institutions publiques d’États distincts. Au niveau de la formation, les relations internationales sont une sous-spécialisation de la science politique. Les étudiants intéressés par cette discipline peuvent faire un master relation internationale à lyon. Très généraliste, ce cursus permet d’acquérir diverses compétences en sciences politiques et géopolitiques. Il prépare ainsi à un large panel de métiers. Découvrez notre tour d’horizon des métiers des relations internationales. Sommaire 1 Analyste2 Responsable relations internationales3 Conseiller stratégique4 Analyste géopolitique5 Journaliste6 Responsable communication internationale7 Manager humanitaire 1 Analyste Analyste de stratégie internationale, analyste en intelligence économique ou encore analyste politique européenne… Ces métiers, généralement accessibles après un master au moins, exigent une bonne capacité d’analyse des problématiques de différents ordres économique, politique, social, financier, etc.. Après avoir analysé la situation, il va mettre en place de recommandations pertinentes et proposer des solutions permettant aux décideurs et autres directeurs d’entreprise de réagir à ces problématiques, voire les anticiper. 2 Responsable relations internationales Diplomate, autonome et capable de s’adapter dans des contextes multiculturels, le responsable relations internationales est en mesure de motiver et fédérer ses équipes et les mobiliser autour d’objectifs communs. Sa maîtrise des contextes, des marchés internationaux et des règles de droit de la concurrence lui permettent d’adapter ses stratégies en fonction du pays ciblé. Il s’agit de ce fait d’une fonction stratégique et indispensable pour les entreprises qui souhaitent s’internationaliser. 3 Conseiller stratégique En indépendant ou au sein d’un cabinet de conseil, le conseiller stratégique, ou consultant en stratégie, met son expertise et ses connaissances au service des dirigeants de grandes entreprises ou des États. Il identifie les actions à même de permettre à ces derniers d’atteindre leurs objectifs stratégiques. Pour ce faire, il va analyser la situation actuelle, détecter les risques et formuler des préconisations adéquates. 4 Analyste géopolitique Spécialiste d’une zone géographique en particulier, il a une parfaite connaissance des différents problèmes d’ordre politique et sécuritaire la concernant. Son expertise et sa parfaite maîtrise des méthodes analytiques lui permettent de proposer des analyses détaillées de la situation dans cette zone géographique, de quoi aider les politiciens et les hommes d’affaires à avoir une vision plus claire et prendre des décisions pertinentes, que ce soit en matière d’investissement, de relations diplomatiques ou autres. 5 Journaliste Le journaliste spécialiste des relations internationales propose ses analyses en forme de billets, articles de presse, interventions sur les plateaux radio et télé, reportages, etc. En bon connaisseur des relations internationales, il peut se spécialiser dans une zone géographique donnée Moyen-Orient, Chine, Amérique du Nord… Il analyse les événements en les mettant en rapport avec d’autres faits survenant dans différentes régions du monde, pour obtenir une vision globale, neutre et objective. 6 Responsable communication internationale Le responsable communication internationale, ou chargé de communication internationale, met au point une stratégie de communication pour promouvoir son entreprise à l’international. Cette stratégie doit être adaptée aux spécificités des marchés ciblés et prendre en considération la dimension interculturelle, ainsi que les besoins et les attentes des consommateurs dans les pays concernés. Il a également pour mission de formuler des conseils et des préconisations à destination de la direction générale, visant à améliorer davantage la communication internationale. 7 Manager humanitaire Ce métier humanitaire consiste à déterminer les besoins des populations dans des contextes de crises humanitaires conflits armés, famine, catastrophes naturelles, etc.. Son objectif consiste à mobiliser les moyens et les outils nécessaires pour venir en aide aux populations sinistrées de la manière la plus efficace et la plus rapide qui soit. Il va ainsi chercher les financements nécessaires, superviser l’organisation des missions humanitaires, mettre en place un plan d’action, etc. Il va également constituer les équipes nécessaires pour mener les opérations sur le terrain. A lire également Comment travailler dans l’humanitaire ?
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Pour augmenter vos chances de trouver du boulot ! Le Forem et l’Observatoire bruxellois de l’Emploi publient chaque année une liste des fonctions critiques et des métiers en métiers en pénurie sont des métiers pour lesquels il n'existe pas un nombre suffisant de demandeurs d'emploi pénurie de main-d’œuvre.Les fonctions critiques sont des métiers pour lesquels il y a un nombre suffisant de demandeurs d'emploi mais pour lesquels les conditions de travail, les aspects qualitatifs diplômes requis, expérience nécessaire, langues à maîtriser ou des problèmes de mobilité peuvent expliquer les difficultés de d’information iciPicto jaune FC métier en fonction critiquePicto rouge P métier en pénurieWAL WallonieBXL Région de Bruxelles-CapitaleGERM Région germanophone
Pourdes études plus longues, vous pouvez envisager une Licence ou un Master pro, spécialisés en commerce et vente, ou marketing notamment. Mais les écoles de commerce restent un must bien sûr. Elles permettent l’acquisition des bases en commerce, mais aussi en management. De plus, elles ouvrent leurs étudiants à l’international grâce à de longs séjours
Vous rêvez de travailler dans le commerce ou la vente Découvrez les métiers pour travailler dans le domaine du commerce ou de la vente et trouvez un CDI Avec notre formation boulanger qui est subventionnée à 100% par les Aides de l’Etat Les métiers du commerce et de la vente offrent de nombreux débouchés. Que vous souhaitiez travailler dans la grande distribution, le e-commerce ou encore dans l’immobilier, un large éventail de métiers vous seront accessibles une fois diplômé ou certifié par un titre professionnel. Le secteur du commerce a toujours su tirer son épingle du jeu même en temps de crise. L’insertion professionnelle est facilitée par une grande variété de métiers et les perspectives d’évolution sont multiples, qu’il s’agisse de manager une équipe de vente ou de se spécialiser dans une branche en particulier assurances, immobilier, automobile, e-commerce, etc. Voici 10 métiers du commerce et de la vente à exercer quand on souhaite développer ses compétences relationnelles et aiguiser sa fibre commerciale ! 1. Conseiller commercial Le conseiller commercial vend des produits et des services à ses clients, souvent dans une banque ou une société d’assurances. Il prospecte par différents moyens mail, téléphone, site internet afin de développer son portefeuille clients et met à contribution ses talents de négociateur pour conclure une vente. Comme tout commercial, son sens de la communication est aiguisé mais il sait surtout être à l’écoute de ses prospects pour trouver les arguments qui feront mouche et leur proposer le service ou le produit le plus adapté à leurs besoins. Formation Un bac+2 est recommandé pour devenir conseiller commercial. Le BTS NDRC Négociation et Digitalisation de la Relation Client, le BTC MCO Management Commercial Opérationnel, mais aussi le DUT TC Techniques de Commercialisation font partie des pistes envisageables pour exercer ce métier. Un titre professionnel comme celui de conseiller relation client à distance » est tout aussi porteur. 2. Technico-commercial Partie intégrante de la force de vente, le technico-commercial doit aussi gérer un portefeuille clients en mettant tout en oeuvre pour le gonfler et transformer un prospect indécis en client convaincu. Son point fort ? Sa double compétence, technique et commerciale, qui lui permet d’une part de connaître les aspects techniques d’un produit ou un service sur le bout des doigts du logiciel au médicament en passant par du matériel agricole et d’autre part de maîtriser les techniques de vente que tout bon commercial est censé exploiter durant ses échanges avec la clientèle. Comme tout métier commercial, ce poste requiert un bon relationnel, un sens du contact évident ainsi qu’une grande disponibilité et réactivité. Formation Les parcours conduisant au métier de technico-commercial sont nombreux. Le bon sens encourage à suivre une formation commerciale suivie d’une formation plus technique dans le domaine visé BTP, industrie, agriculture. Certains cursus pourront vous faire acquérir des compétences techniques et commerciales à la fois, ce qui vous évitera de devoir poursuivre vos études une fois un bac+2 ou un bac+3 en poche Licence, Bachelor. 3. Chargé de clientèle Le chargé de clientèle est l’interlocuteur privilégié des clients et des prospects. Sa capacité d’écoute, son goût pour la vente et la négociation lui permettent de proposer des solutions personnalisées qui garantiront la satisfaction client et donc leur fidélisation. A l’aise aussi bien au téléphone qu’avec les outils informatiques et les logiciels bureautiques outils CRM, le chargé de clientèle doit se montrer fin psychologue et faire preuve de pédagogie toujours dans le but de mieux comprendre les attentes des clients mais aussi de s’adapter à chaque personnalité. Formation Un diplôme de niveau bac+2 sera souvent suffisant pour accéder à un poste de chargé de clientèle. Une fois le bac en poche, vous pouvez entre autres vous tourner vers le BTS Assistant de Gestion, le BTS MCO, le DUT Techniques de Commercialisation ou encore le BTS NDRC. 4. Vendeur en magasin Le vendeur en magasin tient la caisse d’un point de vente, gère les stocks, renouvelle les rayons et accueille les clients tout en prenant soin de les conseiller dans leurs potentiels achats. Qu’il travaille au sein d’une grande surface, d’une boutique de prêt-à-porter ou d’un magasin de jeux vidéo, le vendeur en magasin doit être doté de réelles aptitudes relationnelles s’il souhaite voir prospérer son espace de vente et fidéliser sa clientèle. Toujours à l’écoute, il saura, grâce à son excellente connaissance des produits mis en vente, placer les arguments qui sauront convaincre un client hésitant d’aller jusqu’à l’étape finale du processus d’achat. Formation Les formations pour devenir vendeur en magasin sont légion le CAP équipier polyvalent du commercele Bac Pro Commercele BTS MCOle BTS NDRCle DUT Techniques de Commercialisationle titre professionnel vendeur conseil en magasin 5. Ingénieur commercial Comme beaucoup de commerciaux, l’ingénieur commercial prospecte et vend des produits et services dans une zone géographique prédéfinie. Sa particularité ? Son statut d’ingénieur qui implique de solides compétences techniques dans un domaine en particulier. Si on ajoute à cela sa maîtrise des techniques de vente, l’ingénieur commercial se présente comme un vendeur hors-pair qui saura toujours proposer la solution la plus adaptée à chaque client. Parmi ses autres atouts figurent un esprit d’équipe aiguisé, un bonne dose d’autonomie et un sens de l’analyse affuté. Formation Mieux vaut viser un bac+3 minimum pour exercer ce métier. Une Licence pro à l’université, un Bachelor dans une école privée, un diplôme d’une école d’ingénieur ou d’une école de commerce sont autant de pistes envisageables pour décrocher un poste d’ingénieur commercial. 6. Télévendeur Pas besoin d’être physiquement sur place pour mener une vente à son terme. Le télévendeur utilise le téléphone, ou tout autre outil de communication digitalisé, pour proposer ses produits ou ses services à des professionnels ou à des particuliers. Il s’appuie sur une base de données pour contacter des prospects et tenter de les convertir en clients. Si son principal objectif est souvent de trouver les bons mots pour déclencher une vente, le télévendeur peut aussi mesurer la satisfaction client en réalisant des enquêtes et autres sondages. Ce poste requiert un bon relationnel, de la ténacité et une bonne résistance au stress à l’instar des autres métiers du commerce, la profession de télévendeur n’échappe pas à la pression des objectifs de vente et au contact avec des personnes au caractère bien trempé. Formation De multiples opportunités professionnelles sont à saisir y compris pour des profils peu diplômés. Néanmoins, les candidats à un poste de télévendeur seront plus susceptibles d’être embauchés s’ils sont issus d’une formation commerciale diplômante ou certifiante du BTS MCO au BTS NDRC en passant par le titre professionnel conseiller relation client à distance ». 7. Acheteur Si l’intitulé du poste ne laisse que peu de place au mystère, la fonction d’acheteur mérite bien quelques précisions. Tout d’abord, il anticipe et analyse les besoins de son entreprise pour estimer le budget consacré à l’approvisionnement de biens et de services. Il sélectionne ensuite des fournisseurs et peut lancer un appel d’offres en vue d’acheter le produit ou service convenu au meilleur prix sans jamais négliger l’aspect qualitatif. L’acheteur doit également tenir la négociation jusqu’à la conclusion de la vente, gérer les risques juridiques et les contraintes du transport international. A l’image de nombreux autres métiers du commerce, la profession d’acheteur nécessite généralement une excellente maîtrise de l’anglais, voire parfois d’une deuxième langue étrangère allemand, espagnol, mandarin, etc.. Formation Les recruteurs embauchent des personnes titulaires du bac+2 au bac+5. Sans surprise, ce sont les formations à dimension commerciale qui devront être privilégiées pour décrocher un poste d’acheteur du BTS au Master 2 en passant par les incontournables écoles de commerce. 8. Hôte de caisse L’hôte ou l’hôtesse de caisse accueille, informe, conseille et renseigne la clientèle, enregistre les achats, et réalise, si besoin, de la mise en rayon. Il pourra également accomplir d’autres missions annexes selon l’enseigne pour laquelle il travaille. Globalement, un hôte de caisse exerçant dans une supérette profitera d’une plus grande polyvalence qu’en grande surface même si ce n’est pas toujours une vérité générale. Les principales compétences requises pour devenir hôte de caisse sont la rigueur, le sens du relationnel ainsi qu’une bonne condition physique station assise ou debout prolongée. Formation Les besoins sont tels que les hôtes de caisse en exercice sont loin d’avoir tous effectué une formation commerciale. Les formations internes sont courantes et permettent d’apprendre le métier sur le tas, au contact de professionnels plus expérimentés. Toutefois, certains cursus auront tendance à rassurer les recruteurs citons le CAP employé de commerce multi-spécialités et le bac pro Métiers du Commerce et de la vente en tête de liste. 9. Chef de rayon Au sein d’une grande surface comme d’un supermarché ou d’un magasin spécialisé, le chef de rayon est en charge de la gestion et de l’animation d’un rayon dédié informatique, produits culturels, équipements sportifs, vins et spiritueux, etc. Devant répondre à des objectifs commerciaux précis, il s’attelle à développer la fréquentation et les ventes de son rayon par différentes techniques marketing et commerciales. Il peut notamment réfléchir à une meilleure mise en valeur de ses produits, lancer des campagnes de promotion, proposer des stands d’animation dégustation, essai d’un produit ou échantillon gratuit. Il est également à la tête d’une équipe de vendeurs qu’il devra motiver et piloter pour pouvoir atteindre les objectifs fixés par la direction commerciale. Formation Les formations vont du bac+2 au bac+5. Des diplômes comme le BTS MCO, le BTS NDRC ainsi que le DUT Techniques de Commercialisation ou la Licence pro Commerce sont autant de cursus possibles pour devenir chef de rayon. Une première expérience professionnelle en magasin, même si cela rentre dans le cadre d’une formation en alternance facilitera les opportunités d’embauche des futurs responsables de rayon. 10. Responsable commercial Le responsable commercial est tout simplement la personne qui décide et fait appliquer la politique commerciale d’une entreprise. Il s’agit évidemment d’un poste aux hautes responsabilités qui implique de solides compétences managériales. Son expertise dans le domaine du commerce et ses compétences en marketing lui permettront de prendre des décisions pour développer le chiffre d’affaires de sa société. Impossible de citer l’ensemble des missions susceptibles d’être prises en charge par un responsable commercial, mais on peut mentionner entre autres des activités telles que la veille concurrentielle, l’analyse des résultats commerciaux et la mise en place d’axes d’optimisation ainsi que la prospection sans oublier toute la partie liée au management d’équipe. Formation On accède généralement au métier de responsable commercial à la suite d’une promotion interne mais des formations pourront faciliter la prise de poste. Le bac+2 semble être le strict minimum et la plupart des candidats souhaitant endosser des fonctions managériales une fois diplômés ont tendance à poursuivre leurs études jusqu’au bac+3, voire au bac+5 pour les plus motivés. Vous souhaitez travailler dans le commerce ou la vente Inscrivez vous à notre formation subventionnée par le Gouvernement Remplissez le formulaire
Quellesétudes pour travailler à l’ONU ? Pour décrocher une carrière internationale dans une organisation comme l’ONU, il faut avoir fait des études en Sciences Politiques et Relations Internationales. L’école Niccolò Cusano propose des formations à distance en Sciences Politiques. Vous pouvez commencer votre carrière internationale grâce à notre formation à
Codes associés CNP 4168 ? Bulletin courriel Votre contact privilégié avec le monde scolaire et le marché du travail!
Parceque les compétences acquises au cours des études sont transférables, les étudiants qui étudient les relations internationales vont plus loin pour travailler dans différents secteurs et carrières, notamment l’activisme, la sécurité nationale, le renseignement et l’analyse militaires, les frontières des affaires internationales, etc.
Vous souhaitez travailler pour une entreprise internationale ou dans une institution internationale telle que l’ONU ? Retrouvez dans notre dossier les informations utiles à votre candidature incluant le parcours d’études, les compétences, les métiers et le salaire. Conseils pour travailler à l’ONU L’inspection En charge entre autres de la paix, de la sécurité, de l’application des droits de l’homme et de l’action humanitaire, l’ONU recherche du personnel qualifié, possédant les qualités requises pour les missions confiées. Avant de déposer votre candidature, recueillez le plus d’informations sur les options de carrière au sein de cette organisation. Visitez son site officiel pour mieux cerner les différents types d’emplois proposés, vos domaines d’intérêt ainsi que la catégorie d’employés à intégrer. La formation et les compétences Chaque poste a des exigences spécifiques en termes de parcours d’études et d’expériences. En général, ces conditions doivent être remplies une bonne maitrise de l’anglais ou du français, langue de travail de l’organisation, et des notions d’arabe, de chinois, d’espagnol ou de russe. Chaque candidat doit aussi être titulaire d’une licence ou d’un diplôme supérieur. L’ESGCI propose des formations en Marketing & Relations Internationales en phase avec les attentes du marché du travail. Elle permet aux étudiants de développer les compétences requises pour la réalisation des missions intégrant entre autres la capacité à travailler dans des équipes diversifiées et multiculturelles, le sens de la compétition, la connaissance des problématiques, le renforcement des compétences en marketing et commerce. Ce programme s’ouvre sur de nombreux débouchés dont Acheteur international, Brand manager, Responsable marketing ou Responsable export. Par ailleurs, une solide expérience professionnelle dans un domaine apparenté est nécessaire. La candidature Accédez au site de recrutement de l’ONU pour être informé des vacances de poste. Ouvrez un compte sur lequel seront présentés vos renseignements, entre autres votre profil PHP qui n’est autre que votre CV. Suivant les instructions en ligne, soumettez votre candidature. Travailler à l’ONU les conditions Rémunérations et prestations L’Organisation des Nations Unies vous propose un salaire attrayant, incluant un traitement et des prestations concurrentielles. À noter que le niveau de rémunération du personnel de la catégorie des administrations et fonctionnaires de rang supérieur est fixé en référence à la fonction publique nationale la mieux payée. Les métiers Les métiers proposés au sein de l’ONU sont variés et concernent différents secteurs comme l’administration, l’économie, l’informatique, les finances, les services linguistiques et apparentés, les services juridiques et apparentés, la bibliothécomie, l’information, le développement social et la statistique.
Questionsinternationales. Mondialisation, enjeux stratégiques, tensions géopolitiques : tous les deux mois, Questions internationales consacre un dossier à un sujet central de l’actualité internationale ou européenne. La revue présente les analyses des meilleurs experts de façon claire et synthétique.
Vous aimez les langues ? Une, deux, voire trois langues fleurissent dans vos conversations ? Vous êtes étudiante, professionnelle en reconversion, et vous vous demandez comment exploiter ce talent pour les langues ? Nous avons mené l’enquête pour vous brosser un tableau des opportunités offertes par le monde des langues aujourd’hui. Un circuit long, parfois encombré, mais toujours passionnant La donne économique mondialisation, l’échiquier politique l’Europe, les bouleversements démographiques ont changé notre rapport aux langues. Elle est bien loin l’époque où l’anglais suffisait. Aujourd’hui, des langues comme le chinois, le polonais, l’indien ou le brésilien sont devenues précieuses et recherchées. Le français, 14e langue pratiquée au monde derrière l’allemand, l’espagnol ou le coréen, n’est pas dans le peloton des idiomes les plus enseignés et/ou recherchés… En France, nous l’avons bien compris et en apprenons beaucoup, des langues. En 2014, ils étaient plus de 110 000 1 étudiants inscrits en langues, dont 74,1% sont des étudiantes elles montreraient d’ailleurs de meilleures compétences que les garçons en anglais, selon une étude EF EPI. Si l’on va au bout de ses 5 ans études, on peut espérer devenir interprète, traducteur, enseignant ou chercheur. Ces débouchés étroits qui n’ont absorbé en 2014 que très peu d’étudiants trouvent de nouvelles ramifications avec des secteurs comme le commerce, la communication, le marketing, le tourisme, où la maîtrise d’une ou de plusieurs langues est un atout qui se valorise sur un CV. L'anglais est incontournable. L'espagnol est précieux. Le chinois est un vrai plus. Les débouchés académiques d’enseignant à chercheur Les débouchés après des études de langues offrent peu de postes, avec pourtant un long cursus de 5 à 8 ans. Traducteur écrit et interprète oral. Le traducteur travaille en grande majorité sur des documents juridiques et financiers contrats, bilans, rapports annuel…, techniques et scientifiques brevets modes d'emploi, articles…, commerciaux publicité, courriers, etc., audiovisuel DVD, internet, sous-titre…, ou plus rarement sur des romans. L’interprète, lui, traduit le discours d'un orateur étranger. Il interprète, c’est-à-dire il comprend et restitue l’idée avec la même intensité et la même intention, sans traduire mot à mot. L’interprétation peut se faire a posteriori, on en écoles l’École Supérieure d'Interprètes et de Traducteurs ESIT pour un master professionnel, l’ISIT Institut de Management et de Communication Interculturels, anciennement Institut Supérieur d'Interprétation et Traduction et l'École Supérieure de Traduction et de Relations Internationales ESTRI, à Lyon de bac+3 à Bac+5. Enseignant en langues en plus de maîtriser parfaitement la langue, il va s’agir de maîtriser sa classe. Aisance relationnelle, écoute, patience, pédagogie et fermeté sont quelques-unes des qualités nécessaires. C’est l’anglais qui offre le plus de débouchés aujourd’hui, plus de 90 % des élèves de 6e le choisissent en parcours ? Il faut être titulaire d’un bac+5 master pour prétendre passer le concours CAPES pour collèges et lycées, CAPEP pour établissements privés, CAPET et CAPLP pour l'enseignement technologique et professionnel, ou l’agrégation - niveau doctorat, pour les classes préparatoires ou université. Avant de passer ces concours, nous conseillons de passer par une licence LLCE Langues, Littératures et Civilisations Étrangères, un master mention MEEF mention "second degré" dans la matière d'enseignement souhaitée, ou par les Écoles Supérieures du Professorat et de l'Éducation ESPE rattachées à une académie, qui proposent des masters spécialisés et professionnels. La session 2014 du CAPES a ouvert 1 000 postes de professeurs d’anglais. Recherche ces métiers consistent à étudier les langues parlées dans le monde entre 3 000 et 7 000 et d'adapter ces langues aux évolutions de la société. Le linguiste-chercheur, par exemple, s’appuie sur une approche scientifique pour comprendre et décortiquer les langues. Il travaille en organisme de recherche, à l'université comme enseignant-chercheur bac+8, dans des sociétés privées comme pour de la reconnaissance et de la synthèse vocales. Le terminologue entre la traduction scientifique, littéraire et technique, il cherche les adaptations françaises les mieux adaptées, notamment pour les néologismes, les mots anglais comme WalkMan = Baladeur, Email = Courriel et les mots techniques et scientifiques. Il peut travailler dans des organisations ministère, ONU, Union Européenne, agences de traduction ou grandes entreprises industrielles ou université comme chercheur ou enseignant. 1001 autres métiers pour vos langues étrangères Et puis il y a tous ces métiers qui ont ouvert des débouchés aux études de langues, avec notamment l’ultra-mondialisation le monde est un village, où l’anglais, le chinois ou l’espagnol peuvent être de sacrés avantages. Les deux tiers des diplômés en langues rejoindraient d’ailleurs des entreprises. Ils ont souvent suivi la filière Langues Étrangères Appliquées LEA, plus orientée vers l’entreprise. Avec deux langues étudiées à niveau égal, elle se concentre sur une pratique en contexte professionnel, avec notamment des matières comme économie, gestion, droit, commerce, tourisme… Après la L2, on peut s'orienter vers une licence professionnelle guide-conférencier, hôtellerie internationale et hébergements touristiques....Pour quoi faire ? Des métiers de l’international, par définition ils peuvent se retrouver partout. Chef de chantier, diplomate, assistant marketing, nounou… tous les métiers sont concernés dès lors que l’entreprise et/ou l’opportunité sont internationales. Quels sont les secteurs qui ont le vent en poupe ? Le marketing / commerce commercial import-export, ingénieur technico-commercial, communication chargé des relations publiques et la gestion administrative assistant trilingue recrutent beaucoup. La restauration de serveurs à responsable, la restauration est toujours en recherche. Le tourisme guide touristique, hôte en agence, accompagnateur de voyages ou hôtesse de l’air / steward, 2 ou 3 langues sont d’excellents arguments. Les services si entreprise internationale avec notamment la possibilité de faire un VIE voir notre articles travailler à l’étranger ». Bien des postes peuvent alors s’ouvrir selon votre formation administrateur de mission humanitaire, Ingénieure pétrolier, chef de projet international… Comment choisir votre formation ? Il existe de nombreux tests d’orientation ou des fiches métiers expliquant clairement les métiers votre moteur de recherche vous en trouvera des centaines. Si vous préférez des contacts plus humains, rendez-vous auprès d’une conseillère d’orientation dans des centres CIDJ par exemple, ou renseignez-vous directement auprès de personnes exerçant déjà le métier souhaité vous les trouverez lors de salons étudiants ou de salons de l’orientation. L’occasion de vous renseigner plus précisément sur les missions, les qualités nécessaires, le niveau d’études, les débouchés… Mais avant tout, il vous faut être sûr de votre niveau de langues avant de vous lancer en effet, ces métiers demandent un niveau proche du bilinguisme. Il n’y a rien de grave à ne pas l’être encore mais il faut prévoir d’y travailler. Testez gratuitement votre niveau d’anglais avec CoursLangues cela prend quelques minutes, pour être sûr ! À très bientôt ! 1 Nos conseils d'expert LindaCe qu’il faut retenir Les langues sont un vrai atout quand on aime les métiers liés à la communication. Savez-vous que selon le CECRL Cadre Européen Commun de Référence des Langues, le niveau B1 peut déjà suffire pour pouvoir travailler dans un secteur précis? Son conseil Valorisez vos acquis dans les langues étrangères, peu importe le niveau ! Cela vous intéressera Testez votre niveau gratuitement Cela peut vous intéresser Depuis 20 ans, Campus Langues accueille plus de 4000 élèves par an dans ses cours de français et d’anglais. Notre expertise nous a encouragés à créer le 1er site de conseil en formation linguistique Vous souhaitez apprendre l’anglais ? Courslangues vous donne les clés pour choisir votre formation en anglais, tester votre niveau, certifier vos progrès. Courslangues, c’est aussi des bons plans pour apprendre l’anglais gratuitement ou s’immerger dans un bain linguistique avant le grand saut ! Courslangues vous aide à faire le point sur votre niveau, vos objectifs et comment les atteindre. Il s’agit de déterminer quel type de cours est fait pour vous cours particulier, cours en groupe ou cours en ligne. Apprendre le français pour travailler ou étudier en France ? Courslangues vous conseille dans vos démarches administratives que vous soyez étudiant-e, au pair ou de passage à Paris. Prenez en main votre formation avec des conseils pour progresser, des astuces pour parler la langue au quotidien et découvrir la culture de la langue française. Avec Courslangues, rencontrez ceux qui partagent la même passion pour le français !
Dixmasters universitaires à forts débouchés. Les universités délivrent certains bac+5 assez pointus très appréciés des entreprises. L'entrée se fait souvent à bac+3 ou bac+4, parfois à bac+2, sur une sélection sévère. Mais pour ceux qui ont le profil adapté, c'est le ticket gagnant pour de beaux postes de cadres, dans des
Le Canada est l’un des pays les plus accueillants pour les étudiants étrangers ils sont chaque année près de 300 000 à suivre un cursus d’études supérieures dans un établissement canadien, parmi lesquels plus de 20 000 étudiants français. Selon une récente enquête du ministère de l’immigration du Canada, le nombre de Français qui font une demande de permis d’études augmente en moyenne de 8,9 % chaque année. Le pays compte 93 universités, dont plusieurs sont classées parmi les meilleures du monde. C’est notamment le cas des 5 meilleures universités du pays selon le classement du Times Higher Education l’université de Toronto, l’université de Colombie-Britannique Vancouver, l’université McGill Montréal, l’université McMaster Hamilton, en Ontario et l’université de Montréal. La plupart des étudiants français choisissent de s’inscrire dans l’une des 14 universités francophones du Québec. De fait, la Belle Province pratique une politique d’accueil particulièrement dynamique. Pourtant, il est parfaitement possible de faire des études en français dans d’autres provinces canadiennes tout en vivant dans un environnement anglophone. “Le Canada tient à maintenir la balance entre les deux langues et de nombreux établissements universitaires font des efforts en ce sens”, souligne Miguel Robichaud, premier secrétaire à l’ambassade du Canada à Paris. Comment présenter une demande d’admission ? Obtenir un permis d’études ? Quel est le montant des frais de scolarité pour les étudiants français ? Peut-on espérer décrocher une bourse ? Où se loger ? Comment obtenir un permis de travail ou rester au Canada après la fin de son cursus ? Voici les réponses et les conseils de Miguel Robichaud et de Jacques-Henri Gagnon, chargé des relations universitaires à l’ambassade du Canada à Paris, accompagnés de nombreux liens vers des articles consacrés aux études au Canada par Courrier Expat ainsi que par notre partenaire Le Monde Campus. Partir après le bac Présenter une demande d’admission. La première chose à faire, pour un étudiant désireux de préparer en trois ou quatre ans un baccalauréat canadien l’équivalent de la licence est de choisir le programme auquel il veut s’inscrire pour pouvoir présenter une demande d’admission auprès d’un établissement d’enseignement postsecondaire. La lettre d’admission délivrée par l’université est indispensable pour obtenir un permis d’études auprès des services de l’immigration. Le site EduCanada tient à jour un Répertoire des établissements d’enseignement au Canada. Le même site offre un outil de recherche sur les programmes d’études postsecondaires par profession visée et par province. Chaque université canadienne définit ses propres critères d’admissibilité. Il faut donc impérativement se renseigner auprès de chaque établissement. Il est recommandé de présenter sa demande d’admission bien à l’avance – idéalement, un an à l’avance. “Mais beaucoup d’universités restent relativement souples, précise Jacques-Henri Gagnon. Un étudiant qui présente un très bon dossier en juillet peut même être admis pour la rentrée d’automne.” Les sessions d’information du Centre culturel canadien. L’ambassade du Canada à Paris organise régulièrement des sessions d’information sur les études au Canada au Centre culturel canadien. “Il y a plus d’une centaine d’événements chaque année autour de ce thème, explique Jacques-Henri Gagnon. Le plus simple, pour un étudiant français qui veut s’inscrire dans une université canadienne, est de venir à l’un de ces événements. Les universités canadiennes se déplacent pour l’occasion. Les responsables des admissions sont là et il est tout à fait possible de repartir avec en poche sa lettre d’admission.” Le système québécois. Le système postsecondaire québécois présente une spécificité le passage par l’un des 48 collèges d’enseignement général et professionnel Cégep y est obligatoire, pour tous ceux qui ont fait leurs études secondaites au Québec, avant d’accéder à l’enseignement supérieur. Cette disposition ne concerne pas les étudiants français le bac est reconnu comme le iplôme donnant directement accès à l’université. Postuler en échange universitaire De nombreux programmes d’échange. Un étudiant qui a commencé ses études en France peut bénéficier des très nombreux accords d’échanges passés entre les universités françaises et les établissements canadiens, y compris les universités anglophones. Il convient de se renseigner directement auprès du service des relations internationales de son université. “De nombreuses ententes existent entre établissements. Les étudiants français ne connaissent pas toujours les opportunités qui leur sont offertes, et pas seulement au Québec”, regrette Jacques-Henri Gagnon. Parmi les programmes d’échanges les plus connus, le Bureau de coopération interuniversitaire ex-programme Crepuq a pour objectif de permettre aux étudiants français d’effectuer un semestre ou une année d’études au sein d’une université québécoise. Il est accessible à tout étudiant français qui a déjà effectué au moins une année d’études supérieures. Les avantages. “Partir dans le cadre d’un programme d’échange présente un double avantage d’une part, l’étudiant n’a pas à payer de frais de scolarité au Canada ; d’autre part, son université se charge souvent de la plupart des démarches administratives”, souligne Jacques-Henri Gagnon. Attention dans les universités anglophones, le TOEFL ou une attestation de niveau de langue sont souvent exigés. Cursus et pédagogie Le schéma des études postsecondaires au Canada présente certaines différences qu’il faut connaître avec celui des études supérieures en France. Le baccalauréat ou bachelor, qui équivaut à notre licence, se prépare généralement en quatre ans. Au Canada, on entre donc souvent en master en cinquième année d’études postsecondaires. C’est surtout au niveau de la pédagogie mise en œuvre que les différences sont le plus marquées apprentissage par problèmes, classe inversée et formation mixte sont en vogue dans un pays leader dans ces nouvelles méthodes d’apprentissage. “Il y a très peu de cours magistraux, explique Jacques-Henri Gagnon. On travaille en équipe, par atelier, et on utilise beaucoup Internet et les nouvelles technologies de communication. Mais les professeurs sont toujours accessibles pour leurs étudiants dans leur bureau aux heures ouvrables. Au niveau du contrôle des connaissances, les enseignants ont une grande marge de manœuvre. Il y a en principe deux sessions d’examens, en automne et en hiver. Mais le contrôle continu et la participation sont largement pris en compte. Il y a une grande proximité entre étudiants et enseignants. Tout vise à l’acquisition de compétences et le maximum est fait pour que le jeune devienne autonome.” Frais de scolarité et budget Les frais de scolarité sont plus élevés au Canada que dans les universités françaises, mais étudier au Canada reste beaucoup moins onéreux, pour un étudiant français, qu’étudier aux Etats-Unis ou au Royaume-Uni. Au Québec. Depuis la rentrée 2015, les frais d’inscription ont augmenté pour les étudiants français qui s’inscrivent en premier cycle dans une université québécoise ils paient désormais les mêmes droits que les Canadiens non québécois, soit un peu plus de 4 000 euros par an les autres étudiants étrangers paient beaucoup plus cher !. Beaucoup de cursus offerts par les universités québécoises n’en restent pas moins attrayants pour les étudiants français. Un exemple parmi d’autres le “Bachelor of commerce” de la prestigieuse faculté de Montréal, qui compte 17 % d’étudiants français. La fourchette des frais de scolarité. Selon Jacques-Henri Gagnon, les frais de scolarité pour un étudiant français peuvent courir, selon les universités, de 6 000 à 12 000 dollars canadiens environ de 4 000 à 8 000 euros. Mais là encore des ententes avantageuses du point de vue financier existent avec les universités françaises. C’est le cas à l’université d’Ottawa, qui pour attirer les francophones a décidé de baisser leurs frais de scolarité à 4 800 euros. Seule condition demandée par cet établissement de la capitale du Canada que les étudiants choisissent au moins trois cours enseignés en français neuf crédits par session. Coût de la vie. Il existe une différence importante au niveau du coût de la vie entre des métropoles telles que Toronto ou Montréal, relativement chères, et les villes moyennes. “Une étude de l’université du Nouveau-Brunswick montre que pour un étudiant français habitant en région il n’est pas plus coûteux de venir étudier dans cette province canadienne que de choisir d’étudier à Paris”, souligne Jacques-Henri Gagnon. De son côté, Emma Roussel, coordinatrice des journées Etudier au Québec, assure que l’année passée au Québec revient tout compris à 15 000 euros voyage, logement, inscription, vie quotidienne…, 20 000 euros à Montréal, soit “pas plus cher qu’une année d’études à Paris”. Obtenir un permis d’études Pas besoin de permis d’études pour un étudiant qui envisage de suivre un programme qui dure six mois ou moins. Dans les autres cas, le permis d’études, qui s’obtient auprès des services de l’immigration canadiens, est obligatoire. Pour déposer en ligne une demande de permis d’études, il faut avoir été admis dans un “établissement d’enseignement désigné” toutes les universités canadiennes figurent dans la liste et avoir reçu sa lettre d’acceptation. Les délais de traitement peuvent varier en fonction du nombre de demandes. Pour les jeunes Français, il est en principe de deux semaines. Le permis d’études est accompagné de l’AVE indispensable pour les citoyens français. Pour obtenir le permis d’études, l’étudiant doit prouver qu’il dispose d’assez d’argent pour couvrir les frais de sa première année de séjour au Canada, soit environ 10 000 dollars canadiens 6 600 euros. “Une attestation de ressources des parents, un extrait de compte en banque font l’affaire”, précise Miguel Robichaud. Pour étudier au Québec. La province du Québec a une exigence supplémentaire les étudiants étrangers qui souhaitent déposer une demande de permis d’études doivent auparavant obtenir un certificat d’acceptation du Québec CAQ auprès des Services d’immigration du Québec. “La procédure peut sembler complexe, elle est en réalité très libérale, souligne Miguel Robichaud. L’étudiant qui veut faire ses quatre années complètes au Canada se verra accorder un permis d’études valable pour la durée totale de son séjour au Canada pouvant aller jusqu’à cinq ans. Ce qui lui permettra de compléter son cursus ou même de changer d’orientation tout en restant au Canada.” Les bourses Les étudiants qui partent après le bac peuvent bénéficier de bourses octroyées par certains établissements canadiens. Certaines provinces, comme les provinces Atlantiques, l’Ontario, le Nouveau-Brunswick ont en outre pris des dispositions favorables aux étudiants francophones, y compris au niveau du premier cycle. Il faut s’informer directement auprès des universités. Pour ceux qui partent en échange. Il existe plusieurs types d’aides financements du conseil départemental, du conseil régional ou du Crous. Pour les plus avancés. Plusieurs programmes de bourses canadiens, axés sur la recherche, sont ouverts aux étudiants français dès la dernière année de la licence comme les bourses Mitacs et Campus France. D’autres comme les bourses d’études supérieures du Canada Vanier s’adressent aux étudiants français au niveau du doctorat. Trouver un logement “Nous conseillons aux étudiants étrangers de se loger sur le campus, en résidence étudiante, la première année, explique Jacques-Henri Gagnon. L’université où ils sont inscrits pourra leur venir en aide dans tous les aspects de leur vie. En revanche, à partir de la deuxième année passée au Canada, nous conseillons une colocation en ville, toujours dans le but de favoriser la meilleure intégration possible. Le système fonctionne très bien au Canada, il n’y a pas besoin de garants et il est très bon marché.” Ce choix est d’ailleurs celui de nombreux étudiants canadiens. Concernant la colocation, un reportage du quotidien La Presse atteste que jeunes Montréalais et étudiants expatriés vivent très bien l’expérience. “A Montréal ou à Toronto, d’anciens hôtels ont été transformés en résidences étudiantes. C’est un nouveau service qui recueille un certain succès”, complète Jacques-Henri Gagnon. De toutes les grandes villes canadiennes, Montréal est par ailleurs celle qui affiche les loyers les plus bas 760 dollars canadiens 520 euros pour un appartement de quatre pièces. A noter tous les campus canadiens sont dotés d’un bureau médical très bien équipé. Les jobs étudiants Travailler sur le campus. Il est possible pour un étudiant étranger de travailler sur le campus de son université sans permis de travail, à condition d’être titulaire d’un permis d’études en cours de validité. Seule obligation faire une demande de numéro d’assurance sociale NAS. Travailler hors campus. Un étudiant étranger titulaire d’un permis d’études peut travailler 20 heures par semaine hors campus sans avoir besoin d’un permis de travail. Le numéro d’assurance sociale est indispensable. “Le marché du travail est très souple, assure Miguel Robichaud. Une entreprise qui veut employer un étudiant étranger n’a aucune démarche spécifique à effectuer. Un étudiant francophone n’aura pas de difficulté à trouver un job d’étudiant. Attention, si vous êtes parti en touriste, ne comptez pas travailler au Canada. Le permis d’études est indispensable.” Travailler dans le cadre d’un stage. De nombreux collèges et universités canadiens proposent des programmes de stages en alternance pour ajouter au cursus une expérience en entreprise. Les étudiants étrangers souhaitant s’inscrire à un programme coopératif ou à un programme de stage doivent obligatoirement demander un permis de travail en plus du permis d’études. “C’est un malentendu fréquent avec les étudiants au Canada, un stage effectué en cours d’études est assimilé à un travail et un permis de travail est nécessaire”, souligne Miguel Robichaud. Les étudiants étrangers partis dans le cadre d’un programme d’échange ne sont en revanche pas autorisés à travailler durant leur séjour. A noter les conjoints d’étudiants titulaires d’un permis d’études ont le droit de travailler au Canada durant toute la durée du permis d’études accordé au titulaire. C’est l’une des raisons qui font qu’étudiants étrangers – y compris les étudiants français – sont de plus en plus nombreux à partir avec leur conjoint, témoigne Miguel Robichaud. Rester au Canada après ses études Le Canada cherche à retenir les étudiants étrangers qui ont fait au moins une partie de leurs études dans le pays. Il est possible d’obtenir un permis de travail postdiplôme et même de faire une demande de résidence permanente sans avoir à quitter le Canada. Le permis de travail postdiplôme. Sa durée de validité ne peut pas excéder celle du programme d’études suivi au terme de huit mois d’études, par exemple, un permis de travail sera accordé pour huit mois. Sa durée maximale est de trois ans. L’expérience acquise sera prise en compte en cas de demande de résidence permanente. Devenir résident permanent. Depuis novembre 2016, le programme Entrée Express, qui s’adresse aux étrangers désireux d’immigrer, est devenu plus favorable à ceux qui ont suivi des études au Canada chaque crédit d’études et chaque diplôme obtenu sont désormais reconnus et permettent d’acquérir des points supplémentaires. Pour finir, Rénald Gilbert, directeur du programme de l’immigration à l’ambassade du Canada à Paris, dresse le portrait-robot de l’immigrant français au Canada il est jeune, il a fait de bonnes études et il a déjà tissé des liens avec l’importance communauté française au Canada.
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Que fait un Chargé de relations internationales ?Le chargé de relations internationales a pour fonction de finaliser des accords de coopération entre son employeur une collectivité territoriale, une université [ex projet Erasmus] et un ou plusieurs pays étrangers. Il accompagne la réalisation de divers projets pour concrétiser la politique de coopération internationale, ce qui implique une technicité certaine validité des accords, travail administratif, rédaction de rapports, coordination des actions et des différents acteurs impliqués dans les projets, mise en place de critères d’évaluation et analyse de résultats, élaboration de budgets, participation à la négociation de contrats et/ou de convention entre les parties. Il connaît donc le fonctionnement des programmes d’échanges internationaux. Grâce à son travail, les projets vont pouvoir se réaliser sur le pour être Chargé de relations internationalesLe chargé de relations internationales maîtrise, évidemment, l’anglais courant et technique. Une deuxième langue étrangère est obligatoire. Ce professionnel, très organisé, aime le travail d’équipe, possède un excellent relationnel qui lui permet de construire, de fédérer, de travailler avec d’autres personnes ayant une autre culture. Il sait donc s’adapter et a une certaine ouverture d’esprit. Il sait faire preuve de diplomatie et est capable d’une certaine autorité. Ses qualités rédactionnelles sont également excellentes. Responsable, capable d’initiatives, il sait être persévérant. Il possède des connaissances importantes dans le domaine du droit et de la gestion de projet. Des connaissances qu’il ne cesse d’actualiser. La profession demande beaucoup de disponibilité car de nombreux déplacement à l’étranger sont à devenir Chargé de relations internationales ?Master pro Arts, lettres, langues mention langues étrangères appliquées spécialité négociation de projets internationaux allemand, anglais, arabe, chinois, espagnol, grec moderne, italien, portugais, russeDonnées statistiques sur le poste Chargé de relations internationalesDerniers diplômes obtenus par les membres de notre panel avant d'accéder au poste de Chargé de relations internationalesCombien gagne un Chargé de relations internationales ?Pour le salaire d’un chargé de relations internationales, il faut se référer à la grille indiciaire catégorie A Attaché territorial – filière administrative ».Ainsi, un débutant pourra prétendre à une rémunération approchant les 1800 euros bruts mensuels. Selon cette grille, le dernier échelon propose un salaire de 3 111 euros faut savoir que les fonctionnaires territoriaux perçoivent des primes annuelles non négligeables et ont un budget de fonctionnement très intéressant lorsqu’ils sont en déplacement à l’étranger.
Lescours explorent en profondeur les aspects politiques, juridiques et économiques des relations extérieures des États, mais aussi de l'Union européenne. Il prépare les étudiants à se spécialiser et à travailler dans le domaine public, les organisations internationales, la défense, les ONG et les médias. Le programme est enseigné en français ou en anglais.
Contactez-nous pour en savoir plus sur nos programmes Vous souhaitez nous rejoindre ? Est-ce que le commerce international est un secteur qui rémunère bien ? Il existe différents niveaux de spécialisation dans le domaine du commerce international. Les salaires varient donc en fonction du niveau d’étude, ainsi que de l’expérience sur le terrain. Une chose est certaine, s’engager dans une école de commerce promet une rémunération intéressante sur le long terme, dans plusieurs secteurs d’activité. En début de carrière, le commerce international ne paie pas forcément plus que d’autres métiers du commerce, et nécessite plus de compétences. Mais les perspectives d’évolutions nombreuses promettent une évolution salariale importante, allant jusqu’à de très hauts salaires pour les plus confirmés. La fourchette de salaire est donc très large, allant de 2500 euros brut mensuel pour un débutant, jusqu’à 7000 euros brut par mois pour un directeur de réseau confirmé. Le salaire moyen dans le secteur du commerce international, en France, est environ de 27000 euros brut par an, soit 13,85 euros de l’heure pour un débutant. On peut y ajouter, en plus, des primes de résultat. Ce salaire se situe sur fourchette large, allant de 22800 euros brut pour les débutants, jusqu’à 57000 euros brut pour les plus expérimentés. Tout savoir sur le métier de vendeur import / vendeur export En quoi consiste le métier de vendeur import / vendeur export ? Une multitude de grandes entreprises, mais aussi des PME, font appel aux compétences d’un vendeur import/export . Son rôle est multiple et ses taches nombreuses Favoriser le développement de l’entreprise via ses ventes , Gestion logistique des flux d’importation et d’exportation. Effectuer des études de marchéAnalyser les besoins divers de l’entreprise et négocier les contrats. Assurer la coordination de son équipe, ainsi que l’encadrement des autres branches de l’entreprise Distribution, transport, Marketing, achats…. Le vendeur import / Export doit avoir un grand sens de l’autonomie. Il doit faire preuve de stratégie et de diplomatie. Une grande connaissance juridique lui sera demandé, ainsi qu’une maîtrise parfaite de plusieurs langues étrangères. Vendeur import / vendeur export quel est le salaire d’un junior ? Le salaire évolue tout au long de la carrière et des début de parcours, un vendeur Junior peut viser un salaire brut d’environ 2500 euros brut par mois. Son taux horaire net se situera entre 17 et 21 euros environ. Il sera possible d’augmenter son revenu grâce aux primes sur objectifs, fixées par l’employeur. Vendeur import / vendeur export quel est le salaire d’un confirmé / sénior ? Les perspectives d’évolution sont grandes. Après plusieurs années d’ancienneté, l’expérience de la vente permet d’ accéder à des postes de responsable, plus rémunérateurs. Ainsi, le salaire médian d’un commercial sénior se situe aux environs 60000 euros brut par an. Le professionnel disposera alors d’un taux horaire brut supérieur à 32 euros. Quelles sont les études pour devenir vendeur import / vendeur export ? Il existe de nombreux diplômes pour exercer la profession de vendeur import /export. Après 2 ans d’études, le BTS commerce international, le BTS MCO et le BTS NDRC constituent des formations idéales pour accéder à la profession de responsable import/export. En école et à l’ Université, on trouve de nombreux cursus pour se perfectionner dans le domaine. Licence et Masters en commerce, vente, économie. Tout dépendra de l’orientation de son parcours. On peut citer en exemple les Master Marketing Vente, Master Commerce International, Master Economie de l’entreprise et des marchés… Quelles sont les évolutions de carrière pour un vendeur import / vendeur export ? L’évolution possible dépendra de l’expérience du salarié et de la taille de l’entreprise. Pour les plus grandes d’entre elles, un responsable import export pourra aspirer à devenir directeur international. Globalement, l’expérience de la vente export permet d’accéder à un poste de responsable de zone export, de directeur export, voire de direction de filiale à l’etranger. Il s’agira dans la plupart des cas de postes d’encadrement d’équipe de commerciaux. Quels sont les métiers privilégiés dans le commerce international en début de carrière ? Assistant Import/Export pour un débutant, à l’issue d’un bac professionnel, le métier d’assistant import /export est accessible. Il s’occupe des démarches administratives et logistiques à l’international. Il gère le transit des commandes, de la livraison jusqu’au paiement. D’autres éléments annexes viendront s’y greffer. Relation client, négociation des ventes, organisation du transport, facturation, douanes… Responsable des achats Il est à l’initiative du cahier des charges qu’il élabore en partenariat avec les fournisseurs. Il est chargé de la négociation et conclut les achats de biens au prix le plus intéressant. Il veille au respect de la qualité des produits ainsi que leur délai de livraison. Attaché commercial Sa mission consiste à augmenter le chiffre d’affaires de l’entreprise. Il est chargé de mettre en avant les offres commerciales. Il s’occupe de la prospection, la signature des contrats et du développement du portefeuille de sa clientèle. Assistant chef de produit En assistant le chef de produit, il participe à l’élaboration et la mise en rayon de biens, conformément au cahier des charges technique. Il est à l’origine des campagnes promotionnelles ainsi que d’ études de marché des futurs produits commercialisés à l’international. Quels sont les métiers dans le commerce international qui payent le mieux ? Comme dans tous secteurs, on trouve une grande disparité de salaires selon la branche. Trois domaines sortent particulièrement du lot. Responsable import-Export Il est à l’origine des mouvements d’importation et d’exportation dont l’entreprise a besoin. Il gère les stocks, la coordination des équipes, analyse le cahier des charges, négocie les contrats… Même si la rémunération dépend de différents facteurs Taille de l’entreprise, niveau d’études… Un responsable confirmé touche environ 45000 euros brut par an. Responsable des ventes Export Il encadre une équipe de commerciaux, en constant déplacement à l’etranger. Il étudie les stratégies concurrentes, réalise des études de marché, entretient la fidélisation avec ses clients par la prospection, négocie et investit dans les réseaux de distribution. Sa rémunération brute est d’environ 52000 euros brut par an. Ingénieur technico-commercial Il est à la fois commercial, connaît à ce titre parfaitement les biens qu’il vend et sait négocier en conséquence. Mais il se distingue par une double casquette, celle d’être démonstrateur, assistant technique, prospecteur. Il est également chargé des études de marché. Un ingénieur qualifié peut gagner jusqu’à 38000 euros brut. EN SAVOIR PLUS Ecole de commerce international guide, carrière, matièresGuide complet des études en commerce international Licence commerce international débouchés, prix, programmeTout savoir sur le bachelor commerce international guide, tarif, programme Tout savoir sur le master en commerce international programme, prix, débouchésQu’est-ce qu’un BUT commerce international TC ? Quels sont les métiers du commerce international ? Quels sont les débouchés du commerce international ? Trouver un stage en commerce international annonces, conseils Trouver une alternance en commerce international annonces, conseils Un guide pratique du droit du commerce international Définition commerce international enjeux, flux, tendances Mis à jour le 19 mai 2022
Formation Bachelor en relations internationales et sciences politiques. Durée de formation : 2 ans. Niveau terminal d'études : bac + 2.
S’orienter, choisir le métier ou le secteur dans lequel nous voulons faire notre carrière pour le restant de notre vie, est une question plus qu’importante et qui demande de nombreuses connaissances sur soi-même, que nous n’avons pas toujours à l’âge où nous devons prendre ces est aussi impératif, pour ne pas se tromper et se diriger vers une voie qui ne nous correspond pas, d’en savoir suffisamment sur chaque option qui s’offre à n’est vraiment pas évident de choisir son orientation… La peur de se planter, de voir nos projets trop hauts ou trop bas par rapport à nos compétences, d’être déçus une fois le cursus entamé en s’apercevant que, finalement, tout cela n’est pas fait pour nous…Aujourd’hui, nous allons nous intéresser au milieu des ressources humaines, en faisant une liste des métiers dans le secteur ainsi que leur spécificités, en identifiant les qualités requises pour faire ces jobs et en énumérant les formations qui permettent d’y accéder. Ainsi, vous aurez nous l’espérons toutes les clés en main pour savoir si ce secteur d’activité est fait pour vous ou Quels sont les principaux métiers dans les ressources Directeur des ressources humaines DRH Responsable des ressources humaines RH Responsable du développement social 2 Quelles qualités sont requises pour travailler dans cette branche ?3 Les formations pour arriver à travailler dans les ressources humainesQuels sont les principaux métiers dans les ressources humainesLes métiers dans les ressources humaines sont nombreux. Nous allons en énumérer les principaux et les plus connus afin que vous puissiez vous faire une idée des débouchées dans ce milieu très des ressources humaines DRH C’est la première chose qui nous vient à l’esprit lorsque l’on entend ressources humaines ». Le directeur des ressources humaines se charge principalement desrecrutements au sein d’une entreprise. Il ne fait pas forcément passer les entretiens d’embauche, mais il choisit la politique et les modalités de recrutement. Il va également avoir pour rôle de gérer tous les papiers et les formalités qui y sont delà du recrutement, il va aussi pouvoir promouvoir des formations utiles aux salariés de la boite, leurs possibles évolutions de carrières ou leurs affectations dans différents rôle va aussi être de s’occuper de la politique de rémunération en choisissant les salaires, en négociant d’éventuelles augmentations, en distribuant les bulletins de paye .. tout ceci en passant souvent par un logiciel ERP pour PME choisis par l’ fait, le DRH est chargé du management social au sein d’une entreprise et travail en collaboration étroite avec la direction générale. C’est donc un poste à hautes des ressources humaines RH Le RH » d’une entreprise, c’est généralement celui qui a pour rôle d’appliquer les directives du DRH. Il va donc devoir veiller au bon fonctionnement de l’entreprise du point de vue des ressources humaines en commençant par s’assurer d’un nombre suffisant de salariés, mettre en place des recrutements si nécessaire, gérer les salaires, les distribuer, s’occuper des papiers administratifs utiles aux salariés, et contacter les supérieurs en cas de va également intervenir en cas de litiges. C’est un peu celui qui s’occupe de la partie sociale » d’une boite, avec tout ce que cela mission est d’assurer une bonne communication au sein d’une entreprise. Bien plus que de l’administratif, le responsable relations sociales va soigner la partie concernant la communication des droits des salariés, leurs accès aux différents syndicats, il propose des réunions afin d’améliorer certains points, s’assure que les accords conclus entre les différentes instances sont bien respectés et il sera celui qui se tiendra responsable des affaires auprès du Prud’Hommes par assure la paix sociale et fait certaines recommandations à la direction en étant à l’écoute de tout ce qui pourrait aboutir à une manière générale, les ressources humaines sont des métiers basés sur la gestion sociale d’une entreprise, que ce soit la communication, le recrutement, les salaires ou simplement quelques modalités administratives indispensables. Certaines grandes entreprises divisent ces métiers en des spécialisations comme responsable du recrutement », responsable des syndicats »…Quelles qualités sont requises pour travailler dans cette branche ?Comme ce sont des métiers très sociaux, il va de soi que l’amour du contact humain et la compassion doivent être des qualités extrêmement présentes chez quiconque souhaite se lancer dans les ressources humaines. Il doit aussi avoir un sens de la communication acéré et très stratégique, puisqu’ils auront un rôle fondamental dans la préservation de la bonne réputation de l’ formations pour arriver à travailler dans les ressources humainesAu delà des formations type bachelor, il existe des diplômes de niveau Bac +2 qui donnent accès à ce gestion PME petite et moyenne entreprise, qui est dispensé dans des écoles spécialisées publiques ou privées, ou bien dans des gestion des entreprises et administration qui se déroulent dans un professionnelle RH qui vous vaudra 3 ans d’études au lieu de deux.
Débouchéset secteurs accessibles par des études en relations internationales Chargé d’études. Après une formation en relations internationales, vous pouvez également exercer le métier de chargé d’études. Il a pour objectifs de réaliser ou piloter des études et des synthèses destinées à mieux comprendre une situation
Les qualités nécessaires Afin de maximiser vos chances de décrocher un métier dans une ambassade, il faut posséder certaines qualités. En premier, il faut parler au moins deux langues, voire trois. Vous devez également avoir une grande capacité de communication et une bonne présentation. Il est bon de savoir que la communication ne se limite pas au verbal. En effet, le gestuel et le regard comptent également. Le relationnel est pareillement important. La personne doit savoir respecter les traditions et les façons de faire de son pays d’accueil. Représenter un pays n’est pas facile. Le métier nécessite donc une personne réaliste et capable de prendre des responsabilités. Il exige également une personne réactive et autonome. Il doit en conséquence savoir prendre les bonnes décisions au bon moment. Il faut également une grande capacité d’adaptation. Le travailleur doit apprendre à s’adapter rapidement à son environnement de travail. Cette adaptation n’est pas seulement au niveau culturel et linguistique, elle se fait également au niveau psychologique. Les métiers dans les ambassades requièrent également des personnes en bonne santé. En effet, il est primordial d’avoir une bonne condition physique pour pouvoir s’adapter au milieu et au climat étranger. Il doit être ainsi apte à voyager fréquemment. Quelle formation pour travailler dans une ambassade Pour intégrer un poste dans une ambassade, il faut réussir un concours. Il existe deux types de concours. Il y a, le concours de cadre général. Il concerne la culture générale, sur différents sujets, dont l’histoire, les finances publiques, les relations internationales… Il y a également le concours orient. Il se porte sur la culture générale et les langues étrangères. Différentes formations peuvent aider à passer ces concours. La première option est de passer une licence MD, langue et civilisations étrangères ou langue étrangère appliquée. En un effet, un minimum de bac +3 est requis pour certains postes, par exemple le poste de conseiller. Vous pouvez également intégrer un institut d’études politiques après un bac général. Les salaires envisageables Les grilles de salaires dans une ambassade varient selon l’expérience et selon les postes. Mais il existe quand même des références. Ainsi, pour un conseiller par exemple, le salaire annuel est de 45 000 à 100 000 euros par an. Pour un ambassadeur, il tourne autour de 50 000 à 100 000 euros par an. De la sorte, en début de carrière, la rémunération moyenne varie entre 1500 à 3 500 euros par mois. Les employés des ambassades bénéficient également de différentes indemnités.
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quelles études pour travailler dans les relations internationales