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Imprimer E-mail DĂ©tails Publication 2 juin 2016 Comme chaque vendredi vous invite Ă  mĂ©diter un article sur la religion. L'article est proposĂ© par notre frĂšre Dr Tarik Abou Nour de Croire au destin imparti pour le bien et le mal fait partie des piliers de la foi. Allah nous a demandĂ© de l'invoquer, de l'implorer en ayant la conviction et la certitude qu'Il va nous exaucer. Dieu sait tout ce que chacun de nous va faire de part Sa science ancienne. En mĂȘme temps le ProphĂšte paix et salut sur lui nous informe que quand l'Ă©preuve al-balĂą s'apprĂȘte Ă  descendre et que nos Du'Ăą montent ces Du’ñ l'Ă©liminent ad-du'Ăą yarfa'u al-balĂą, ya ruddu al-qadĂą, et que par exemple le fait de renouer les liens de parentĂ© visiter sa famille augmente la durĂ©e de vie Voir le HadĂźth rapportĂ© par At-tirmithĂź, HadĂźth 2139 al-qadar lĂą yaruddu al-qadĂą illĂą ad-du’ñ
 et Ahmed dans son Musnad 5/277,280,282... L’aumĂŽne aussi peut Ă©liminer chasser des Ă©preuves
 Un compagnon priait en disant 'O Allah si je suis Ă©crit chez toi comme malheureux, alors efface cela, et Ă©crit que je suis heureux compte moi parmi les heureux, car Tu abroges effaces ce que Tu veux ou Tu le maintiens et Tu dĂ©tiens l'Ecriture mĂšre'. En effet, ce qui est Ă©crit par les Anges al-hafazah nous concernant est abrogĂ© ou effacĂ© par Allah quand il ne s’agit pas de chĂątiment ou de rĂ©compense ; ou encore Allah maintient ce qu’Il a vu dans la profondeur du cƓur de Son serviteur ; Il efface aussi les mauvais actes de celui qui se repent at-tĂąib et maintient les bons actes al-hasanĂąt Ă  leur place ; mais ce qui est Ă©crit dans la table gardĂ©e a-llawhu al-mahfĂ»zu est la science ancienne de Dieu qui est dĂ©finitive et inchangĂ©e. Dieu dit dans le Coran Dieu abroge efface ce qu'Il veut ou le maintient et il dĂ©tient l'Ecriture mĂšre la mĂšre du Livre Ummu Al-kitĂąb » Sourate 13, verset 39. Voir Al-BidĂąwĂź m 791 H dans son TafsĂźr de ce verset et At-tabarĂź Allah agit comme Il veut et fait ce qu'Il veut sans aucune contrainte. Allah agit par les crĂ©atures, par la cause et ses consĂ©quences et mĂȘme sans cause. Le Dou'a fait partie aussi du dĂ©cret. Ibn AtĂą Allah al-Iskandari a dit dans ses Hikam n°6' Que le dĂ©lai mis Ă  t’accorder ce que tu as demandĂ© par des priĂšres insistantes ne cause pas ton dĂ©sespoir l’exaucement de tes priĂšres t’es garanti pour les choses qu’Il a choisi de t’accorder, et non pas pour celles que tu as choisies pour toi mĂȘme; et elles te seront accordĂ©es au moment oĂč Il le veut, et non pas au moment que tu souhaites. ' L'Emir Abdel-Kader a Ă©crit aussi 'Sache que Dieu - exaltĂ© soit-il - n'accĂšde aux demandes du serviteur que dans la mesure oĂč celles-ci sont conformes Ă  ses prĂ©dispositions isti'dad.' le Du'Ăą d'un croyant est toujours exaucĂ© s'il ne s'impatiente pas et dise j'ai priĂ© mais Dieu ne pas exaucĂ©! Ou il est exaucĂ© dans ce bas monde. Ou il sert Ă  nous protĂ©ger et Ă©loigner les maux et les Ă©preuves. Ou il est convervĂ© pour l'au delĂ  et c'est mieux... Ceci selon les hadĂźths Le Messager de Dieu paix et bĂ©nĂ©diction de Dieu sur lui a dit 'Le Du'a du musulman n'est jamais rejetĂ© sauf s'il prie pour avoir un pĂ©chĂ©, ou pour rompre un lien de parentĂ©;le Du'a ou il est exaucĂ© dans ce bas monde,ou il est Ă©pargnĂ© pour l'au delĂ , ou il sert Ă  Ă©loigner le mal de la mĂȘme quantitĂ© du Du'Ăą' Selon AbĂ» Hourayra que Dieu l'agrĂ©e, le Messager de Dieu paix et bĂ©nĂ©diction de Dieu sur lui a dit 'Dieu exauce vos voeux tant que vous ne vous montrez pas impatients. Vous dites alors 'J'ai invoquĂ© mon Seigneur et Il ne m'a pas rĂ©pondu''. Al-BoukhĂąri, Mouslim Il faut avoir une subsistance du HalĂąl, Allah n'accepte pas le Du'a de celui qui se nourrit du HarĂąm... Allahu Tayyib lĂą yaqbalu illĂą tayyiban قول Ű§Ù„Ù†ŰšÙŠ Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… 'Ű„Ù† Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰȘŰčŰ§Ù„Ù‰ Ű·ÙŠŰš Ù„Ű§ ÙŠÙ‚ŰšÙ„ Ű„Ù„Ű§ Ű·ÙŠŰšÙ‹Ű§ŰŒ ÙˆŰ„Ù† Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰȘŰčŰ§Ù„Ù‰ ŰŁÙ…Ű± Ű§Ù„Ù…Ű€Ù…Ù†ÙŠÙ† ŰšÙ…Ű§ ŰŁÙ…Ű± ŰšÙ‡ Ű§Ù„Ù…Ű±ŰłÙ„ÙŠÙ† ÙÙ‚Ű§Ù„ {ÙŠŰ§ ŰŁÙŠÙ‡Ű§ Ű§Ù„Ű±ŰłÙ„ ÙƒÙ„ÙˆŰ§ من Ű§Ù„Ű·ÙŠŰšŰ§ŰȘ ÙˆŰ§ŰčÙ…Ù„ÙˆŰ§ Ű”Ű§Ù„Ű­Ù‹Ű§}ی ÙˆÙ‚Ű§Ù„ ŰȘŰčŰ§Ù„Ù‰ {ÙŠŰ§ ŰŁÙŠÙ‡Ű§ Ű§Ù„Ű°ÙŠÙ† ŰąÙ…Ù†ÙˆŰ§ ÙƒÙ„ÙˆŰ§ من Ű·ÙŠŰšŰ§ŰȘ Ù…Ű§ ۱ŰČÙ‚Ù†Ű§ÙƒÙ…}ی Ű«Ù… Ű°ÙƒŰ± Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… Ű§Ù„Ű±ŰŹÙ„ ÙŠŰ·ÙŠÙ„ Ű§Ù„ŰłÙŰ± ŰŁŰŽŰčŰ« ŰŁŰșۚ۱ ÙŠÙ…ŰŻ ÙŠŰŻÙŠÙ‡ Ű„Ù„Ù‰ Ű§Ù„ŰłÙ…Ű§ŰĄŰŒ ويقول ÙŠŰ§ Ű±ŰšŰŒ ÙˆÙ…Ű·Űčمه Ű­Ű±Ű§Ù… ÙˆÙ…ŰŽŰ±ŰšÙ‡ من Ű­Ű±Ű§Ù… ÙˆÙ…Ù„ŰšŰłÙ‡ من Ű­Ű±Ű§Ù… وŰșÙŰ°ÙŠ ŰšŰ§Ù„Ű­Ű±Ű§Ù…ŰŒ ÙŰŁÙ†Ù‰ ÙŠŰłŰȘۏۧۚ له'. Comme l'a conseillĂ© le ProphĂšte paix et salut sur lui il faut faire le Du'a en ayant confiance et certitude que Dieu va nous exaucer il faut Ă©viter de dire ĂŽ mon Dieu donne moi si Tu veux! Pas d'In shĂą Allah dans un Du'a mais le formuler fermement avec un coeur prĂ©sent et en sentant l'extrĂȘme besoin IdtirĂąr Ă  Dieu... يقول Ű§Ù„Ù†ŰšÙŠ Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… 'Ù„Ű§ يقولن ŰŁŰ­ŰŻÙƒÙ… Ű§Ù„Ù„Ù‡Ù… ۧŰșÙŰ± لي Ű„Ù† ŰŽŰŠŰȘی Ű§Ù„Ù„Ù‡Ù… Ű§Ű±Ű­Ù…Ù†ÙŠ Ű„Ù† ŰŽŰŠŰȘی ليŰčŰČم Ű§Ù„Ù…ŰłŰŁÙ„Ű© ÙŰ„Ù†Ù‡ Ù„Ű§ Ù…ÙƒŰ±Ù‡ له Le commencer avec la priĂšre sur le ProphĂšte, et le finir avec cela aussi car Allah accepte toujours la priĂšre sur le ProphĂšte et donc il acceptera sĂ»rement ce qui est entre ces deux priĂšres sur le ProphĂšte paix et salut sur lui... ŰŻŰźÙ„ Ű±ŰŹÙ„ ÙŠŰ”Ù„ÙŠ ÙÙ‚Ű§Ù„ 'Ű§Ù„Ù„Ù‡Ù… ۧŰșÙŰ±ÙŠ ÙˆŰ§Ű±Ű­Ù…Ù†ÙŠ ÙÙ‚Ű§Ù„ Ű”Ù„Ù‰ Ű§Ù„Ù„Ù‡ Űčليه ÙˆŰłÙ„Ù… ŰčŰŹÙ„ŰȘ ŰŁÙŠÙ‡Ű§ Ű§Ù„Ù…Ű”Ù„ÙŠ. ۄ۰ۧ Ű”Ù„ÙŠŰȘ فقŰčŰŻŰȘ ÙŰ§Ű­Ù…ŰŻ Ű§Ù„Ù„Ù‡ ŰšÙ…Ű§ هو ŰŁÙ‡Ù„Ù‡ ÙˆŰ”Ù„ Űčلي Ű«Ù… ۧۯŰčه'. 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Commentrencontrer son futur mari en islam ? 23 mai 2014. La question du cĂ©libat fait couler beaucoup d’encre (et de larmes) dans la oumma et force est de constater qu’il est difficile de rencontrer la perle rare. Une lectrice a dĂ©cidĂ© de nous Ă©crire son histoire, comme un douloureux appel du cƓur.

1 J'entends souvent les gens autour de moi me dire qu'on a tous un destin, et que ce destin prĂ©voit FORCEMENT quelqu'un Ă  nos cotĂ©s... Qu'en pensez vous ? Nous marrions nous parce qu'Ă  un moment donnĂ© de notre vie, on fait effectivement la rencontre qu'il faut ? Ou plutot parce qu'Ă  un moment donnĂ©, nous sommes prĂȘts en mĂȘme temps qu'un ou une autre ? Autre question On me dit que le mariage est la moitiĂ© de la foi. Qui pourrait me donner des sources Coran de prĂ©fĂ©rence, ou Hadiths. Que faut il donc faire en temps que musulman. Faut il donc se marier avec n'importe qui pour juste ĂȘtre en phase avec ses obligations religieuses ? Commetons nous un pĂ©chĂ© si on ne se marie pas dans sa vie ? Faut -il forcer son destin ? En quoi cela consisterait ? Merci. Muslima1994 &1580;&1606;&1577; &1580;&1606;&1577; &1605 2 J'entends souvent les gens autour de moi me dire qu'on a tous un destin, et que ce destin prĂ©voit FORCEMENT quelqu'un Ă  nos cotĂ©s... Qu'en pensez vous ? Nous marrions nous parce qu'Ă  un moment donnĂ© de notre vie, on fait effectivement la rencontre qu'il faut ? Ou plutot parce qu'Ă  un moment donnĂ©, nous sommes prĂȘts en mĂȘme temps qu'un ou une autre ? Autre question On me dit que le mariage est la moitiĂ© de la foi. Qui pourrait me donner des sources Coran de prĂ©fĂ©rence, ou Hadiths. Que faut il donc faire en temps que musulman. Faut il donc se marier avec n'importe qui pour juste ĂȘtre en phase avec ses obligations religieuses ? Commetons nous un pĂ©chĂ© si on ne se marie pas dans sa vie ? Merci. Non et Al Hamdoulilleh. Prenons l'exemple de la meilleure Femme des mondes Maryam 3Alay8a Salam Oumou Issa 3Alay8i Salam. Elle ne s'est jamais mariĂ©e et pourtant c'est l'Ă©lue des mondes. 3 J'entends souvent les gens autour de moi me dire qu'on a tous un destin, et que ce destin prĂ©voit FORCEMENT quelqu'un Ă  nos cotĂ©s... Qu'en pensez vous ? Nous marrions nous parce qu'Ă  un moment donnĂ© de notre vie, on fait effectivement la rencontre qu'il faut ? Ou plutot parce qu'Ă  un moment donnĂ©, nous sommes prĂȘts en mĂȘme temps qu'un ou une autre ? Autre question On me dit que le mariage est la moitiĂ© de la foi. Qui pourrait me donner des sources Coran de prĂ©fĂ©rence, ou Hadiths. Que faut il donc faire en temps que musulman. Faut il donc se marier avec n'importe qui pour juste ĂȘtre en phase avec ses obligations religieuses ? Commetons nous un pĂ©chĂ© si on ne se marie pas dans sa vie ? Faut -il forcer son destin ? En quoi cela consisterait ? Merci. tu es moche? une question directe pour une rĂ©ponse directe!! car je n'arrive pas Ă  croire que tu n'arrives pas Ă  croiser Ă  ton age des gars Ă  la hauteur de ta vue 4 tu es moche? une question directe pour une rĂ©ponse directe!! car je n'arrive pas Ă  croire que tu n'arrives pas Ă  croiser Ă  ton age des gars Ă  la hauteur de ta vue Les croiser c'est une chose, engager une relation ça en est une autre...... ps jsuis pas si moche que ça ; 5 J'entends souvent les gens autour de moi me dire qu'on a tous un destin, et que ce destin prĂ©voit FORCEMENT quelqu'un Ă  nos cotĂ©s... Qu'en pensez vous ? Nous marrions nous parce qu'Ă  un moment donnĂ© de notre vie, on fait effectivement la rencontre qu'il faut ? Ou plutot parce qu'Ă  un moment donnĂ©, nous sommes prĂȘts en mĂȘme temps qu'un ou une autre ? Autre question On me dit que le mariage est la moitiĂ© de la foi. Qui pourrait me donner des sources Coran de prĂ©fĂ©rence, ou Hadiths. Que faut il donc faire en temps que musulman. Faut il donc se marier avec n'importe qui pour juste ĂȘtre en phase avec ses obligations religieuses ? Commetons nous un pĂ©chĂ© si on ne se marie pas dans sa vie ? Faut -il forcer son destin ? En quoi cela consisterait ? Merci. Ce qui tarrive tĂ©tait destinĂ©e c'est tout . C'est ton risq qui ta Ă©tait dĂ©crĂ©tait avant mĂȘme la crĂ©ation des cieux et de la terre . En ce qui concerne la moitier de la foi pour le mariage , c'est pas le mariage en lui mĂȘme mais c'est linteraction. Des droit et devoirs qu'auront les Ă©poux entre eux . 6 Les croiser c'est une chose, engager une relation ça en est une autre...... ps jsuis pas si moche que ça ; fais moi voir ta photo... croiser c'est une occasion pour se regarder, ce qui provoque un sourire, un RDV, un diner puis un baiser [............................discussions et visions pour la vie......................................] juste aprĂšs des fiançailles et un mariage pour conclure....c'est simple non ^^ 7 Ce qui tarrive tĂ©tait destinĂ©e c'est tout . C'est ton risq qui ta Ă©tait dĂ©crĂ©tait avant mĂȘme la crĂ©ation des cieux et de la terre . En ce qui concerne la moitier de la foi pour le mariage , c'est pas le mariage en lui mĂȘme mais c'est linteraction. Des droit et devoirs qu'auront les Ă©poux entre eux . merci pour ta rĂ©ponse... Donc notre destin peut aussi ĂȘtre de ne rencontrer personne et de ne jamais nous marier..ce n'est pas un pĂ©chĂ© ? 8 Non et Al Hamdoulilleh. Prenons l'exemple de la meilleure Femme des mondes Maryam 3Alay8a Salam Oumou Issa 3Alay8i Salam. Elle ne s'est jamais mariĂ©e et pourtant c'est l'Ă©lue des mondes. Salam, TrĂšs bon et Ă©loquent exemple. 9 merci pour ta rĂ©ponse... Donc notre destin peut aussi ĂȘtre de ne rencontrer personne et de ne jamais nous marier..ce n'est pas un pĂ©chĂ© ? Tu as Ă©tait traumatiser par les hommes ou bien ? Le destin est beaucoup subtil que ça insaisissable c'est pour ça que je ne rentre pas trop dedans. Et puis si tu dĂ©cide de ta propre volontĂ© c'est pas comme si tu avais fait les causes et puis c'est triste de pas vouloir se marier 10 Non et Al Hamdoulilleh. Prenons l'exemple de la meilleure Femme des mondes Maryam 3Alay8a Salam Oumou Issa 3Alay8i Salam. Elle ne s'est jamais mariĂ©e et pourtant c'est l'Ă©lue des mondes. Ça ne veut rien dire vous allez pas vous comparer a maryam . Elle c son destin De pas se marier c'est comme les femmes du prophet saw 11 Tu as Ă©tait traumatiser par les hommes ou bien ? Le destin est beaucoup subtil que ça insaisissable c'est pour ça que je ne rentre pas trop dedans. Et puis si tu dĂ©cide de ta propre volontĂ© c'est pas comme si tu avais fait les causes et puis c'est triste de pas vouloir se marier Je pose juste une question gĂ©nĂ©rale. J'ai aucun traumatisme...d'ailleurs lol. Ce ne serait pas par choix si je ne me marie pas dans ma vie et que je finis cĂ©libataire, et je souhaite ne pas finir seule d'ailleurs.. Maintenant si tu ne rencontres pas la personne qu'il t'es destinĂ© que faut il faire ? forcer son destin ? se marier av n'importe qui ? Je pose cette question quant Ă  ce que prĂ©conises l'Islam sur la question... Car je sais que de ne pas ĂȘtre mariĂ©e peut ĂȘtre problĂ©matique pas de possibilitĂ© d'aller au Hajj seule sauf accompagnĂ©e d'un frĂšre, pĂšre..... 12 Je pose juste une question gĂ©nĂ©rale. J'ai aucun traumatisme...d'ailleurs lol. Ce ne serait pas par choix si je ne me marie pas dans ma vie et que je finis cĂ©libataire, et je souhaite ne pas finir seule d'ailleurs.. Maintenant si tu ne rencontres pas la personne qu'il t'es destinĂ© que faut il faire ? forcer son destin ? se marier av n'importe qui ? Je pose cette question quant Ă  ce que prĂ©conises l'Islam sur la question... Car je sais que de ne pas ĂȘtre mariĂ©e peut ĂȘtre problĂ©matique pas de possibilitĂ© d'aller au Hajj seule sauf accompagnĂ©e d'un frĂšre, pĂšre..... Celui que tu Ă©pousera quelque soit mes circonstance te sera destinĂ©e mafhoum ? Le destin. Est une science qui Ă©chappe a l'homme donc quand ça va tarriver toi mĂȘme tu ne vas rien comprendre 13 J'entends souvent les gens autour de moi me dire qu'on a tous un destin, et que ce destin prĂ©voit FORCEMENT quelqu'un Ă  nos cotĂ©s... Qu'en pensez vous ? La seule chose qui est forcĂ©ment prĂ©vue pour tout ĂȘtre qui naĂźt, c'est la mort. Nous marrions nous parce qu'Ă  un moment donnĂ© de notre vie, on fait effectivement la rencontre qu'il faut ? Ou plutot parce qu'Ă  un moment donnĂ©, nous sommes prĂȘts en mĂȘme temps qu'un ou une autre ? En cas de mariage, Les femmes mauvaises pour les hommes mauvais, et les hommes mauvais pour les femmes mauvaises, et les femmes bonnes pour les hommes bons, et les hommes bons pour les femmes bonnes. Ceux-lĂ  sont innocents de ces accusations. Ils ont atteint le pardon et un gĂ©nĂ©reux approvisionnement2426. Autre question On me dit que le mariage est la moitiĂ© de la foi. Qui pourrait me donner des sources Coran de prĂ©fĂ©rence, ou Hadiths. Que faut il donc faire en temps que musulman. Faut il donc se marier avec n'importe qui pour juste ĂȘtre en phase avec ses obligations religieuses ? Commetons nous un pĂ©chĂ© si on ne se marie pas dans sa vie ? Faut -il forcer son destin ? En quoi cela consisterait ? Ceux qui ne peuvent pas se permettre de se marier devront maintenir la moralitĂ© jusqu&8217;Ă  ce qu&8217;ALLAH leur fournisse de Sa grĂące. Ceux parmi vos serviteurs qui souhaitent ĂȘtre libĂ©rĂ©s afin de se marier, vous devrez leur accorder ce qu&8217;ils veulent, une fois que vous rĂ©alisez qu&8217;ils sont honnĂȘtes. Et donnez-leur de l&8217;argent d&8217;ALLAH qu&8217;Il vous a accordĂ©. Vous ne devrez pas forcer vos filles Ă  commettre la prostitution, cherchant les matiĂšres de ce monde, si elles souhaitent ĂȘtre chastes. Si quelqu&8217;un les force, alors ALLAH voyant qu&8217;elles sont forcĂ©es, est Pardonneur, MisĂ©ricordieux2433. 14 Allah dit dans le Coran 'Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des Ă©pouses pour que vous viviez en tranquillitĂ© avec elles et Il a mis entre vous de l'affection et de la bontĂ©misĂ©ricorde. Il y a en cela des preuves pour des gens qui rĂ©flĂ©chissent' Sourate 30, verset 21 Le ProphĂšte paix et salut sur lui dit 'mariez vous, et faites des enfants ainsi je serai fier de vousubĂąhĂź bikum devant les autres communautĂ©s au jour du jugement'. Dans d'autres HadĂźths le ProphĂšte paix et salut sur lui nous informe sur les innombrables bienfaits du mariage bienfaits physiques, spirituels, morales.. Se marier c'est complĂ©ter sa religion et fermer la porte de la tentation du Diable... Celui qui est mariĂ© est meilleur qu'un cĂ©libataire car le cĂ©libat est un grand risque et contraire Ă  la sunna. Extraits de ce que j'ai trouvĂ© sur un site 15 Non et Al Hamdoulilleh. Prenons l'exemple de la meilleure Femme des mondes Maryam 3Alay8a Salam Oumou Issa 3Alay8i Salam. Elle ne s'est jamais mariĂ©e et pourtant c'est l'Ă©lue des mondes. ah wĂ© ? Mariam s'est mariĂ©e Ă  Jospeh qui a adoptĂ© par la suite JĂ©sus. 16 ah wĂ© ? Mariam s'est mariĂ©e Ă  Jospeh qui a adoptĂ© par la suite JĂ©sus. ???????????????????? Adopte tu es sure que tu parles de maryam 3leha salam 17 ???????????????????? Adopte tu es sure que tu parles de maryam 3leha salam oui adoptĂ© dans le sens il l'a Ă©levĂ© avec le reste de ses enfants il y a un pb ? 18 oui adoptĂ© dans le sens il l'a Ă©levĂ© avec le reste de ses enfants il y a un pb ? wach kat hadri 3la sidna youssouf ibn yaacoub ??? 19 wach kat hadri 3la sidna youssouf ibn yaacoub ??? non c'est pas joseph le prophĂšte, c'est une autre personne qui s'appelle joseph 20 non c'est pas joseph le prophĂšte, c'est une autre personne qui s'appelle joseph tu as des sources islamiques 3ala l'autre youssouf 21 J'entends souvent les gens autour de moi me dire qu'on a tous un destin, et que ce destin prĂ©voit FORCEMENT quelqu'un Ă  nos cotĂ©s... Qu'en pensez vous ? Nous marrions nous parce qu'Ă  un moment donnĂ© de notre vie, on fait effectivement la rencontre qu'il faut ? Ou plutot parce qu'Ă  un moment donnĂ©, nous sommes prĂȘts en mĂȘme temps qu'un ou une autre ? Autre question On me dit que le mariage est la moitiĂ© de la foi. Qui pourrait me donner des sources Coran de prĂ©fĂ©rence, ou Hadiths. Que faut il donc faire en temps que musulman. Faut il donc se marier avec n'importe qui pour juste ĂȘtre en phase avec ses obligations religieuses ? Commetons nous un pĂ©chĂ© si on ne se marie pas dans sa vie ? Faut -il forcer son destin ? En quoi cela consisterait ? Merci. Le destin et exagĂ©rĂ©ment interprĂ©tĂ© pourtant dans les livres saint Dieu laisse clairement voire que nous somme maitre de nos choix, je sais pas comment les gens qui ce revendique dans le din font pour ne pas s'en apercevoir ainsi des phrases trĂšs connu du Coran "Concurrencer vous pour les bonnes œuvres" "Dieu ne juge que selon vos capacitĂ©s" Cela prouve que le destin existe mais controle pas a 100% notre vie, la vie si je doit imagĂ© tous ça serait un long chemin d'oĂč s'ouvre d'autre chemin mais quelque que soit le chemin que vous preniez Dieu vous a prĂ©parĂ© un/des bonheurs/malheurs qui vous tomberons dessus quelque soit le chemin que vous emprunter exemple Maison qui crame ou dĂ©couverte d'un objet de pour le reste c'est a vous que revient les consĂ©quences de vos choix. 22 tu as des sources islamiques 3ala l'autre youssouf ha9i9tan, j'ai des source catholiques pour les sources islamiques, je pense que le destin de Mariam n'est pas connu suite Ă  la naissance de JĂ©sus, ou elle a vĂ©cu, ce qu'elle est devenu etc Mais je cherche et je te dirai, lĂ  je dois filer 23 ha9i9tan, j'ai des source catholiques pour les sources islamiques, je pense que le destin de Mariam n'est pas connu suite Ă  la naissance de JĂ©sus, ou elle a vĂ©cu, ce qu'elle est devenu etc Mais je cherche et je te dirai, lĂ  je dois filer Okii didou merci Wa salam 3aleyki 24 ha9i9tan, j'ai des source catholiques pour les sources islamiques, je pense que le destin de Mariam n'est pas connu suite Ă  la naissance de JĂ©sus, ou elle a vĂ©cu, ce qu'elle est devenu etc Mais je cherche et je te dirai, lĂ  je dois filer ça m'interresse aussi... 25 Allah dit dans le Coran 'Et parmi Ses signes Il a créé de vous, pour vous, des Ă©pouses pour que vous viviez en tranquillitĂ© avec elles et Il a mis entre vous de l'affection et de la bontĂ©misĂ©ricorde. Il y a en cela des preuves pour des gens qui rĂ©flĂ©chissent' Sourate 30, verset 21 Le ProphĂšte paix et salut sur lui dit 'mariez vous, et faites des enfants ainsi je serai fier de vousubĂąhĂź bikum devant les autres communautĂ©s au jour du jugement'. Dans d'autres HadĂźths le ProphĂšte paix et salut sur lui nous informe sur les innombrables bienfaits du mariage bienfaits physiques, spirituels, morales.. Se marier c'est complĂ©ter sa religion et fermer la porte de la tentation du Diable... Celui qui est mariĂ© est meilleur qu'un cĂ©libataire car le cĂ©libat est un grand risque et contraire Ă  la sunna. Extraits de ce que j'ai trouvĂ© sur un site 26 J'entends souvent les gens autour de moi me dire qu'on a tous un destin, et que ce destin prĂ©voit FORCEMENT quelqu'un Ă  nos cotĂ©s... Qu'en pensez vous ? Nous marrions nous parce qu'Ă  un moment donnĂ© de notre vie, on fait effectivement la rencontre qu'il faut ? Ou plutot parce qu'Ă  un moment donnĂ©, nous sommes prĂȘts en mĂȘme temps qu'un ou une autre ? Merci. forcĂ©ment non certains destins ne prĂ©voient pas de vie Ă  deux ... et pour le reste, je penche putot pour la 1ere en gras on n'est jamais vraiment prĂȘt on se sent prĂȘt uniquement quand quelqu'un nous donne envie de l'ĂȘtre 27 on se sent prĂȘt uniquement quand quelqu'un nous donne envie de l'ĂȘtre c'est joliment dit.... 28 - 29 UPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPP je remonte ce post qui date de dĂ©jĂ  deux ans.... 30 UPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPP je remonte ce post qui date de dĂ©jĂ  deux ans.... Ali ra a dit que le destin est le secret d'ALLAH swt 31 J'entends souvent les gens autour de moi me dire qu'on a tous un destin, et que ce destin prĂ©voit FORCEMENT quelqu'un Ă  nos cotĂ©s... Qu'en pensez vous ? Nous marrions nous parce qu'Ă  un moment donnĂ© de notre vie, on fait effectivement la rencontre qu'il faut ? Ou plutot parce qu'Ă  un moment donnĂ©, nous sommes prĂȘts en mĂȘme temps qu'un ou une autre ? Autre question On me dit que le mariage est la moitiĂ© de la foi. Qui pourrait me donner des sources Coran de prĂ©fĂ©rence, ou Hadiths. Que faut il donc faire en temps que musulman. Faut il donc se marier avec n'importe qui pour juste ĂȘtre en phase avec ses obligations religieuses ? Commetons nous un pĂ©chĂ© si on ne se marie pas dans sa vie ? Faut -il forcer son destin ? En quoi cela consisterait ? Merci. Omar radhia Allah anhou dit Allahouma inkounta katabtani ma3a elachkiya, faktoubnini ma3a sou3ada. si vous Allah m'avez inscrit sur la liste des mĂ©chants oh Allah inscrit moi sur la liste des bienfaisant. la dou3a invocation peut changer de destin. Allah sait mieux.

Illaisse Ă  chacun la libertĂ© d'opter pour une voie ou une autre, une destinĂ©e ou une autre. Mais dans son immense amour, il souhaite qu'aucun ne pĂ©risse mais que tous parviennent Ă  la vie Ă©ternelle Ă  travers la repentance. 2 Pierre 3/9 HĂ©las, la bible et la rĂ©alitĂ© qui nous entourent, nous apprennent qu'il y a beaucoup d’appelĂ©s, mais peu d'Ă©lus.
par Lotus, vendredi 20 juillet 2012, 1708 il y a 3680 jours Meditation L'astral peut s'accrocher à certaines personnes qui ont des destins comme ceux mentionnés plus haut, car cela les satisfaits, mais je ne pense pas que l'astral puisse changer un destin. Influencer des choix, oui mais c'est tout.
Cest pourquoi un hadith mentionne : « Rien ne peut changer le Décret divin si ce n'est l'invocation. » [Ahmad, al-Tirmidhß, Ibn Mùdja (al-Albùnß : sahßh)] La signification de ce hadith est que l'invocation peut changer le destin qui est en suspens, et qui se trouve dans les registres présents entre les mains des anges. Et Allah sait
Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret PokĂ©mon Go Collection ... € Voir le deal Forum de partage sur la spiritualitĂ©, l'Ă©veil de l'Ăąme conscience et harmonie Questions et rĂ©ponses spirituelles +5sandra22ImrĂ©francis loiseleurNicolasnegus459 participantsAller Ă  la page 1, 2AuteurMessagenegus45Premiers messages spirituelsDate d'inscription 24/07/2010Nombre de messages 6 Age 42Ville cote d'ivoireSujet peut on changer seul son destin? Sam 24 Juil 2010 - 1757 Rappel du premier message salut Ă  tous. depuis un moment je suis face Ă  une rĂ©flexion qui ne fait que soulever des questions. C'Ă©tait de savoir au dĂ©part l'Etre Humain est libre ou pas? Ă  vrai dire j'vais toujours cru Ă  presque 100 % que l'humain Ă©tait libre dans mes dĂ©buts et dans mes profondes lectures philosophiques. Mais aujourd'hui j'avoue que malheureusement l'Humain n'est pas aussi libre que comme voulaient nous le faire croire tous ces philosophes amoureux de libertĂ© et rempli de vaniteux devant l'existence. il y a plein de choses, plein de facteurs et plein de donnĂ©es qui Ă©chappent Ă  notre volontĂ© et Ă  notre libertĂ©. En fait il y un domaine de notre existence sur lequel nous n'avons aucun pouvoir et souvent mĂȘme aucune connaissance. Par exemple ces choses qui se sont passĂ©es avant notre naissance et qui ont une influence certaine sur notre existence actuelle; ces choses qui se sont passĂ©es lors de la rencontre de nos parents;lors de leur vie commune; lors de leurs jeunesses. Ces travaux mystiques et sortilĂšges effectuĂ©s contre nous dans l'ombre par des gens qui nous en veulent Ă  mort; ou ces travaux mystiques effectuĂ©s dans l'ombre contre nos gĂ©niteurs et leur descendance. Et qui malheureusement nous influencent nĂ©gativement dans les Ă©tudes , l'amour et plus tard qu'hier je recevais une jeune demoiselle qui Ă©tait sur point de se marier , mais qui n'arrivait jamais Ă  le que dit elle il y a des gĂ©nies derriĂšre qui lui demandent de se marier Ă  eux ou de faire l'amour avec eux. Et chaque vendredi il lui apparaissent, la battent. hier vendredi elle me montrait des traces sur son dos, je les ai vues de mes propres me dit qu'elle l'a hĂ©ritĂ© de sa mĂšre qui avait ces mĂȘme gĂ©nies. Et Ă  cause de cela elle n'arrive pas Ă  se marier. Pour terminer , mon propre cas est un exemple. j'ai ouvert une PME en Avril dernier. Tout allait pour le mieux . Ă  3 semaines, tous mes problĂšmes ont commencĂ©. Mais ordinateurs qui tombent en panne, chaque jour un nouveau problĂšme et les clients qui se font rares. La fin du mois je n'arrive mĂȘme pas Ă  faire face Ă  mes factures pour parler de bĂ©nĂ©fices. et je fais des rĂȘves bizarres. Et ma mĂšre qui n'est plus de ce monde apparait Ă  une amie pour dire de faire beaucoup attention. et un vieillard m'a avouĂ© que quelqu'un m'en veut et fait des Ɠuvres malĂ©fiques et mystiques contre moi pour que mes affaires ne marchent. et tout cela est liĂ© Ă  ma famille parait il. On n'en voulait Ă  ma mĂšre et maintenant c'est Ă  nous qu'on en veut. On ne veut pas qu'on puisse nous en sortir. La derniĂšre rĂ©vĂ©lation en date, est qu'une femme a ramassĂ© du sable devant le magasin que je loue pour travailler dans l'ombre avec contre pour m'aider on me demande des sommes que je n'ai pas j'aimerais savoir si je peux rĂ©ellement changer mon destin en mettant fin Ă  toutes ces choses pour reprendre une existence nouvelle sans toutes ces pĂ©ripĂ©ties nĂ©gatives. Mais ce sans etre obligĂ© d'aller chez quulqu'un d'autre mais en me servant juste de quelques pratiques ou rituels que je ferai personnellement , bien sur avec des indications de la part de ceux qui voudraient bien m' Ă  tous de me lire et de me bien vouloir me rĂ©pondre. AuteurMessagesamadhiMembreDate d'inscription 28/07/2010Nombre de messages 1122 Age 57Ville parisSujet Re peut on changer seul son destin? Mer 4 AoĂ» 2010 - 1932 Merci, trĂšs intĂ©ressent, je garde le lien sous le coude ses livres sont toujours trĂšs shivaisme Ă©tais la religions de cƓur de mon pĂšre qui Ă©tais pourtant chrĂ©tien a la base, il en savait long sur le sujet. Mais ca reste inaccessible pour moi en tant occidentale. MĂȘme si j'en comprend sa valeur, il faut ĂȘtre authentiquement dans la forme pour en exprimer le fond, ĂȘtre nĂ©e dans cette racine, je ne peut pas vivre comme un shadus a paris. ca n'aurais pas de il faut que je me remette au yoga, des petit clin d'Ɠil me disent de regarder a nouveau vers tout chez moi un hĂŽtel dĂ©dier a Ganesha, ca compte beaucoup pour moi, sur un certain plan. Comme une ancienne mĂ©moire entretenue sentimentalement et spirituellement. Et je suis un inconditionnel et un amoureux des Ă©lĂ©phants, je suis certain d'avoir dĂ©jĂ  travailler avec c'est petit bĂȘte me fais le mĂȘme effet avec les chevaux, mais j'ai pus dans cette vie si concrĂ©tiser l'expĂ©rience a nouveau pour les chevaux. Plus dur pour l'Ă©lĂ©phant, mais j'ai quand mĂȘme rĂ©ussie a en montez un a paris . , se qui n'est pas une mince affaire. La nature nous rouvre des mĂ©moires du passer, c'est assez touchant et troublants, les lieux Ă©galement. j' ai pas mal voyager, mais je me suis toujours refuser d'aller en Inde, je me suis toujours dit que je n'en reviendrais pas, enivrez par tout se sens sacrer, j'aurais finis dans une euphorie de dĂ©couverte et de joie c'est un future possible quand plus rien ne me rattachera ici et si Dieu me prĂȘte vie. Est surtout si la spiritualitĂ© indienne rĂ©siste a son entrer de plein fouet dans la modernitĂ©. Le choc des cultures et souvent terrible pour les mĂ©moires ancestral, mĂȘme si il est vrais que l'on peut en retrouver les essences par des mĂ©thode d'intĂ©rioritĂ©. Mais je suis un nostalgique, j'aime les civilisations qui reposais sur un principe spirituelle .Rapport aux livres, je recommande celui la Ă©galement, La symbolique du monde souterrain et de la caverne » est un livre de Jean Pierre Bayard. Il s’agit de l’interrogation sur le sens spirituel du monde souterrain abordant le thĂšme de la descente de l’esprit dans la matiĂšre et sa lente cristallisation. un bon livre pour rattacher des choses pour se retour au source, je vais m'y replonger se soir, oups, un oublis, pour moi la spiral et la swastika sont de nature identique se qui est surprenant par contre c'est se quel gĂ©nĂšre selon le sens dans laquelle elle tourne, les souffis tourne a gauche la mains droite sur le cƓur, et la foule qui les entourent tourne a droite dans les Tariqa. Il y a dans le symbolisme de la spirale plein de chose a dire, qui son essentielle sur la reliance de divers Ă©nergies ... ChrysopraseMembreDate d'inscription 08/07/2010Nombre de messages 575 Age 41Ville LĂ Sujet Re peut on changer seul son destin? Jeu 5 AoĂ» 2010 - 1244 mmmm trĂšs beau, vous en connaissez des belles choses, merci pour le mots tout est dans l'intention qui est nous de jouer pour changerbien a vousa bientĂŽt animaMembreDate d'inscription 03/01/2010Nombre de messages 4096 Age 41Ville dans la danseSujet Re peut on changer seul son destin? Ven 6 AoĂ» 2010 - 1118 oui voilĂ  la phrase de Kalabra rĂ©sume bien ce que je penses; Est libre celui qui ce prend en main car il aura embrasser chaques mains pour moi on devient libre quand on arrĂȘte de croire de penser et de dire que c'est la faute des autres; que ce qui nous arrivent vient de l'extĂ©rieur et qu'on commence Ă  chercher de notre cĂŽtĂ© ce qui ne va pas..ma soeur est dans un cercle vicieux avec les hommes et n'arrive pas Ă  trouver l'amour elle voit donc un psy et derniĂšrement est allĂ©e voir une Ă©nergĂ©ticienne et leur verdict est tombĂ© c'est la faute de votre pĂšre; c'est vrai ils ont une relation difficile mais en disant cela d'un elles n'ont pas remis en cause une seconde ma soeur et de deux mon pĂšre et ma soeur ne se parlent plus et au fond d'eux je sais qu'ils en souffrent; pourtant j'ai eu aussi une relation difficile avec mon pĂšre mais ça ne m'a pas empĂȘchĂ© de trouver l'amource que je veux dire c'est que si on ne se remet pas en cause de temps en temps et aussi d'amoindrir ce qui nous arrive on ne sort pas de la spirale infernale qu'est notre karma enfin le mauvais parce qu'il y'en a qui en ont un bon enfin, essayer de le transformer ce n'est pas une mince affaire c'est oser se regarder en face et c'est plus facile de ne pas ouvrir les yeux sur ce qu'on est ce n'est pas une tare non plus; le cĂŽtĂ© noir pour moi c'est juste nos vilains petits dĂ©fauts; nos vilaines petites habitudes; nos tocs quoi et quand tu dis Negus que tes ordis tombent en panne, tu n'as pas bcp de clients, tu payes plus que tu ne gagnes pour moi c'est normal je veux dire par lĂ  que tu n'es pas le seul dans ce cas au contraire et je comprends que tu t'attendais Ă  quelquechose de mieux mais il ne faut pas se dĂ©courager c'est tout c'est les dĂ©buts; enfin je veux dire il faut relativiser c'est un beau challenge que tu as donc met toute les chances de ton cĂŽtĂ© plutĂŽt que de paralyser ton esprit de malchance; j'en ai dĂ©duit y'a pas trĂšs longtemps que la malchance c'est nous- mĂȘme qui la faisons grandir parce qu'on lui donne de l'importance; on l'alimente et c'est ce qui fait qu'on est enchaĂźnĂ© malgrĂ© nous; pas libre.. animaMembreDate d'inscription 03/01/2010Nombre de messages 4096 Age 41Ville dans la danseSujet Re peut on changer seul son destin? Ven 6 AoĂ» 2010 - 1140 ..pour moi c'est juste la force de ton esprit qui t'aidera Ă  ĂȘtre bien dans ta vie ou si tu veux la confiance que tu te portes; c'est comme ça je crois que la chance tourne ou arrive Ă  nous; dĂ©cider de regarder sa vie sous un autre angle Contenu sponsorisĂ©Sujet Re peut on changer seul son destin? peut on changer seul son destin? Page 2 sur 2Aller Ă  la page 1, 2 Sujets similaires» Changer ses croyances» Accepter ou changer...» La switch de votre destin - Peggy McColl» Comment la PensĂ©e CrĂ©ative et le Destin sont ils liĂ©s?» FAUT -IL CHANGER LA MARSEILLEISE ?Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumForum de partage sur la spiritualitĂ©, l'Ă©veil de l'Ăąme conscience et harmonie Questions et rĂ©ponses spirituellesSauter vers Musique de relaxation gratuite avec Radio Arcadie Liens & site amis du Forum Partenaires Site amis du Forum Annuaires rĂ©fĂ©rencement annuaire forums Gralon Rencontre Montpellier Photo Bozendo France Vousn'avez pas encore de compte ? CrĂ©ez en un immĂ©diatement ! RĂ©cupĂ©rer le mot de passe. Email : Valider
Le mariage ou le cĂ©libat c’est une question de destin » ou de mektub » ? Anissa, elle, est dĂ©jĂ  convaincue que son destin », c’est de rester cĂ©libataire J’ai 29 ans. Je cherche depuis des annĂ©es. J’ai tout essayĂ©. Tout les sites de rencontres, les muqĂąbalah avec un imĂąm, les sorties entre musulmans
 Et je suis encore cĂ©libataire. C’est dur pour une femme de mon Ăąge de se retrouver comme ça. Mais aujourd’hui, je ne cherche plus. C’est le mektub
 ». Mais qu’est-ce que le mektub » ? Le sens du mektub » dans le Coran Dans l’imaginaire populaire musulman, Tout est Ă©crit, donc pas besoin d’agir ». Cette vision populaire encourage Ă  la passivitĂ©, Ă  ne pas mobiliser son intelligence crĂ©ative pour trouver des solutions aux problĂšmes de la vie quotidienne ou aux dĂ©fis historiques d’une sociĂ©tĂ© une colonisation, une famine, une inondation, ou une difficultĂ© Ă  se marier
 Quelle est la dĂ©finition et la vision qu’offre le Coran Ă  ce sujet ? En langue arabe, mektub » signifie c’est Ă©crit ». Bien que trĂšs connu, mektub » n’est pas un concept coranique. Entrons en dialogue avec le Coran pour clarifier cette question. Dieu connaĂźt le passĂ©, le prĂ©sent et le futur de chaque crĂ©ature Le CrĂ©ateur de l’univers connaĂźt tout ce qui est manifeste et ce qui est cachĂ©, parce qu’Il est le CrĂ©ateur de toute chose, de tout ĂȘtre vivant, de la terre et du ciel, de la vie dans l’ensemble du cosmos. Il enregistre dans un Livre tout ce que l’homme fait dans sa vie, Ă  l’image de Google ou de Facebook qui enregistre toute notre vie virtuelle et a tout notre historique de navigation Ne sais-tu pas que Dieu sait ce qu’il y a dans le ciel et sur la terre ? Tout cela est dans un Livre, et cela est pour Dieu bien facile »[1]. Il connaĂźt ce qui est passĂ©, prĂ©sent et futur. Car Celui qui est capable de crĂ©er un univers aussi beau et complexe une premiĂšre fois est sans doute capable de redonner vie Ă  chacun aprĂšs sa mort. En effet, Il connaĂźt la vie prĂ©sente quotidienne des plus petites crĂ©atures, de mĂȘme qu’Il connaĂźt la vie de chaque ĂȘtre humain, ses intentions, ses projets, ses paroles et ses actes secrets et publics Nulle bĂȘte marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communautĂ©. Nous n’avons rien omis d’écrire dans le Livre. Puis, c’est vers leur Seigneur qu’ils seront ramenĂ©s »[2]. Il sait ce qui est dans les cieux et la terre, et Il sait ce que vous cachez ainsi que ce que vous divulguez. Et Allah connaĂźt bien le contenu des poitrines »[3]. Il connaĂźt la vie des gĂ©nĂ©rations passĂ©es Alors [Pharaon] dit ’Qui donc est votre Seigneur, ĂŽ MoĂŻse ?’’ ’Notre Seigneur, dit MoĂŻse, est Celui qui a donnĂ© Ă  chaque chose sa propre nature puis l’a dirigĂ©e’’. ’Qu’en est-il donc des gĂ©nĂ©rations anciennes ?’’, dit Pharaon. MoĂŻse dit ’La connaissance de leur sort est auprĂšs de mon Seigneur, dans un Livre. Mon Seigneur [ne commet] ni erreur ni oubli’’ »[4]. MĂȘme s’Il connaĂźt tout, y compris le futur, Il attend de chacun qu’il exerce sa part de responsabilitĂ©, qu’il se change individuellement et collectivement Allah sait ce que porte chaque femelle, et de combien la pĂ©riode de gestation dans la matrice est Ă©courtĂ©e ou prolongĂ©e. Et toute chose a auprĂšs de Lui sa mesure. Le Connaisseur de ce qui est cachĂ© et de ce qui est apparent, Le Grand, Le Sublime. Sont Ă©gaux pour lui, celui parmi vous qui tient secrĂšte sa parole, et celui qui la divulgue, celui qui se cache la nuit comme celui qui se montre au grand jour. Il [l’homme] a par devant lui et derriĂšre lui des Anges qui se relaient et qui veillent sur lui par ordre d’Allah. En vĂ©ritĂ©, Allah ne modifie pas l’état d’un peuple, tant que les [individus qui le composent] ne modifient pas ce qui est en eux-mĂȘmes 
 »[5]. Enfin, cette question du destin » ou du mektub », pour ĂȘtre mieux comprise, ne doit pas ĂȘtre isolĂ©e de questions plus fondamentales quel est le sens notre vie sur terre ? Qui est Dieu et qu’est-ce qu’Il attend de nous ? Qui est l’homme et qu’est-ce qu’il est capable de comprendre et de faire dans sa vie ? Dieu fait de l’ĂȘtre humain son Successeur – KhalĂźfah – libre de faire le bien et le mal Toute crĂ©ature visible telle que la pierre, la mer, le soleil, les plantes, ou les animaux
, obĂ©it strictement Ă  la volontĂ© de Dieu sous la forme de lois universelles. L’ĂȘtre humain est le seul ĂȘtre connaissable qui est libre de faire le bien et le mal, c’est pourquoi dans la vie derniĂšre, il sera jugĂ©. Il ne pourrait pas ĂȘtre jugĂ© pour des actes qu’il aurait commis malgrĂ© lui – Ă  cause d’un inconscient, d’une force magique ou d’un mektub qui lui imposerait de faire le mal – car sinon, au jour du Jugement, il pourra dire Ô Toi qui nous a créé ! Tu sais bien que le mal que j’ai fait dans ma vie, je l’ai fait Ă  cause de mon inconscient, Ă  cause de shaytĂąn ou d’un djinn qui m’a possĂ©dĂ©, ou encore, Ă  cause du ’mektub’’ ». Si le Jour du Jugement existe, c’est que l’ĂȘtre humain est responsable. Si ce dernier est responsable, c’est qu’il est capable d’exercer sa libertĂ© Ă  faire le bien comme le mal. Si Dieu connaĂźt l’ĂȘtre humain, Sa connaissance n’est pas une loi qui s’impose Ă  lui. Le fait que Dieu connaisse tout n’annule pas le pacte fondateur qu’Il a passĂ© avec l’ĂȘtre humain faire de ce dernier son successeur sur terre, libre de servir Dieu, c’est-Ă -dire le Vrai, le Bien, le Juste et le Beau, ou de servir toute autre divinitĂ© » ou valeur directrice. L’ĂȘtre humain est donc responsable collectivement et individuellement de la gĂ©nĂ©ralisation du cĂ©libat qui se produit Ă  une Ă©poque comme la nĂŽtre. Le cĂ©libat un mal ou bien un choix qui a autant de valeur que le mariage ? Certains s’étonnent aujourd’hui que l’on traite le cĂ©libat comme un mal et non comme un choix positif parmi d’autres. Ils nous imposent une question nouvelle dans l’histoire de l’humanitĂ© Ă  l’exception des moines, prĂȘtres
 en quoi le cĂ©libat est-il un mal ? Et pourquoi ne serait-il pas un choix qui aurait autant de valeur que le mariage ? Tout d’abord, la plupart des hommes et des femmes cĂ©libataires le sont malgrĂ© eux. C’est majoritairement un Ă©tat subi. Certains, pour ne pas le vivre mal ou pour ne pas ĂȘtre socialement dĂ©valorisĂ©s, affichent de façon ostentatoire un cĂ©libat choisi qui les rendrait plus heureux que le mariage. Bien souvent, ces personnes elles-mĂȘmes sont dans une attitude ambivalente elles vont dĂ©valoriser le mariage et valoriser le cĂ©libat ; elles vont valoriser leur indĂ©pendance et confier qu’elles souffrent de leur solitude ; elles vont valoriser leur libertĂ© amoureuse et sexuelle en cultivant des relations jetables tout en rĂȘvant de l’Amour durable de leur vie
 Bref, mĂȘme chez ces personnes qui affirment avoir choisi le cĂ©libat, la frontiĂšre entre l’expression d’une libertĂ© heureuse et une situation malheureuse vĂ©cue malgrĂ© elles n’est pas trĂšs nette
 Ensuite, les hommes et les femmes sont naturellement faits l’un pour l’autre. Et aujourd’hui encore, la majoritĂ© des hommes et des femmes qui vivent dans la planĂšte terre aspirent Ă  vivre en couple. Si donc la majoritĂ© aspirent Ă  vivre en couple mais qu’ils finissent cĂ©libataires, alors le cĂ©libat devient le nouveau mal du siĂšcle que l’on doit affronter. D’un point de vue historique, il est vrai que le cĂ©libat a toujours existĂ©, dans toutes les sociĂ©tĂ©s humaines. Mais il n’a existĂ© que comme une rĂ©alitĂ© marginale. A l’exception des pĂ©riodes de guerre oĂč les femmes se retrouvent massivement cĂ©libataires malgrĂ© elles car les hommes meurent massivement au combat. En tant que rĂ©alitĂ© marginale, le cĂ©libat a toujours Ă©tĂ© acceptable. On connaĂźt bien des hommes et des femmes ordinaires qui n’ont pas pu ou voulu se marier, pour diffĂ©rentes raisons. On connaĂźt bien des savants, des hĂ©ros ou des saints
 qui se sont mariĂ©s Ă  la cause » et qui n’ont pas connu la vie de couple. Mais lorsqu’il se gĂ©nĂ©ralise, le cĂ©libat devient une source de dĂ©sordre social aujourd’hui, le cĂ©libat ne peut se gĂ©nĂ©raliser qu’en gĂ©nĂ©ralisant aussi les relations sexuelles jetables, la souffrance amoureuse, la solitude pour tous, la pollution du dĂ©sir sexuel par l’industrie de la pornographie, les mĂšres cĂ©libataires » qui Ă©lĂšvent seules leurs enfants, etc. MĂȘme l’abandon des vieux dans leur maison individuelle ou dans les maisons de retraite est directement liĂ© Ă  la gĂ©nĂ©ralisation du cĂ©libat car pour supporter financiĂšrement ses vieux parents, pour en prendre soin dignement comme ils ont pris soin de nous plus jeunes, un individu peut difficilement l’assurer tout seul. Parce qu’il y a besoin d’ĂȘtre une famille pour ĂȘtre un support pour ses parents lorsqu’ils se font vieux. Autrement, l’individu se sent Ă©crasĂ© par la lourdeur de cette charge. L’homme est responsable du mal qui le touche Il a vocation Ă  rĂ©sister au mal et Ă  rĂ©aliser le bien en lui et autour de lui. Dieu n’est pas la cause ou l’auteur du mal de la guerre, de l’injustice politique, de l’ignorance, de la famine, du mariage forcĂ©, du cĂ©libat ou divorce qui se gĂ©nĂ©ralise
 Il n’est pas responsable du mal qui fait sa loi dans la vie des hommes. C’est cette vĂ©ritĂ© qu’Il nous rappelle dans le Coran La corruption est apparue sur la terre et dans la mer Ă  cause de ce que les gens ont accompli de leurs propres mains; afin qu'[Allah] leur fasse goĂ»ter une partie de ce qu’ils ont ƓuvrĂ©; peut-ĂȘtre reviendront-ils vers Allah »[6]. A l’heure de la crise Ă©cologique planĂ©taire, on voit bien le lien entre le mauvais comportement humain et le dĂ©sordre dans la mer et dans le ciel le mal qu’on avale dans nos repas quotidiens malbouffe industrielle, mĂ©dicaments, plastiques
, est rejetĂ© aux toilettes et finit dans la mer oĂč il tue la vie des poissons et des plantes, ainsi que dans l’air qu’il pollue
 De la mĂȘme maniĂšre, Dieu nous invite Ă  ne pas faire comme si la pauvretĂ© Ă©tait un mal naturel, une fatalitĂ© ou un arbitraire du destin » ou des dieux. Il nous rappelle que l’ĂȘtre humain est responsable de la pauvretĂ© et qu’il est capable de la rĂ©duire en multipliant le don, en imaginant et en institutionnalisant des formes de solidaritĂ©. Et rejeter sa responsabilitĂ© d’homme et de femme face Ă  la lutte contre la pauvretĂ©, c’est rejeter Dieu. C’est ce que nous enseigne par exemple ce signe qui montre le comportement de ceux qui rejettent leur responsabilitĂ© sur Dieu face Ă  la pauvretĂ© Et quand on leur dit ’DĂ©pensez de ce que Dieu vous a attribué’’, ceux qui sont dans le dĂ©ni de Dieu disent Ă  ceux qui ont cru ’Est-ce Ă  nous qu’il appartient de nourrir ceux que Dieu, s’Il le voulait, pourrait nourrir Lui-mĂȘme ? Vous ĂȘtes vraiment dans un Ă©garement manifeste !’’ »[7]. Ils rejettent leur responsabilitĂ© avec malice, non pas en niant l’autoritĂ© de Dieu mais en renvoyant Ă  Dieu la responsabilitĂ© de rĂ©soudre le problĂšme de la pauvretĂ© sur terre. Lorsqu’on les invite Ă  donner de leurs biens, ils rĂ©pondent Si Dieu n’a pas nourri cette personne, s’Il ne l’a pas sortie de la pauvretĂ©, c’est qu’il y a une raison. Alors pourquoi moi vais-je contredire la volontĂ© de Dieu ? ». Nier sa responsabilitĂ© collective et individuelle face au mal qui nous touche, c’est nier qu’on est libre d’offrir au monde plus de justice ou de laisser l’injustice faire sa loi, c’est nier Dieu, c’est nier ce pour quoi Dieu nous a créé rĂ©pondre Ă  son Invitation sa Da’wah Ă  rĂ©aliser sa volontĂ©, c’est-Ă -dire Ă  se mettre au service du Vrai, du Bien, du Juste et du Beau. Que ce soit des problĂšmes de pauvretĂ©, de santĂ©, de guerre, de mariages forcĂ©s, de divorces ou de cĂ©libat l’ĂȘtre humain est responsable de tous les dĂ©sordres qu’il vit sur terre, responsable d’y rĂ©sister et de les transformer en une rĂ©alitĂ© meilleure. Il ne peut pas Ă©chapper Ă  sa responsabilitĂ© en expliquant que C’est comme ça parce que c’est Ă©crit » ; C’est comme ça qu’on a toujours fait ! » ; C’est comme ça qu’ont fait les anciens ! » ; C’est ce que l’époque moderne veut »  Toutes ces diffĂ©rentes formes de fatalismes sont des façons pour l’homme d’échapper Ă  sa vocation et Ă  son mĂ©tier d’Homme. ReconnaĂźtre qu’il n’existe aucune divinitĂ© si ce n’est Dieu l’Unique, c’est accepter d’exercer son courage en refusant de traiter l’habitude, la tradition passĂ©e ou prĂ©sente ici, l’époque moderne comme une fatalitĂ© Ă  laquelle on doit obĂ©ir et se soumettre. Conclusion ReconnaĂźtre qu’il n’existe aucune autre divinitĂ© si ce n’est Dieu l’Unique, c’est s’engager Ă  agir pour le bien et la justice dans toutes les situations de la vie privĂ©e et publique. Quand l’injustice, le dĂ©sordre ou le mal domine Ă  une Ă©poque donnĂ©e – par exemple, lorsqu’il y a une colonisation, une famine, une Ă©pidĂ©mie, la gĂ©nĂ©ralisation du mariage forcĂ© – l’homme est invitĂ© Ă  lui rĂ©sister et Ă  rendre son monde meilleur. De la mĂȘme maniĂšre, parce qu’aujourd’hui, on assiste Ă  la gĂ©nĂ©ralisation du divorce, du cĂ©libat et de la solitude, il est de notre responsabilitĂ© collective de renforcer les liens de solidaritĂ© de proximitĂ© et de dĂ©velopper une politique du mariage. Le problĂšme du cĂ©libat n’est pas le problĂšme individuel du cĂ©libataire. C’est un problĂšme qui se traite collectivement et non pas en demandant au cĂ©libataire de trouver une solution par lui-mĂȘme. En ce sens, Dieu ne commande pas au cĂ©libataire de se marier. Bien plutĂŽt, Il fait du devoir de faciliter le mariage des cĂ©libataires le devoir collectif de la famille Ă©largie et de la sociĂ©tĂ© Mariez les cĂ©libataires parmi vous 
 »[8]. Cette philosophie de la responsabilitĂ© humaine n’est-elle que de la thĂ©orie ? Comment la civilisation musulmane a-t-elle exercĂ© sa responsabilitĂ© individuelle et collective pour faciliter le mariage ? C’est ce que nous verrons Ă  l’occasion d’un prochain article. Notes [1] Coran 22 70 [2] Coran 6 38 [3] Coran 64 4 [4] Coran 20 49-52 [5] Coran 13 8-11 [6] Coran 30 41 [7] Coran 36 47 [8] Coran 24 32
Pouvonsnous changer notre destin ? Le Prophùte (Salla Allah alayhi wa salam) a dit: ALLAH MET UN ANGE EN CHARGE DE L’UTÉRUS ET CELUI-CI DIT: “SEIGNEUR, C’EST UN SPERME ! Ô SEIGNEUR, (C’EST
Le destinPublished on Dec 18, 2016No descriptionsanaa tazi
Saufque je crois aussi qu'avec nos propre choix dans la vie on possĂšde la capacitĂ© de changer notre future et destin. Donc comme j'ai dĂ©jĂ  dit, ci on fait rien dans la vie, notre destin est probablement dĂ©jĂ  crĂ©e et on ne peut rien faire. Cela s'arrive souvent dans deux cas. PremiĂšrement quand la famille est pauvre et souvent pas La sĂ©paration de couple est une des Ă©preuves les plus difficiles Ă  traverser de la vie. C’est une page qui se tourne. Deux chemins qui se sĂ©parent. Deux personnes qui prennent des directions opposĂ©es. Cela peut s’accompagner de larmes, de sentiment de vide, de colĂšre, de perte de confiance en soi, 
 Vous ĂȘtes peut-ĂȘtre Ă  l’origine de cette rupture. Ou au contraire, c’est votre conjoint qui a provoquĂ© la sĂ©paration. Cette rupture peut ĂȘtre douloureuse surtout si elle est subite Vous ressentez un sentiment d’échec. Une terrible dĂ©sillusion. Un cƓur dĂ©chirĂ©. Vous rĂȘviez d’un futur Ă  deux qui aujourd’hui n’est plus possible. Mais cette rupture peut aussi ĂȘtre un vrai soulagement. La relation Ă©tait toxique et ne vous portait pas vers le haut. Vous n’en pouviez plus de votre conjointe, et vous vous sentez Ă  nouveau libre. Vous vous sentez libĂ©rĂ© d’un poids, qu’il n’était plus possible de supporter. Dans tous les cas, cette Ă©preuve ne laisse pas indiffĂ©rent. Et vous avez besoin de prendre du temps pour y rĂ©flĂ©chir. C’est nĂ©cessaire. Indispensable. La tentation c’est de chercher Ă  fuir la solitude. D’éviter d’affronter cet Ă©chec. Pourtant, il est indispensable de faire votre travail de deuil. Faire le point sur ce qui a causĂ© cet Ă©chec. Prendre des rĂ©solutions pour avancer
 
 des rĂ©solutions vis-Ă -vis de vous-mĂȘme 
 et de toute personne qui croisera votre route. Attention, vous remettre immĂ©diatement en couple aprĂšs une rupture est une trĂšs mauvaise idĂ©e
 C’est le signe que vous n’avez pas pris suffisamment de temps pour rĂ©flĂ©chir sur cette relation passĂ©e. Les consĂ©quences ? Cette nouvelle relation va devenir une Ă©chappatoire. Vous allez utiliser, sans le vouloir, ce nouveau conjoint comme un objet
 
 un objet qui vous permet de passer Ă  autre chose, d’oublier votre relation passĂ©e. Votre conjoint devient un pansement Ă  votre relation, une bĂ©quille. Un peu rĂ©ducteur non ? Alors qu’il devrait ĂȘtre une personne digne d’ĂȘtre aimĂ©e librement, sans contrepartie Je ne doute pas que c’est ce que vous souhaitez Ne vous servez pas d’un conjoint pour combler un moment de vide, en attendant de trouver votre Ăąme sƓur ». Ce serait malhonnĂȘte, mĂȘme si cette personne est au courant de votre histoire. Par ailleurs, y a un risque pour vous Ă©galement. Celui de suivre le mĂȘme chemin qu’avant. RĂ©pĂ©ter les mĂȘmes erreurs. Reproduire le mĂȘme schĂ©ma qui vous a conduit Ă  l’échec. Vous allez ĂȘtre tentĂ© de comparer votre nouveau conjoint avec le prĂ©cĂ©dent. A l’idĂ©aliser dans les premiers temps, et Ă  vite dĂ©chanter pour finalement vivre une nouvelle rupture
 Oui mais alors que faire ? Comment bien se reconstruire ? Comment repartir de l’avant ? La solution prendre son temps. Prendre le temps de rĂ©flĂ©chir et de se poser les bonnes questions avant tout nouvel engagement Qu’est-ce qui a provoquĂ© cette rupture ? Pourquoi ? Quelles sont les causes ? Que devez vous amĂ©liorez chez vous ? Qu’attendez-vous de votre couple ? 
 C’est indispensable pour repartir sur de bonnes bases. Et ce n’est pas au moment de la crise qu’il faut se poser ces questions, mais avant. Quitter votre conjoint, c’est aussi quitter une vie que vous avez construite, ou que vous Ă©tiez en train de construire. Cela reprĂ©sente donc, pour vous et pour l’autre, un Ă©chec. Et il faut du temps avant de passer Ă  autre chose. Pour certain, cette pĂ©riode aprĂšs la rupture peut aussi ĂȘtre un moment de rĂ©flexion pour voir s’il n’y aurait pas une derniĂšre solution pour continuer ensemble. Mais dans tous les cas, se retrouver seul pendant un certain temps va vous permettre de prendre du recul et d’ĂȘtre plus objectif sur la situation. Pour finir, un dernier conseil Si vous deviez n’en retenir qu’un seul Soyez honnĂȘte avec vous et avec l’autre
 PEUTTU CHANGER TON DESTIN? IL EXISTE QUELQUE FACON DE LE FAIRE ET COMMENT PEUT TU LE REUSSIRIL arrive souvent que nous soyons confrontĂ©s Ă  certains Ă©vĂšnemen Le djinn amoureux est un dĂ©mon qui prend le corps de son ĂȘtre aimĂ© comme refuge avec toute discrĂ©tion. Ce djinn est amoureux de sa victime. Son amour le pousse Ă  vouloir contrĂŽler la vie de son hĂŽte jusqu’à la possĂ©der. C’est une forme d’amour toxique qui se base sur le mal. Depuis le cƓur de son hĂŽte, il se raccorde au cerveau Ă©motionnel pour une emprise parfaite de sa victime. Ce dĂ©mon souffle la colĂšre, tristesse ou la peur pour affaiblir psychologiquement l’ĂȘtre aimĂ©. Diagnostic djinn amoureux, cliquez sur l’image voire les vidĂ©os. Plus il reste dans le corps du malade et plus il a de l’emprise sur lui. Une emprise sur son corps, sa tĂȘte et sa vie. On trouve ce type de djinn chez une personne cĂ©libataire, mariĂ©e ou mĂȘme un enfant. Il essaie toujours de se cacher et de ne pas ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©. C’est pour cela qu’il est rare qu’il quitte le corps de son hĂŽte et lui fait toujours du Waswas pour la dĂ©motiver et la bloquer contre tous types de traitements ou la rokia charia. Il essaie aussi d’éloigner sa victime de toutes personnes qui peut l’aider ou la traiter. Contactez-nous pour vous aider Plusieurs personnes qui nous contactent pour se dĂ©barrasser de leur djinn amoureux se retrouvent bloquĂ©s pour un deuxiĂšme contact. Cela est dĂ» Ă  l’emprise avancĂ©e de ce dernier sur eux. Un conseil ne vous laisser jamais vaincu par ce dĂ©mon sinon il peut ĂȘtre une cause d’une vie triste. DiffĂ©rence entre un djinn amoureux et un djinn d’une sorcellerie Le serviteur d’une sorcellerie entre dans le corps du patient avec la venue de la sorcellerie. Il prend place pour servir la sorcellerie, la garder et faire du Waswas, il sort automatiquement Ă  la destruction de sorcellerie. En effet son objectif c’est d’accomplir l’objectif de la sorcellerie et dans des cas il est enchaĂźnĂ© avec. Mais en ce qui concerne le djinn amoureux, il prend place dans le corps de sa victime avec sa propre volontĂ© de possĂ©der le corps du malade. MĂȘme si sa victime possĂšde une sorcellerie, le djinn amoureux va utiliser cette derniĂšre comme source de pouvoir qui va le renforcer Ă  rester dans le corps et d’avoir une emprise totale avec le temps. Les types de sorcelleries qui renforcent le djinn amoureux Il est possible Ă  ce type de Djinn de se lier Ă  plus d’une seule sorcellerie. Voici une liste des diffĂ©rents types de sorcelleries qui l’intĂ©resse parce qu’elles servent son intĂ©rĂȘt Sorcellerie blocage blocage de la division ou du de l’ de la de la de protection de la virginitĂ©. Et gĂ©nĂ©ralement le djinn amoureux se lie aux sorcelleries sales qui sont adorĂ©es par les dĂ©mons comme Sorcellerie faite avec du faite avec des saletĂ©s urine, excrĂ©ments
.Sorcellerie avec des organes d’animaux intestins, organes, onglets de chat
.Sorcellerie dans un mort. Les endroits oĂč le djinn amoureux s’installe dans le corps Le djinn amoureux s’installe gĂ©nĂ©ralement au cĂŽtĂ© gauche du corps, par exemple dans la jambe gauche ou la main gauche, les parties intimes ou le cƓur de son hĂŽte. GĂ©nĂ©ralement ce sont des endroits proches du Qarin pour qu’il s’impose avec le Waswas. Causes de la prĂ©sence du djinn amoureux Plusieurs causes diffĂ©rentes pour expliquer la prĂ©sence du djinn amoureux dans le corps, nous allons citer les plus importantes La sorcellerie sorcellerie blocage mariage, sorcellerie blocage enfantement, sorcellerie de la division et du divorce, sorcellerie de la fornication, sorcellerie de l’amour, sorcellerie de l’impuissance
.La sorcellerie mangĂ©e avec le sang des rĂšgles ou avec du maladies solitude et le vide les Ulms adultes en pratique de la fornication, le mauvais Ɠil et la jalousie qui bloque le mariage, l’enfantement
Se regarder beaucoup dans le pleurer ou danser dans les nuditĂ© dans les toilettes sans faire les sorcellerie de la des protections et des talismansLa sorcellerie dans la pactes avec les dĂ©mons. Les problĂšmes induits par les djinns amoureux Dans tous les cas, le djinn a besoin d’une source d’énergie qui le renforce et qui lui donne des pouvoirs d’emprise sur sa victime comme contrĂŽler sa vie. Parmi ces sources il y a la sorcellerie, les maladies psychologiques, le mauvais Ɠil, les pĂ©chĂ©s et le manque de foi. Voici une liste des problĂšmes causĂ©s par ce type de djinn dans la vie de sa victime Beaucoup de de dans le les couples qui comptent se le mariage, le travail et la les la famille, les amis et le de pousser le malade Ă  pratiquer la pour sa victime d’avancer dans la l’enfantement, destruction de dans la relation du sa victime a ne connaitre que des personnes mauvaise dans sa PensĂ©es nĂ©gatives, les pensĂ©es oublie et et mauvaise prise de dĂ©cision. Quel est la personne qui peut vaincre le Djinn amoureux ? La victime ou le malade est la personne la plus apte Ă  dĂ©truire le djinn amoureux avec la permission de ce type de djinn pense et rĂ©pĂšte que la personne qu’il aime l’appartient. Il est convaincu que la femme qu’il domine est son Ă©pouse et essaie d’éloigner tous les hommes sur son chemin. Il essaie de possĂ©der le corps et l’esprit du malade et essaie aussi de contrĂŽler sa vie. C’est une entitĂ© qui vit dans un mensonge continue, il pense que sa victime aime sa prĂ©sence dans sa vie et ne le dĂ©teste pour cela que dans des cas on trouve que le djinn amoureux se venge du malade, le blesse et le punit lors de son Ă©coute Ă  la roqya ou quand il se traite avec des moyens qui le dĂ©rangent. Dans d’autres cas, on trouve que le djinn amoureux croit que le malade ne le combat pas exprĂšs, mais qu’il se traite sous la pression de sa famille ou du raki, il ne va pas penser que le malade veut se dĂ©barrasser de lui et c’est rare qu’il soit convaincu que le malade cherche Ă  le la plupart des cas, le djinn amoureux fait la sorcellerie a sa victime sorcellerie des djinns ce qui rĂ©sulte des nƓuds au niveau du cƓur, provoque beaucoup de Waswas et le souffle dĂ©moniaque. L’objectif de ses sorcelleries c’est la soumission totale de la se basant sur ce point on peut comprendre que, plus la foi du malade augmente, plus il est convaincu que le dĂ©mon est faible, plus il persĂ©vĂšre dans son traitement contre le djinn amoureux avec conviction et confiance absolue en Dieu. Cela accĂ©lĂšre le processus de destruction de ce dĂ©mon et les rĂ©sultats sont forts. Plus la foi et le cƓur sont faible, et plus cela donne de la force au djinn amoureux pour avoir une emprise sur sa victime. Notre aide et services N’hĂ©sitez pas Ă  nous contacter si vous soufrer de djinn amoureux, avec la permission de Dieu nous pouvons vous aider dans le diagnostic et le traitement. RomĂ©oet Juliette, la plus mythique des piĂšces de théùtre. Dans RomĂ©o et Juliette, William Shakespeare s'inscrit dans la tradition des histoires d'amour tragiques remontant Ă  l'AntiquitĂ©.Il livre dans les personnes de RomĂ©o et de Juliette le mythe de l’amour tout entier, aux cĂŽtĂ©s d’autres thĂšmes universels tels que la mort et le destin.
RĂ©sumĂ© Index Plan Texte Bibliographie Notes Citation Auteur RĂ©sumĂ©s Venus dans les villes françaises dĂšs les annĂ©es 1970, les marabouts ouest-africains y ont trouvĂ© un cadre propice aux pratiques de divination et de recours contre l’infortune qui Ă©taient les leurs dans les villes africaines. La plupart d’entre eux ont tentĂ© de faire de cette activitĂ© leur gagne-pain, en touchant parfois trĂšs volontairement une clientĂšle multiculturelle. L’objet de cet article est d’analyser le champ des compĂ©tences qui leur sont prĂȘtĂ©es Ă  Paris et l’évolution des schĂ©mas explicatifs du malheur qu’ils proposent Ă  leurs consultants. À cĂŽtĂ© de leur rĂŽle de devin et d’intercesseur, c’est celui d’écouteur et de conseiller qui apparaĂźt de plus en plus nettement. Attachment, Block, Protection. Some Aspects of Witchcraft amongst West-African Marabouts in the Paris Region. – The first marabouts immigrated to the french cities in the seventies, coming from West-Africa. In this new environment they found a favourable context for the divinatory practices and the providing of remedies against misfortune that they already carried out in african cities. Most of them tried to make this activity into a job and reached deliberately clients of all origins. The purpose of this article is to examine the extent of their interventions in Paris and the modifications in the interpretations of misfortune that they propose to their clients in this cross-cultural context. Beside their role of prophets and of specialists interceding with Allah and the jinns, the role of listener and counsellor that they also assume is becoming more and more de page Texte intĂ©gral 1Dans la France contemporaine, les propositions religieuses de lutte contre le mal et de combat contre l’infortune sont trĂšs nombreuses. Elles Ă©manent tant d’Églises constituĂ©es que de petits entrepreneurs religieux indĂ©pendants. Certaines sont ouvertement rivales. Ainsi depuis 1998, les rituels de dĂ©livrance » pratiquĂ©s par l’Église Universelle du Royaume de Dieu1, de mĂȘme que ses prĂ©dications, visent la lutte contre les actions malĂ©fiques des marabouts, considĂ©rĂ©s comme les responsables principaux de la survenue de dĂ©mons. Comme l’écrit Marion AubrĂ©e citĂ©e dans Dard 2003 64, les marabouts sont transformĂ©s en boucs Ă©missaires rituels dans la mesure oĂč ils reprĂ©sentent une force concurrente pour l’Église Universelle dans ce nouveau recrutement qu’elle fait actuellement parmi les populations noires ». Venus dans les villes françaises dĂšs les annĂ©es 1970, les marabouts y ont, en effet, trouvĂ© un cadre propice aux pratiques de divination et de recours contre les difficultĂ©s de l’existence qui Ă©taient les leurs dans les villes africaines. Figures de l’islam ouest-africain, ils ont, pour la grande majoritĂ© d’entre eux, abandonnĂ© dans ce nouveau contexte le large Ă©ventail des rĂŽles qu’ils assumaient en Afrique, en particulier celui d’enseignant du Coran, pour se rapprocher du statut lĂ©galement Ă  peine tolĂ©rĂ©, mais socialement florissant, de voyants dont ils sont eux-mĂȘmes devenus les concurrents. La plupart d’entre eux ont tentĂ© de faire de cette activitĂ© leur gagne-pain, avec des succĂšs trĂšs variables. Loin de rester confinĂ©s aux milieux ouest-africains, les marabouts ont touchĂ©, dĂšs leur arrivĂ©e en France, et parfois trĂšs volontairement comme en tĂ©moigne leur publicitĂ©, une clientĂšle multiculturelle. Celle-ci est constituĂ©e principalement d’Africains venant de toutes les rĂ©gions d’Afrique, de MaghrĂ©bins et de personnes d’origine maghrĂ©bine, d’Antillais, de mĂ©tropolitains », de Portugais2. 2De nombreux anthropologues ont proposĂ© des explications Ă  cette floraison du recours Ă  des personnages mĂ©diateurs et Ă  la sorcellerie dans les sociĂ©tĂ©s urbaines contemporaines, tant dans le champ de l’islam que dans celui d’autres pratiques religieuses. Certains mettent en avant le lien entre sorcellerie et politique, conquĂȘte, maintien du pouvoir3. D’autres interprĂ©tations considĂšrent les pratiques de guĂ©rison et de sorcellerie comme l’arme des plus faibles et des laissĂ©s pour compte de la globalisation Comaroff & Comaroff 1999 ou encore, dans des contextes oĂč les pratiques religieuses Ă©taient strictement contrĂŽlĂ©es4, comme l’expression d’une identitĂ© rĂ©affirmĂ©e Rasanayagam 2006. Pour sĂ©duisantes qu’elles soient, ces perspectives semblent parfois trop unilatĂ©rales et laissent Ă  l’arriĂšre-plan l’analyse des logiques internes Ă  l’Ɠuvre dans ces pratiques de guĂ©rison, de rĂ©solution du malheur et de sorcellerie, ainsi que leur bricolage dans un contexte donnĂ©. S’agissant des marabouts ouest-africains, nous nous attacherons moins, dans cet article, Ă  tenter une explication globale de leur Ă©mergence Ă  Paris qu’à dĂ©gager les diverses interprĂ©tations de l’infortune qu’ils proposent Ă  leurs consultants, et de la façon dont celles-ci sont travaillĂ©es par le contexte parisien et par une clientĂšle aux origines multiples5. Le champ d’intervention des marabouts 3Les raisons qui conduisent Ă  consulter un marabout sont nombreuses. Quelques exemples montreront l’étendue des compĂ©tences qui leur sont prĂȘtĂ©es. 4Khadi, Ă©tudiante tchadienne vivant Ă  Paris, vient de recevoir du Cameroun de mauvaises nouvelles de sa sƓur cette derniĂšre ne se sent pas bien, erre sans but alors que les mĂ©decins ne lui trouvent rien. TrĂšs inquiĂšte, Khadi se prĂ©cipite dans le foyer du xie arrondissement oĂč vit le marabout DramĂ© Que se passe-t-il ? Quelle est la cause de ces dĂ©sordres ? » Le marabout fait une divination, rassure, promet des mĂ©dicaments Ă  venir chercher le soir mĂȘme. Il faut m’aider, grand
 ! » implore la consultante qui, une fois sortie, pour redoubler d’efficacitĂ©, se rend immĂ©diatement chez Sherif, un second marabout, plus jeune, auquel elle pose les mĂȘmes questions ; celui-ci fait d’autres rĂ©ponses et propose d’autres mĂ©dicaments. 5Maria, portugaise d’ñge mĂ»r, attend son tour dans la salle d’attente de Gassama. Elle vient consulter pour son fils qui, depuis quelques temps, reste couchĂ© et ne prend aucune initiative. Elle veut confirmer auprĂšs du marabout sa propre hypothĂšse la cause de cette attitude n’est pas naturelle ; il s’agit aussi de trouver un remĂšde Ă  ce comportement anormal. 6Bahia, jeune femme d’origine algĂ©rienne ĂągĂ©e d’une trentaine d’annĂ©es se dĂ©sole de ce qu’aucun de ses projets ne se rĂ©alise ; la demande de logement social faite il y a plusieurs annĂ©es semblait aboutir, de nombreuses Ă©tapes administratives avaient Ă©tĂ© franchies et au dernier moment, est survenu un incomprĂ©hensible refus
 Comment expliquer ces revers ? Une perspective plus favorable se dessinera-t-elle ? Telles sont les questions pressantes que Bahia pose Ă  Diakhaby. 7Suzy, Antillaise de 35 ans a beaucoup d’inquiĂ©tude sur l’avenir de son couple le comportement de son ami a changĂ©, elle sent qu’il lui cache une part de sa vie, elle sait qu’il a autrefois quittĂ© une premiĂšre femme
 Sa lassitude est telle qu’elle souhaite vivre seule avec ses enfants. Quelle issue ? Quel avenir ? », demande-t-elle Ă  Diaby lors d’une Ă©mission de voyance en direct sur une chaĂźne de radio antillaise. 8Quant Ă  Marie, jeune femme d’origine parisienne, elle cherche dĂ©sespĂ©rĂ©ment Ă  retrouver un homme qu’elle a follement aimĂ© et qui l’a quittĂ©e dans sa quĂȘte, elle rencontrera plusieurs marabouts6. 9Bien qu’elles n’épuisent pas l’ensemble des requĂȘtes, ces cinq situations critiques montrent que le registre d’intervention des marabouts est celui de la vie quotidienne dans toute son Ă©tendue chĂŽmage, avancement, logement, peines de cƓur, Ă©ducation des enfants, conflits familiaux ou de travail, maux inexpliquĂ©s sont autant de difficultĂ©s que certains citadins cherchent Ă  rĂ©soudre dans le cabinet » d’un marabout. Ce fait parisien est conforme aux observations faites depuis plusieurs dĂ©cennies dans les villes africaines ; l’étude menĂ©e par Jean-Marie Gibbal 1974 auprĂšs d’écoliers et de jeunes dĂ©scolarisĂ©s dans trois petites villes ivoiriennes Ă  la fin des annĂ©es 1960 montrait la forte prĂ©gnance de diverses explications et pratiques occultes lorsqu’il s’agit de se protĂ©ger contre les accidents de voiture, de rĂ©ussir dans les relations amoureuses, Ă  l’école comme sur le stade. C’est Ă©galement le cas, au SĂ©nĂ©gal, des requĂȘtes reçues, dans les annĂ©es 1980, par un Ă©phĂ©mĂšre marabout-guĂ©risseur de la rĂ©gion dakaroise GuissĂ© 1997 ou de celles formulĂ©es aux marabouts de la ville malienne de Nioro du Sahel Soares 20057. Cette convergence prouve, s’il en est encore besoin, que le pragmatisme par lequel on a souvent caractĂ©risĂ© le religieux en Afrique excĂšde largement ce cadre. Au demeurant, l’attachement aux rĂ©alitĂ©s du monde et l’accomplissement des aspirations individuelles traversent actuellement l’ensemble des religions, comme l’ont montrĂ© les travaux de nombreux sociologues8. Cette tendance n’a fait qu’accroĂźtre en leur sein les offres d’efficacitĂ© immĂ©diate dans la rĂ©solution des conflits au quotidien. 10La visite Ă  un ou plusieurs marabouts constitue d’ailleurs le plus souvent le maillon d’une chaĂźne des recours que chaque consultant forge selon ses rencontres et ses besoins, dans la complĂ©mentaritĂ© ou la succession. Ainsi, Astou trouve-t-elle dans la divination d’un marabout la confirmation du diagnostic de son gynĂ©cologue concernant sa stĂ©rilitĂ©, tout en projetant de se rendre Ă  Lourdes. Ainsi, pour mettre fin au comportement dĂ©sordonnĂ©, selon elle, de sa fille, Zohra consulte-t-elle un marabout parisien aprĂšs avoir rendu visite Ă  un cheikh au Maroc dont elle fait suivre le traitement Ă  sa fille. Ainsi, pour apaiser la crise trĂšs aiguĂ« que traverse son couple, Berthe s’adresse-t-elle au curĂ© de sa paroisse en mĂȘme temps qu’à un marabout. Ces itinĂ©raires complexes, trĂšs personnels, largement identifiĂ©s dans le domaine mĂ©dical9 sont aussi frĂ©quents dans tout ce qui relĂšve des difficultĂ©s inexplicables et des incertitudes du quotidien. Ce pluralisme couvre un large spectre, variable selon les consultants, qui va, le plus souvent sans solution de continuitĂ© ni hiĂ©rarchie, du religieux au mĂ©dical, du soin par les plantes ou par des psychothĂ©rapies de formes classique ou alternative Ă  des pratiques Ă©sotĂ©riques. 11Les marabouts sont donc, parmi d’autres spĂ©cialistes, les tĂ©moins privilĂ©giĂ©s des tensions, des inquiĂ©tudes, des dĂ©fiances qui traversent la sociĂ©tĂ© française contemporaine dans son ensemble, bien au-delĂ  des populations immigrĂ©es. Il est certes possible d’identifier des questions particuliĂšres Ă  ces derniĂšres celles relatives notamment aux papiers de sĂ©jour, celles dĂ©voilant la condition malheureuse de femmes Ă©pousĂ©es au pays, en AlgĂ©rie ou au Maroc qui, transplantĂ©es brusquement dans un monde dont elles ne savent rien, confinĂ©es dans la solitude parisienne, ne comprennent pas le comportement parfois trĂšs libre de leur mari ; la visite au marabout est alors leur seule source d’interprĂ©tation et de rĂ©confort. Les questions les plus douloureuses tĂ©moignent des liens toujours trĂšs forts et souvent ambivalents entretenus avec le pays d’origine et la parentĂ© qui y est restĂ©e. Si tout ce que fait Wahid Ă  Paris Ă©choue, n’est-ce pas parce que sa famille agit dans l’ombre et Ă  distance pour le faire revenir au Maroc ? Si le mari de Lucia a brusquement changĂ© de comportement, n’est-ce pas parce qu’au pays, ses parents, opposĂ©s Ă  ce mariage, ont tout fait pour briser le couple ? Et pour Ernestine qui souhaite rentrer aux Antilles et y ouvrir une boutique, il paraĂźt vital de protĂ©ger son projet contre l’envie possible de ses proches. Entre tentative d’émancipation individuelle et soumission au groupe, c’est toute la complexitĂ© et les multiples avatars de la dette communautaire »10 qui viennent s’exprimer dans les cabinets des marabouts, lorsque, pour ceux qui n’en ont pas mis clairement en question l’emprise, celle-ci se traduit par des Ă©checs incomprĂ©hensibles, des maux physiques ou des craintes engendrant des demandes de protection. 12Mais, Ă  cĂŽtĂ© de ces demandes et plaintes spĂ©cifiques, celles qui se font le plus souvent entendre sont communes Ă  l’ensemble des consultants, sans distinction d’origine et s’expriment en des termes semblables. Le travail est l’une des questions majeures perte d’emploi, stages Ă  rĂ©pĂ©tition, prĂ©caritĂ©, difficultĂ©s d’insertion, de progression, de titularisation, changements d’orientation, conflits avec ses collĂšgues, ses supĂ©rieurs, autant d’expĂ©riences douloureuses dont les marabouts entendent quotidiennement le rĂ©cit. Cependant la question la plus frĂ©quente concerne la cohĂ©sion du couple et de la famille dans ses multiples dĂ©clinaisons amour, sexualitĂ©, entente entre les gĂ©nĂ©rations, inquiĂ©tude sur la fragilitĂ© des relations, etc. C’est sans doute pour cette raison que certains marabouts se sont dĂ©clarĂ©s spĂ©cialistes des problĂšmes d’amour, ou encore amoureulogue » selon la publicitĂ© de l’un d’eux, et que l’une des formules rĂ©currentes de ces petites cartes par lesquelles ils se sont fait connaĂźtre promet le retour immĂ©diat de l’ĂȘtre aimĂ© ». Effet de la modernitĂ© parisienne ? Rien n’est moins sĂ»r. DĂšs le xe siĂšcle, on trouve dans le GhĂąyat al-hakĂźm L’objectif du sage, ouvrage Ă©crit par un auteur andalou au nom controversĂ©, souvent prĂ©sentĂ© comme pseudo, Maslama al-MajrĂźtĂź, un grand nombre de recettes de charmes et des talismans figuratifs d’amour/haine composĂ©s en relation avec des coordonnĂ©es astrales. Cette rĂ©fĂ©rence historique centrale montre que les problĂšmes d’amour sont un grand classique de la magie islamique11. Il en est de mĂȘme d’une autre action pour laquelle les marabouts sont Ă©galement trĂšs sollicitĂ©s assurer la prospĂ©ritĂ© commerciale. Si elle s’applique au commerce contemporain, elle n’en est pas moins l’un des travaux maraboutiques les plus anciennement attestĂ©s puisqu’on en trouve la trace dans l’histoire de la ville de DjennĂ© Mali12. Cette association du religieux et du commercial rappelle le lien trĂšs ancien existant, en Afrique de l’Ouest, entre marchands et lettrĂ©s, fondement de l’expansion de l’islam dans cette rĂ©gion. L’on trouve donc dans les compĂ©tences prĂȘtĂ©es Ă  ces spĂ©cialistes de la magie islamique de grandes constantes. Cependant cette constatation va de pair avec une caractĂ©ristique majeure de la science des secrets » asraria, lasrari, termes dĂ©rivĂ©s de l’arabe ilm al-asrĂąr transmise aux marabouts par leur maĂźtre ou Ă©changĂ©e avec leurs pairs son adaptabilitĂ©. La mĂȘme recette fa’ida se prĂȘte Ă  de nombreuses interprĂ©tations et peut s’adapter Ă  toutes sortes de situations, de formulations et de contextes. On peut alors considĂ©rer que, passant de l’Afrique Ă  la France, et frĂ©quentant Ă  Paris de multiples milieux culturels et sociaux, les marabouts se livrent davantage Ă  un travail de traduction et d’accommodement qu’à un vĂ©ritable remaniement symbolique de leurs pratiques. 13Bons observateurs des prĂ©occupations et des usages de leurs consultants, les marabouts connaissent parfaitement les pĂ©rĂ©grinations de ces derniers entre diffĂ©rents spĂ©cialistes. Ils en prennent souvent ombrage, en particulier lorsque ceux-ci sont leurs rivaux directs. Et ils ne manquent pas de mettre en garde leurs clients contre le travail nĂ©faste qu’aurait pu faire pour rĂ©soudre leur problĂšme un monsieur » prĂ©cĂ©demment consultĂ©. S’ils ne parviennent pas Ă  dissuader leur interlocuteur de n’avoir Ă  faire qu’à eux seuls13, ils refusent parfois d’intervenir. Mais ce qui semble n’ĂȘtre qu’un moyen de pression sur le consultant s’explique aussi par la crainte que suscite toujours le savoir de l’autre, dans un univers oĂč parler ou Ă©crire, c’est faire. 14En revanche il est des collaborations de fait que les marabouts acceptent. Sans doute est-ce en raison de la lĂ©gislation française concernant l’exercice de la mĂ©decine que la plupart des marabouts parisiens sont rĂ©ticents Ă  intervenir dans le domaine de la maladie » au sens occidental du terme et renvoient les consultants concernĂ©s vers leurs mĂ©decins. Ceci n’empĂȘche pas les marabouts d’affirmer la supĂ©rioritĂ© de leur art pour tous les maux que la mĂ©decine ne sait ni diagnostiquer ni soigner, tel le cas des tĂȘtes qui tournent »14. Certains d’entre eux ont d’ailleurs cherchĂ©, sans succĂšs, Ă  coopĂ©rer avec des services hospitaliers ou des praticiens. Mais Ă  Paris, la sĂ©paration des pouvoirs », selon l’expression employĂ©e par un marabout sur les ondes d’une radio, semble sinon respectĂ©e, du moins clairement affirmĂ©e. En outre, c’est au voyage en Afrique que les marabouts prĂ©fĂšrent inciter tout consultant prĂ©sentant un cas qu’ils considĂšrent comme grave. 15Cette complĂ©mentaritĂ©/rivalitĂ© est l’une des explications de l’attirance des marabouts vers des savoirs sortant du champ de la magie islamique. Mais il faut remarquer que dĂšs l’Afrique, la connaissance » que chacun d’eux a reçue est dans la plupart des cas composite. Chez les plus lettrĂ©s, Ă  l’apprentissage islamique classique et Ă  celui du maniement talismanique de l’islam s’ajoutent souvent des secrets d’une autre nature, tels ceux fondĂ©s sur la connaissance des propriĂ©tĂ©s curatives des vĂ©gĂ©taux. Chez d’autres, les connaissances issues de l’islam sont largement complĂ©tĂ©es par des Ă©lĂ©ments d’astrologie, par un don personnel ou un itinĂ©raire singulier, par un savoir spĂ©cifique de berger ou de chasseur, par des pratiques familiales de guĂ©rison, par des bribes diverses recueillies au hasard des rencontres, savoirs transmis le plus souvent oralement. La recherche pragmatique de pratiques issues d’autres cultures s’est perpĂ©tuĂ©e Ă  Paris, Ă  des degrĂ©s variables selon les individus. Certains ont mĂȘme enrichi leurs connaissances en frĂ©quentant des radiesthĂ©sistes, en apprenant les tarots ou en Ă©tudiant l’alchimie, la minĂ©ralogie. Ces nouveaux acquis sont utilisĂ©s dans des compositions diverses, selon le consultant ou la situation, mĂȘme si dans la plupart des cas, c’est l’arsenal issu de la magie islamique qui reste dominant. Ils permettent notamment de faire face aux modifications induites par le mode de vie parisien. Ainsi pour normaliser » sa prĂ©sence dans un salon de voyants, TourĂ© se sert-il des tarots comme instrument de divination ; ainsi pour parer au peu de temps dont disposent ses consultants, DiakhitĂ© utilise-t-il les cauris dont il a appris le maniement Ă  Paris. Ce second exemple montre d’ailleurs que la contrainte du temps induit un choix Ă  l’intĂ©rieur mĂȘme des multiples pratiques divinatoires habituelles aux marabouts. L’une des plus classiques, le listikhar, rĂȘve divinatoire reconnu par l’islam15, parce qu’il nĂ©cessite un dĂ©lai16 avant qu’une rĂ©ponse soit donnĂ©e, tend Ă  ĂȘtre supplantĂ© au profit de procĂ©dĂ©s plus rapides. 16Cette diversitĂ© des savoirs qui caractĂ©rise la pratique maraboutique, diversitĂ© recherchĂ©e par curiositĂ© du pouvoir de l’autre autant que par souci d’accommodement au contexte parisien, est prĂ©cisĂ©ment l’argument qui, depuis le xive siĂšcle, alimente la condamnation des marabouts par les musulmans les plus orthodoxes, au nom de l’interdiction du shirk17. Elle les oppose actuellement Ă  d’autres praticiens musulmans qui ne se rĂ©clament que de la mĂ©decine prophĂ©tique et de la ruqiya, traitement du malheur fondĂ© sur l’usage exclusif des paroles coraniques18. L’on se contentera, ici, de remarquer que bien des procĂ©dĂ©s sont communs aux deux types de spĂ©cialistes et que les marabouts se revendiquent, pour la plupart, comme des musulmans rigoureux. Mais l’autre point par lequel les partisans de la ruqiya cherchent Ă  se dĂ©marquer des marabouts est qu’ils ne considĂšrent comme licite que ce qui relĂšve de la contre-sorcellerie. Leur action serait strictement limitĂ©e au diagnostic divinatoire d’attaques malĂ©fiques et au combat contre celles-ci, tandis que celle des marabouts relĂšverait d’une action visant Ă  transformer le cours de la nature ; c’est Ă  ce titre qu’elle serait harĂąm et relĂšverait de la sorcellerie. Cette rhĂ©torique du bien et du mal, du blanc et du noir, de la dĂ©fense et de l’attaque, et ici du halĂąl licite et du harĂąm illicite est trĂšs rĂ©pandue ; mais entre dĂ©truire un sort dont serait victime un consultant et obtenir un gain qu’il viserait, la distance est parfois tĂ©nue. Autant qu’une question de contenu, le ressort de ces oppositions est le plus souvent la lĂ©gitimitĂ© que les praticiens cherchent Ă  se forger et la concurrence qui s’établit entre eux. D’ailleurs d’autres courants musulmans, tel le salafisme, proscrivent comme shirk aussi bien les pratiques maraboutiques que la ruqiya et toute rĂ©fĂ©rence au mauvais Ɠil »19. Les frontiĂšres de l’orthodoxie sont donc Ă©minemment dĂ©plaçables et fluctuantes. 17Ces praticiens de la ruqiya sont moins visibles, Ă  Paris, que les marabouts. Cependant l’on trouve en bonne place dans toutes les librairies musulmanes des manuels de ruqiya dont certains ont une vente soutenue. L’un des plus rĂ©pandus dĂ©bute ainsi Malheureusement nous vivons une Ă©poque oĂč ces trois affections djinns, sorcellerie et mauvais Ɠil, prennent des proportions considĂ©rables. Les sorciers et charlatans se multiplient tandis que les praticiens de la voie d’Allah sont rares. Il est donc de notre devoir de prĂ©venir les populations contre ces flĂ©aux, de leur donner les moyens de se protĂ©ger et de se soigner dans la mesure du possible, et de former des praticiens aux mĂ©thodes agréées par l’Islam » Ben Halima & Leila 200320. 18Si la diffusion de ce type d’ouvrage peut traduire une reprise du traitement de la sorcellerie par un islam qui se veut plus orthodoxe, elle est surtout, au-delĂ  de l’opposition et de la rivalitĂ© entre spĂ©cialistes, un tĂ©moignage supplĂ©mentaire de la vogue actuelle de ce genre de pratiques dans la France contemporaine, vogue Ă  laquelle certaines tendances de l’islam participent pleinement21. C’est pourquoi il semble trĂšs partiel d’affirmer que les jeunes femmes d’origine maghrĂ©bine ou antillaise qui frĂ©quentent les marabouts ne le font que par hĂ©ritage ou attachement culturel. Ces pratiques, parfois liĂ©es Ă  des courants de style new age », se sont banalisĂ©es et dissĂ©minĂ©es dans toutes les couches de la sociĂ©tĂ©. Elles sont assumĂ©es sans rĂ©ticence. Entre jeu et sĂ©rieux, entre pari et dĂ©tresse, cette attitude domine l’ensemble des consultants. Les raisons du malheur 19Les requĂȘtes faites aux marabouts tĂ©moignent d’un double souci d’abord comprendre, connaĂźtre ce que sera l’avenir d’une demande, d’une relation, d’un projet. C’est en effet l’incertitude, mais aussi l’incomprĂ©hension devant une situation inĂ©dite, l’impuissance devant de brusques changements, le sentiment insupportable de se trouver dans une impasse », face Ă  un mur » comme le dit une cliente, qui dĂ©terminent les consultants Ă  trouver le moyen de voir plus clair »22. C’est aussi le dĂ©sir parfois non dĂ©nuĂ© de scepticisme mais souvent dĂ©mesurĂ© et dĂ©sespĂ©rĂ© de faire quelque chose »23 pour sortir de cet Ă©tat, qui les anime. C’est prĂ©cisĂ©ment sur cette double compĂ©tence et ce petit coup de pouce » donnĂ© au destin que les marabouts parisiens ont fondĂ© leur originalitĂ© face aux voyants classiques qui, selon eux, se contentent de la phase de divination. Ces deux Ă©tapes ne sont parfois pas nĂ©cessaires et peuvent ĂȘtre dissociĂ©es. MĂȘme lorsque la rĂ©ponse est mauvaise, bien des consultants ne vont pas jusqu’à s’engager dans une sĂ©rie d’actions longues et souvent coĂ»teuses. Mais en gĂ©nĂ©ral, la sĂ©ance divinatoire est suivie du travail », phase oĂč le marabout agit pour dĂ©nouer la situation. Ce terme de travail », traduction du mot wolof liggeey, est Ă  prendre dans un double sens Ă  la fois comme action sur la nature et comme activitĂ© professionnelle de fabrication d’amulettes, de rĂ©citation de priĂšres, de veilles nocturnes. 20On ne dĂ©veloppera pas ici les nombreux procĂ©dĂ©s divinatoires utilisĂ©s par les marabouts, procĂ©dĂ©s qui, comme on l’a rapidement Ă©voquĂ©, sont l’objet de rĂ©interprĂ©tations, d’emprunts, voire de crĂ©ations personnelles. Ce qui nous intĂ©resse ici est l’éventail des rĂ©ponses donnĂ©es aux consultants parisiens. 21Mohammed, jeune informaticien, s’inquiĂšte pour sa situation professionnelle. Il ne parvient pas Ă  trouver un travail stable et lutte pour trouver une issue. À cause de la conjoncture », il a dĂ©jĂ  renoncĂ© Ă  un projet prĂ©cĂ©dent ; actuellement il attend la rĂ©ponse d’un Ă©ventuel associĂ©, hĂ©site Ă  partir s’installer aux États-Unis
 La rĂ©ponse du marabout auquel le jeune homme expose ses incertitudes est que, certes il vise trĂšs loin, il est ambitieux, mais qu’il doit impĂ©rativement, avant son dĂ©part, ĂȘtre protĂ©gĂ© contre le mauvais Ɠil. Car sa discrĂ©tion sur sa situation aiguillonne la curiositĂ© de son entourage Vous cachez le maximum possible et tout le monde croit que vous roulez sur l’or » [
]. 22Nadia, jeune femme de 30 ans se dĂ©sole de l’attitude de son mari il ne lui parle plus, semble ne plus la voir
 Selon le marabout, cette situation n’est pas naturelle et ce barrage » est dĂ» Ă  l’action d’une tierce personne qui ne souhaitait pas leur mariage ; mais il dĂ©tourne Nadia de l’accusation de sa belle-mĂšre – sans pour autant dĂ©voiler une autre piste. Ce qui importe, c’est de dĂ©truire ce qu’on a fait sur le mari, pour qu’il reprenne son Ă©quilibre ». 23Marie ne compte plus ses dĂ©boires amoureux. Incapable de nouer une relation durable, elle se demande si elle ne fait pas fuir les hommes
 DĂ©crivant sa situation, le marabout l’assure qu’elle n’a rien Ă  se reprocher mais qu’elle est victime d’un shejtan ; c’est la jalousie de celui-ci qui Ă©loigne tout homme ; le marabout met Marie en garde contre une aggravation de son cas qui pourrait se traduire par des cauchemars. 24Dernier exemple Marie-Claude consulte pour son jeune fils malgrĂ© son envie de rĂ©ussir, ses rĂ©sultats scolaires sont dĂ©sastreux. Il ne mĂ©morise rien, est trĂšs perturbĂ©, il a honte de lui-mĂȘme
 Marie-Claude ajoute qu’elle-mĂȘme a eu autrefois des problĂšmes en Guadeloupe, pour lesquels elle a Ă©tĂ© soignĂ©e » et protĂ©gĂ©e
 La divination du marabout montre que c’est en fait Ă  elle qu’ on » voulait s’attaquer, mais qu’en raison de la protection dont elle bĂ©nĂ©ficie, l’action malĂ©fique s’est rĂ©percutĂ©e sur l’enfant. Un dĂ©senvoĂ»tement s’avĂšre indispensable. 25Ces divinations Ă©manant de marabouts diffĂ©rents appellent une constatation majeure dans l’univers maraboutique, le monde est en permanence semĂ© de dangers et la vie est comme un champ de forces » Blanchy 2006. Pour certains, prĂ©sents en France de façon Ă©pisodique, le contexte parisien n’influe pas sur cette vision ; pour d’autres, il ne fait qu’aggraver la violence. La concentration incontrĂŽlable, dans un mĂȘme lieu, de populations venant de multiples horizons, et la vulnĂ©rabilitĂ© d’une partie de celles-ci, en raison mĂȘme de leur totale mĂ©connaissance des menaces qui les guettent, font de Paris et des grandes villes en gĂ©nĂ©ral les terrains privilĂ©giĂ©s de l’attaque malĂ©fique. Il faut aussi noter qu’aux yeux de bien des marabouts, Paris est un milieu souillĂ© souillure matĂ©rielle due Ă  la promiscuitĂ© des appartements parisiens qui empĂȘche le respect des rĂšgles de puretĂ© et d’évitement, souillure due aux demandes excessives de certains clients, surtout dans le domaine de l’amour, qui les forceraient Ă  outrepasser certaines limites de leurs pratiques en les poussant vers l’illicite24. Par ailleurs, des rĂ©cits circulent, racontant des rencontres avec des gĂ©nies qui hantent certains lieux de la ville le mĂ©tro, les foyers de travailleurs25. Paris est donc un lieu menaçant et inquiĂ©tant – dont cependant certains marabouts maĂźtrisent parfaitement les codes. 26Le langage de l’attaque malĂ©fique s’exprime, en français26, par un petit nombre de termes rĂ©currents. La notion centrale est celle d’ attachement » ; une personne attachĂ©e » est l’objet d’une action occulte qui en fait le jouet de l’auteur de cet acte. Ainsi la divination du marabout Sow montre-t-elle que son client a Ă©tĂ© attachĂ© » par son rival afin qu’il ne rĂ©ussisse pas son permis de conduire. Inversement, c’est l’ attachement » que devra rĂ©aliser le travail du marabout pour accorder deux associĂ©s, faire en sorte qu’une femme ne regarde que son mari, qu’une mĂšre aime son enfant, qu’un supĂ©rieur accĂšde aux dĂ©sirs de son employĂ©. Lorsqu’il s’agit d’une action malĂ©fique, un synonyme d’ attachement » est le terme d’ empĂȘchement ». Une femme ne parvient pas Ă  convaincre son ami de cĂ©lĂ©brer une union halĂąl celui-ci est empĂȘchĂ© » en raison de l’influence exercĂ©e par une rivale. Mais d’autres expressions plus euphĂ©miques dĂ©crivent cette situation Il y a quelqu’un qui ne vous laissera pas tranquille » ou Vous ne jouez pas de vous-mĂȘme » dĂ©clare Guirassy. Le rĂ©sultat de ces actions est le blocage » ou le barrage ». On a tout fait pour bloquer votre avenir » Ă  cette description de l’état de sa consultante auquel il annonce qu’elle est victime d’un mauvais sort, le marabout ajoute C’est comme si vous Ă©tiez emprisonnĂ©e ». Quant Ă  cet homme qui s’éloigne de sa femme, il subit un blocage interne, il ne peut pas faire sortir ce qu’il a en lui-mĂȘme ». Et cette femme qui ne parvient pas Ă  nouer de relation stable avec un homme On dirait que quelqu’un parle Ă  cet homme pour revenir en arriĂšre et faire le barrage. » La mĂ©taphore courante de l’ouverture ou de la fermeture des portes est aussi frĂ©quemment employĂ©e. 27MĂȘme si les effets de l’action malĂ©fique sont nettement dĂ©crits par les marabouts, les termes employĂ©s, trĂšs imagĂ©s, sont donc assez courants. Ils constituent comme un vocabulaire basique, minimaliste, de l’attaque occulte qui s’applique aussi bien Ă  la pratique maraboutique Ă  Paris qu’à une sorcellerie plus ancienne ou Ă  des conceptions inspirĂ©es du new age. On retrouvera ce nivellement lorsqu’on Ă©voquera les causes du malheur. 28Mais pour ƓcumĂ©nique » qu’il soit, ce lexique renvoie cependant aussi Ă  des pratiques africaines et Ă  des conceptions issues de la magie islamique27. Ainsi attacher » correspond Ă  un acte magique bien connu en milieu peul pengal on fiche violemment un clou dans un arbre en prononçant le nom de la jeune fille ou du jeune homme que l’on souhaite retenir. Autre geste aux marges de l’islam la fabrication, malgrĂ© son interdiction dans le Coran28, de cordelettes de nƓuds que certains marabouts serrent en rĂ©citant incantations et versets coraniques et en prononçant le nom de la personne Ă  attacher ». Enfin, trĂšs courant Ă  Paris, l’usage d’un cadenas spĂ©cialement travaillĂ© » dans lequel, en le refermant, on capture la personne de laquelle on obtiendra ainsi ce que l’on dĂ©sire l’amour, un stage, etc.. BĂ©nin, Fon bĂČcyɔ́ pour empĂȘcher un supĂ©rieur de revenir sur la faute d’un subordonnĂ© bĂČcyɔ́, littĂ©ralement bĂČ, objet dont la puissance est activĂ©e par un traitement particulier et cyɔ́, enveloppe corporelle du mort, son dĂ©signe toute reprĂ©sentation humaine sculptĂ©e, et est toujours considĂ©rĂ©e comme une chose-dieu, Ă  la fois singuliĂšre mais reproductible, dont la puissance tient plus Ă  sa prĂ©sence qu’à ses facultĂ©s de reprĂ©sentation. Voir Jean Bazin, Retour aux choses-dieux », in C. Malamoud & Vernant dir., Corps des dieux Le temps de la rĂ©flexion, 7, pp. 253-273, 1986. BĂ©nin, NagĂŽ, bĂČcyɔ́ pour tuer un ennemi Sud-Togo, Ewe, bĂČcyɔ́ pour unir un couple pour la vie Sud-BĂ©nin, Aja-Fon, bĂČcyɔ́ pour unir un couple pour la vie 29Ainsi le vocabulaire le plus neutre, s’il peut avoir un effet unificateur auprĂšs d’une clientĂšle multiculturelle, se rĂ©fĂšre nĂ©anmoins Ă  des fabrications, des gestes et des paroles nettement identifiables. Attacher », attraper », bloquer », barrer » ces actes, s’ils ne sont pas sans Ă©voquer des pratiques semblables dans bien des cultures, en particulier dans celles du Bassin mĂ©diterranĂ©en29, n’en rĂ©vĂšlent pas moins une conception particuliĂšre de l’univers et de la personne. Ni cosmologie bien ordonnĂ©e, ni hiĂ©rarchie bien structurĂ©e de principes vitaux, c’est au contraire une sĂ©rie de reprĂ©sentations trĂšs fluides qui fonde la pensĂ©e des marabouts et dĂ©termine leur action. On ne peut entrer ici dans les nombreuses variantes selon la culture propre de chacun, selon leur degrĂ© d’imprĂ©gnation musulmane. Mais dans le fonds commun qu’ils partagent, le monde est peuplĂ© de plusieurs catĂ©gories d’ĂȘtres qui gravitent entre les hommes et Dieu. Certains sont des anges malñ’ika clairement identifiĂ©s dans la pensĂ©e musulmane ainsi JibrĂźl, Mika’ül, AsrafĂźl et Arza’ül interviennent trĂšs rĂ©guliĂšrement dans le travail maraboutique et leur nom est trĂšs souvent inscrit sur les talismans. D’autres forces au statut plus flou, nommĂ©es rawhĂąn ou jinne30 agissent Ă©galement sur les hommes et la nature, puissances qui peuvent ĂȘtre bĂ©nĂ©fiques ou malĂ©fiques, en particulier les anges dĂ©chus souvent nommĂ©s shejtan. Ces ĂȘtres sont bien prĂ©sents Ă  Paris, comme on l’a vu plus haut. Les marabouts ont des contacts privilĂ©giĂ©s avec ce monde redoutable ; leur art, toujours considĂ©rĂ© comme dangereux, consiste Ă  invoquer les plus bienveillants de ces ĂȘtres afin qu’ils les aident Ă  rĂ©soudre les problĂšmes qui leur sont soumis, et Ă  combattre les plus malfaisants, qui attaquent la personne31. Celle-ci peut ĂȘtre attachĂ©e » de diffĂ©rentes maniĂšres, en particulier en atteignant une de ses composantes son propre jinne, ĂȘtre ambivalent qui la fait agir. C’est ce jinne que le marabout cherche Ă  capter lors de la divination, c’est lui qu’il travaille » dans un sens favorable ou nĂ©faste Ă  la personne. C’est en gĂ©nĂ©ral par le nom32 de celle-ci que le marabout attrape » son jinne. Mais il est encore d’autres maniĂšres de toucher une personne par des points spĂ©cifiques de son corps, selon une anatomie Ă©sotĂ©rique variable selon les marabouts33, ou encore par des Ă©lĂ©ments physiques de ce corps, cheveux, rognures d’ongle, qu’on pourrait prĂ©lever, ou encore par les traces qu’elle pourrait laisser, empreinte de pas, eau dans laquelle elle se serait lavĂ©e, trace manuscrite, enfin par tout objet lui appartenant. À Paris, les Africains de l’Ouest qui partagent ces conceptions ne cessent de mettre en garde leurs amis français qui souvent en ignorent tout, contre des gestes anodins en apparence qui pourraient leur nuire oublier un vĂȘtement, donner inconsidĂ©rĂ©ment son nom Ă  une personne dont on n’est pas sĂ»r
 30Dans ce champ de forces » que constitue l’univers, la personne est donc soumise Ă  une multitude d’influences, positives ou nĂ©gatives, qui la font agir. MĂȘme hors de toute atteinte caractĂ©risĂ©e, elle est en permanence sous surveillance, Ă©minemment vulnĂ©rable. Son Ă©quilibre est toujours menacĂ©, toujours prĂ©caire. L’attaque occulte, quelle que soit sa cause, ne fait que prĂ©cipiter la victime dans le dĂ©sĂ©quilibre et la dĂ©possession de soi Vous ĂȘtes hors de vous-mĂȘme », dĂ©clare Guirassy Ă  une consultante dont il a dĂ©celĂ© l’envoĂ»tement ; Il est trĂšs perturbĂ© dans sa personnalitĂ©, il est dĂ©contenancĂ©, il ne se sent pas Ă  l’aise, ce n’est pas du tout de son vouloir » ou encore il perd sa conscience34, tout est fait pour le dĂ©stabiliser, pour le rendre inexistant », dit-il d’un homme atteint par un mauvais sort. Cette fragilitĂ© quasiment structurelle de la personne explique la multiplicitĂ© et l’intensitĂ© des attaques dont elle peut ĂȘtre l’objet. 31Mais quels sont, Ă  Paris, les agents de ces actions occultes ? Si l’on compare l’éventail des causes de malheur Ă©voquĂ©es par les marabouts en Afrique de l’Ouest avec celles qui prĂ©valent en France, on constate que certaines sont en voie de disparition. C’est le cas en particulier de l’action nĂ©faste de la lune, des Ă©toiles ou du vent, c’est-Ă -dire de la nature elle-mĂȘme, dont il est fait peu de cas Ă  Paris. Il en est de mĂȘme pour la transgression d’un interdit, sans doute en raison de la variĂ©tĂ© des systĂšmes de rĂ©fĂ©rence dont les marabouts perçoivent l’existence chez leurs consultants. Les sorciers mangeurs d’ñme », ĂȘtres mauvais en eux-mĂȘmes35, sont Ă©galement assez rarement incriminĂ©s ; d’ailleurs les termes de sorcellerie », ensorcellement » font trĂšs peu partie du vocabulaire des marabouts parisiens. Seuls quelques marabouts mettent en avant ces sorciers dont il font une cause redoutable et frĂ©quente de malheur, en les comparant sans ambiguĂŻtĂ© Ă  des vampires ; ainsi l’un d’eux reproduit Ă  Paris comme aux Antilles, oĂč il a fait de frĂ©quents sĂ©jours, un cadre sorcellaire directement issu de sa culture peule ; pour lui, c’est une mĂȘme entitĂ© malĂ©fique nocturne et noire qui peut sĂ©vir en tout lieu, qu’on la nomme sukunya en pular, sorcier » en français, engagĂ© » ou mauvais vivant » aux Antilles36. Cette Ă©clipse des sorciers en milieu urbain a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© maintes fois remarquĂ©e Fassin 1992 139 et sq.37, attribuĂ©e notamment Ă  l’affaiblissement, dans ce cadre, des rĂ©gulations lignagĂšres, Ă  l’islam qui les combat, au poids de la justice moderne. Concernant Paris, il est vrai que ceux des marabouts qui Ă©voquent les sorciers sont parmi les moins islamisĂ©s. Mais outre ces explications, il faut noter des glissements de vocabulaire entre sorcellerie et envoĂ»tement, finissant souvent par rendre les termes presque synonymes ; on constate aussi que les dĂ©finitions sont trĂšs flexibles, qui montrent un chevauchement de ces causes plutĂŽt qu’une coupure tranchĂ©e entre elles. En outre, il apparaĂźt que l’imaginaire de ceux qui Ă©voquent les sorciers » ne correspond pas exactement aux descriptions traditionnelles de ces entitĂ©s ne s’agit-il pas plutĂŽt de voir dans leur prĂ©sence en ville, loin du maintien d’un ordre social, le dĂ©sordre, l’inconnaissable qui fait de son voisin, du passant, de tout citadin un vampire » potentiel ? N’est-ce pas plutĂŽt une intense inquiĂ©tude face Ă  la grande ville qui se traduit ici ? L’imaginaire semble avoir Ă©tĂ© lui-mĂȘme travaillĂ© par l’univers parisien. 32Cependant d’autres causes du malheur sont plus frĂ©quemment mises en avant, telle l’action malĂ©fique des gĂ©nies et des anges, jinne ou shejtan, dont on a Ă©voquĂ© plus haut la prĂ©sence Ă  Paris. L’un des arguments Ă  l’appui de ce diagnostic est l’existence de mauvais rĂȘves qui assiĂšgent le consultant. 33Un Ă©tudiant expose son angoisse permanente, les cauchemars qu’il fait depuis de nombreuses annĂ©es, sa thĂšse de doctorat qu’il ne parvient pas Ă  terminer ; pour le marabout qu’il consulte, c’est shejtan qui rĂ©flĂ©chit, qui rĂ©agit Ă  sa place et le pousse vers la folie. MĂȘme interprĂ©tation pour cette femme qui vient d’ĂȘtre quittĂ©e par un homme qu’elle aimait c’est son propre jinne mĂąle jaloux qui Ă©loigne d’elle tout homme. L’échec de nombreux mariages est expliquĂ© en ces termes. L’existence de ces jinne est un grand classique de la magie islamique, et le Coran en fait l’une des trois causes du mal38. 34Le malheur peut aussi ĂȘtre attribuĂ© au destin, Ă  la chance de la personne, instable par nature39 Le destin d’une personne, c’est en escalier », dĂ©clare Diaby. Cette cause, qui ne repose sur aucune action occulte mais rĂ©vĂšle la main d’Allah, n’en a pas moins les mĂȘmes effets nĂ©fastes que les autres c’est Ă  une chance qui a tournĂ© », une malchance », une dispersion de chance », comme les grains de mil qui s’éparpillent », prĂ©cise Gassama, qu’Alain doit les problĂšmes qu’il rencontre actuellement dans son travail. 35Mais la raison qui l’emporte de loin est le mal fait par un tiers humain. Être victime d’un mauvais sort ou d’un envoĂ»tement » causĂ© par l’envie qu’éprouve autrui est l’explication la plus frĂ©quente de toutes sortes de dĂ©sordres, qu’il s’agisse d’un projet qu’on ne parvient pas Ă  rĂ©aliser, d’une dĂ©ception amoureuse, d’un emploi qu’on ne trouve pas, d’une mauvaise ambiance entre collĂšgues40. La jalousie survient toujours sans que la victime soit en rien responsable Vous ne le mĂ©ritez pas, vous avez rendu beaucoup de services aux gens », Il y a des personnes qui, dĂšs que vous tournez le dos, vous mettent le couteau derriĂšre », insiste Guirassy. Elle peut avoir un motif discernable la rivalitĂ© entre femmes au sujet d’un mĂȘme homme, la compĂ©tition entre deux personnes Ă  propos d’une promotion, par exemple ; elle peut aussi ne trouver aucune explication claire MĂȘme si vous ĂȘtes habillĂ©e le plus simplement du monde, vous avez des problĂšmes avec les femmes », remarque Diallo. VulnĂ©rable et fragile par nature, la personne l’est aussi parce qu’elle ne peut maĂźtriser les effets de son comportement l’ostentation ne pas cacher son bonheur, sa rĂ©ussite Ă©veille irrĂ©mĂ©diablement l’envie, tout comme son contraire, la discrĂ©tion. Et c’est Ă  une dĂ©stabilisation et Ă  une dĂ©possession de soi encore plus grandes de cet individu fragile que parvient l’attaque occulte. 36Les mauvais sorts, l’ envoĂ»tement » qui rĂ©sultent de l’envie s’expriment de diverses maniĂšres directement par le regard et les paroles de la personne malintentionnĂ©e ; on connaĂźt bien le mauvais Ɠil », source de tous les dangers, la mauvaise bouche » qui met en pĂ©ril la rĂ©putation d’un homme ou d’une femme. Mais le plus souvent, c’est par la mĂ©diation d’un marabout ou d’un autre spĂ©cialiste que le sort est lancĂ© ; les vecteurs essentiels en sont la nourriture et la boisson, tout aliment pouvant receler des substances malĂ©fiques41. Mais Ă  Paris, il est aussi trĂšs frĂ©quent que les sorts soient forgĂ©s Ă  partir du nom de la personne Ă  atteindre et consistent en incantations prononcĂ©es Ă  distance. 37La palette des raisons du malheur que mettent en avant les marabouts parisiens est donc riche, mĂȘme si elle s’est rĂ©duite au regard du contexte africain ; rappelons que dans le Coran, seules trois causes du mal sont dĂ©noncĂ©es la nature, les hommes, les gĂ©nies. Quant aux spĂ©cialistes de la ruqiya42, ils retiennent, pour leur part, Ă©galement trois causes la sorcellerie, le mauvais Ɠil, les djinns, les symptĂŽmes de chacune Ă©tant prĂ©cisĂ©ment dĂ©crits. S’agissant des marabouts, cette diversitĂ© peut s’expliquer par le maintien, Ă  Paris, de certains schĂ©mas vivifiĂ©s et remodelĂ©s dans ce nouvel espace, comme on en a vu un exemple Ă  propos des djinns, et mĂȘme, dans une moindre mesure, avec les sorciers. Elle trouve aussi sa source dans la rotation rapide des marabouts, dont certains arrivent tout droit d’Afrique en connaissant peu de choses du contexte parisien. La culture propre Ă  chacun joue aussi son rĂŽle, introduisant des choix individuels. Il semble donc difficile de donner une interprĂ©tation univoque de cette variĂ©tĂ© des causes. Cependant on doit noter une certaine uniformisation du vocabulaire employĂ© pour les exprimer, phĂ©nomĂšne analogue Ă  celui dĂ©jĂ  constatĂ© pour la qualification de l’action occulte. Ce nivellement va jusqu’à l’emploi d’un vocabulaire de style new age, certains marabouts parlant d’ une espĂšce d’esprit » et de mauvaises ondes », ou d’ ondes nĂ©gatives » pour Ă©voquer aussi bien le malĂ©fice de djinns que l’action nĂ©faste d’un tiers. S’agit-il d’un ajustement stratĂ©gique Ă  la clientĂšle, d’une preuve supplĂ©mentaire de la fluiditĂ© des catĂ©gories d’analyse ? Ou d’une vĂ©ritable Ă©volution de celles-ci ? Ici encore, une rĂ©ponse unique ne semble pas s’imposer. 38Il n’en reste pas moins que de toutes les causes d’infortune, les attaques humaines dues Ă  l’envie se dĂ©tachent nettement. Ce fait est particuliĂšrement marquĂ© lors des consultations radiodiffusĂ©es, comme si cette cause d’infortune constituait une base commune aux diffĂ©rents auditeurs frĂ©quentant l’antenne. Comment expliquer cette prééminence ? Comme on l’a dĂ©jĂ  notĂ©, les problĂšmes soumis aux marabouts ont tous un point commun ils tĂ©moignent de la dĂ©stabilisation de la personne, de sa fragilisation. Cet Ă©tat intime entre particuliĂšrement en correspondance avec la prĂ©carisation sociale quotidiennement subie ou violemment redoutĂ©e par un nombre croissant d’habitants de la France contemporaine, qu’il s’agisse du domaine de l’emploi ou de celui des sentiments et de la famille. Les rĂšgles du travail comme les formes de rapport Ă  autrui43 sont en plein bouleversement, menaçant les vies individuelles. Sans doute, dans la sociĂ©tĂ© contemporaine, les situations de lutte, de concurrence avec des semblables ayant les mĂȘmes besoins et les mĂȘmes dĂ©sirs que soi, sont-elles si frĂ©quemment vĂ©cues qu’elles suffisent Ă  dĂ©signer ces rivaux comme cause de toutes les difficultĂ©s. Sans doute aussi, dans une sociĂ©tĂ© qui proclame l’égalitĂ© des chances, la rĂ©ussite de certains attise t-elle avec plus d’acuitĂ© l’envie. 39Qui sont ces semblables qui, par leurs paroles, par leur regard ou par la mĂ©diation d’un spĂ©cialiste, causent le malheur ? La famille reste le grand creuset des malĂ©fices – famille restĂ©e au loin pesant sur l’immigrĂ© qui semble s’émanciper, mais aussi ancienne Ă©pouse ou ancien ami d’un homme ou d’une femme ayant reformĂ© un nouveau couple, parents s’immisçant dans la vie de leurs enfants, et tout degrĂ© de parentĂ© Les proches sont devenus les ennemis no 1 », constate un marabout diagnostiquant le mauvais sort dont est atteinte sa consultante. Mais la proximitĂ© dĂ©passe largement ce cadre collĂšgues de travail, voisins, relations de toute nature peuvent ĂȘtre incriminĂ©s. La rivalitĂ© s’exprime aussi de façon plus gĂ©nĂ©rale et c’est, au-delĂ  mĂȘme de l’entourage direct, de tout lien identifiable, chaque membre de la sociĂ©tĂ© qui peut ĂȘtre suspectĂ©, qu’il soit dĂ©signĂ© par un singulier on », une personne », ou par un collectif les gens », tout le monde ». 40Expliquer cette gĂ©nĂ©ralisation par un procĂ©dĂ© d’euphĂ©misation ou de mĂ©taphorisation classique dans la dĂ©nomination du malheur44 et des pratiques qui lui sont liĂ©es n’est pas suffisant. Il semble plutĂŽt que ces dĂ©signations trĂšs larges visent Ă  intĂ©grer dans un mĂȘme ensemble tous les citadins sans distinction, de les sortir d’un inconnaissable inquiĂ©tant pour en faire les partenaires potentiels d’une compĂ©tition pour laquelle les marabouts sont supposĂ©s armer leurs consultants. On a lĂ  une maniĂšre assez paradoxale de faire sentir que tous les habitants d’un mĂȘme lieu, et au-delĂ , sont liĂ©s dans la concurrence et la lutte, une maniĂšre paradoxale de faire sociĂ©tĂ© ». Formes et buts du travail » maraboutique 41Il est impossible, dans le cadre de cet article, de dĂ©crire en dĂ©tail tous les procĂ©dĂ©s mis en Ɠuvre par les marabouts pour la seconde phase de l’action qu’ils proposent rĂ©duire l’infortune aprĂšs en avoir dĂ©terminĂ© la cause. PrĂ©cisons que, de mĂȘme que certains consultants se contentent d’une divination, d’autres ne se soucient guĂšre de cette premiĂšre phase et sont entiĂšrement tendus vers la rĂ©solution de leur problĂšme. 42On se contentera de mentionner la fabrication de diverses formes de talismans pour laquelle plusieurs types de connaissance sont nĂ©cessaires celle des moments favorables, celle des noms d’Allah, d’anges et de djinns Ă  invoquer, celle des versets Ă  utiliser, Ă  Ă©crire, celle des procĂ©dures Ă©sotĂ©riques de calcul abadjada, celle des vĂ©gĂ©taux et matiĂšres minĂ©rales ou animales Ă  adjoindre aux Ă©critures. À propos de l’écriture, il faut noter que, de mĂȘme que les djinns sont rĂ©putĂ©s agir sur la personne, en bien ou en mal, de mĂȘme les versets et la lettre coranique sont, dans l’occultisme musulman, rĂ©putĂ©s capables de mouvoir le monde et ses crĂ©atures. La part de l’écrit et celle des autres matiĂšres est variable selon les marabouts. Comme on peut s’y attendre, le milieu parisien n’est pas toujours favorable Ă  ces crĂ©ations artisanales et les marabouts s’efforcent, parfois avec difficultĂ© dans bien des domaines, de pallier le manque de tel produit, de telle plante45. L’une des Ă©volutions les plus marquantes Ă  Paris est la prĂ©dominance de l’écrit sur l’usage de matiĂšres introuvables dans ce contexte. 43Les mĂȘmes procĂ©dĂ©s sont utilisĂ©s pour confectionner non des talismans Ă  porter sur soi, Ă  placer dans tel endroit de sa maison, Ă  jeter dans l’eau courante, ou encore Ă  brĂ»ler, mais des lotions bains » que le consultant doit se passer sur le visage ou le corps selon les cas, et plus rarement des potions. 44Le travail » comporte aussi la prescription faite au consultant d’offrandes sacrificielles sadaqa, pratique frĂ©quente mais seulement tolĂ©rĂ©e par l’islam. Le but de ce sacrifice est de donner la route », d’ accĂ©lĂ©rer le processus ». Ainsi Sakho propose-t-il Ă  sa consultante qui ne parvient pas Ă  obtenir un prĂȘt immobilier d’apporter Ă  la mosquĂ©e de Paris trois kilos de sept fruits diffĂ©rents ; mais la destination de l’offrande peut sortir totalement d’un contexte musulman. Dans le domaine du sacrifice, l’évolution du rituel est sensible tenant compte de la lĂ©gislation française en matiĂšre d’abattage, de l’horreur du sang que manifestent la plupart de leurs clients d’origine française, de la difficultĂ© Ă  se procurer un animal vivant en ville, de nombreux marabouts remplacent le sacrifice animal coq, mouton par celui de fruits, de lait, de tissu, de papier, d’argent46. L’établissement des Ă©quivalences s’accompagne d’une certaine spiritualisation, oĂč plus que le don lui-mĂȘme, c’est l’intention du sacrifiant niyya, le sentiment intĂ©rieur qui est valorisĂ©. Cette tendance est dĂ©celable aussi dans la destination du sacrifice, qui tend Ă  se confondre avec une simple charitĂ© », terme d’ailleurs frĂ©quemment employĂ© par les marabouts. Cependant certains d’entre eux imposent coĂ»te que coĂ»te la matĂ©rialitĂ© du don, l’exactitude des gestes rituels. On assiste donc, Ă  Paris, non Ă  une Ă©volution linĂ©aire du rituel vers moins de substance et plus d’individualisation mais au maintien de tendances contraires. Cette dynamique semble ĂȘtre au fondement du succĂšs des marabouts Ă  Paris, de façon globale et dans la carriĂšre » de chacun d’eux elle repose sur un subtil Ă©quilibre entre une naturalisation » des pratiques – phĂ©nomĂšne qu’on a pu souligner plus haut Ă  propos du nivellement du vocabulaire utilisĂ© – et la persistance de gestes, de schĂ©mas interprĂ©tatifs directement venus de la culture islamo-africaine des marabouts, persistance jouant un rĂŽle non nĂ©gligeable dans la distanciation exotique recherchĂ©e par certains consultants français. 45Enfin ces talismans et ces sacrifices ne sauraient ĂȘtre efficaces sans les priĂšres nocturnes que les marabouts doivent rĂ©citer, dans des endroits purifiĂ©s. Le choix des versets et invocations utilisĂ©s pour chaque cas, ainsi que le nombre de rĂ©citations nĂ©cessaires sont la partie la plus secrĂšte et la plus personnelle de leur travail ». Comme dans le soufisme, la prononciation mĂȘme des priĂšres vaut plus que leur sens. Ici encore le contexte parisien a modifiĂ© la pratique, et la rĂ©clusion khalwa de plusieurs jours dans un endroit isolĂ©, loin de toute souillure, assortie d’un jeĂ»ne, pendant lequel le marabout doit passer la continuitĂ© de son temps en priĂšres, est en voie de disparition. 46La signification de tous ces gestes n’est en gĂ©nĂ©ral pas donnĂ©e au consultant, seul compte le respect scrupuleux du rituel et des indications prescrites. Ce mystĂšre qui entoure toutes les pratiques magico-religieuses laisse toute latitude pour un cheminement parallĂšle, une invention personnelle du sens – possibilitĂ© particuliĂšrement bienvenue dans le cas d’une clientĂšle multiculturelle comme l’est celle des marabouts. 47Il semble inutile de souligner ce que ce travail » maraboutique peut avoir en commun avec d’autres pratiques de dĂ©livrance des sorts ou de guĂ©rison, tant contemporaines que plus anciennes. Il nous semble plus intĂ©ressant d’analyser la façon dont les marabouts Ă©voquent leur travail », qui en rĂ©vĂšle mieux le fondement. 48Les termes utilisĂ©s pour qualifier le travail » sont les antonymes de ceux employĂ©s pour l’action occulte le travail » vise Ă  dĂ©bloquer la chance », enlever le blocage de ce qu’on a jetĂ© sur [lui] ». Plus profondĂ©ment, il s’agit de dĂ©gager », de nettoyer la personne », de la sĂ©parer » des influences nĂ©fastes qu’elle a subies l’attaque occulte est une souillure dont il faut purifier l’individu. Puis il est nĂ©cessaire de rĂ©aliser une protection », un blindage », un mur de dĂ©fense » autour d’elle pour la rendre inattaquable. C’est principalement le corps de la personne, par les amulettes portĂ©es trĂšs serrĂ©es contre la poitrine ou autour du cou, par les bains purificateurs et protecteurs, qui est le support de ce travail de dĂ©livrance. Les expressions employĂ©es pour dĂ©finir ces actions Ă©voquent tout Ă  fait la reprĂ©sentation du corps-forteresse qu’on trouve chez GhazzĂąli, auteur du xiie siĂšcle dont la pensĂ©e a amplement influencĂ© les pratiques maraboutiques comme une forteresse assiĂ©gĂ©e, il doit ĂȘtre dĂ©fendu contre ses ennemis et ses portes doivent ĂȘtre gardĂ©es. 49Bien sĂ»r, selon une dialectique subtile du bien et du mal, l’ attachement » qui a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© contre la personne du consultant pourra ĂȘtre rĂ©alisĂ© Ă  son profit sur une tierce personne. Ainsi Sakho propose Ă  Myriam de fabriquer un cadenas pour attacher » sa maĂźtresse de stage qui refuse depuis des semaines de lui signer son contrat. 50Enfin le travail vise Ă  restaurer l’ Ă©quilibre » et la stabilitĂ© » de la personne, anĂ©antissant l’effet des accidents et des dĂ©sordres qui bouleversent sa vie. Ce souci de la personne elle-mĂȘme explique que les marabouts dĂ©tournent leurs consultants du dĂ©sir de connaĂźtre l’auteur du malĂ©fice qui les accable – l’un des autres objectifs de cette position Ă©tant, bien sĂ»r, la mĂ©diatisation de la violence Il vaut mieux s’occuper de la personne que de savoir qui a fait ça », affirme Guirassy. Sans doute, aussi, ce repli est-il une consĂ©quence de la difficultĂ©, dans le contexte complexe d’une grande ville, Ă  dĂ©terminer un coupable alors que chacun appartient Ă  des rĂ©seaux multiples de relations. Centrer l’action sur la personne n’empĂȘche cependant pas la prise en compte de tout son entourage Ă  travers elle, il s’agit, comme le dit encore Guirassy, de maintenir des familles au bord de l’éclatement ». Cette restauration repose, en outre, sur un art de la mesure » et de la limite » faire un usage immodĂ©rĂ© d’un bain », de mĂȘme que, pour le marabout lui-mĂȘme, accĂ©der aux demandes excessives de certains clients47 risque d’avoir un effet contraire au but recherchĂ©. On retrouve ici les propriĂ©tĂ©s bien connues du pharmacon, Ă  la fois bĂ©nĂ©fique et malĂ©fique. 51MĂȘme si, dans la rĂ©alitĂ© de leur comportement, certains consultants se montrent sourds Ă  cette mise en avant des limites et avides d’assouvir coĂ»te que coĂ»te leur dĂ©sir, on peut apprĂ©cier combien ces termes d’ Ă©quilibre », de stabilitĂ© », de mesure » appliquĂ©s Ă  la personne, entrent en rĂ©sonance avec les buts de maintes pratiques contemporaines visant le bien-ĂȘtre individuel et le dĂ©veloppement personnel. 52Mais, au-delĂ  de cet idĂ©al de restitution de soi et de resocialisation, c’est une personne bien particuliĂšre qui se profile derriĂšre le travail » maraboutique, une personne dont la rĂ©ussite personnelle est considĂ©rĂ©e comme lĂ©gitime. C’est d’abord l’entreprise individuelle qui est valorisĂ©e Vous n’ĂȘtes pas fait pour travailler et attendre quelque chose Ă  la fin du mois », assure Diaby Ă  sa cliente qui veut ouvrir un commerce, entendant par lĂ  que l’initiative, l’autonomie, l’audace sont prĂ©fĂ©rables au salariat ; Gassama va plus loin dans ce sens Vous ĂȘtes fait pour gouverner, pas pour ĂȘtre commandĂ© », assĂšne-t-il Ă  son consultant dont tous les projets Ă©chouent. Notre marabout mĂ©diatique fournit, quant Ă  lui, une explication trĂšs Ă©clairante des malheurs qui lui sont soumis, qu’il attribue Ă  l’envie Quelqu’un qui commence Ă  briller, tout marche bien pour la personne et un moment on est trĂšs jaloux de cette personne, on passe par des travaux occultes pour bloquer sa chance [
]. » Il faut accepter la volontĂ© de Dieu, il faut savoir que quand quelqu’un est en avance, c’est le Dieu qui lui a donnĂ© cette chance, il ne faut pas que je lui en veux pour lui faire du mal et pour stopper sa chance [
]. » 53Ne trouve-t-on pas ici, dans l’islam des marabouts, un Ă©cho des thĂšses dĂ©fendues par Weber 1989 dans L’Éthique protestante et l’esprit du capitalisme, l’originalitĂ© Ă©tant que la sorcellerie est la ressource de ceux qui ne sont pas Ă©lus autant que de ceux qui le sont ? De fait, la recherche de protection contre cette sorcellerie qui pourrait faire descendre » l’individu est une constante trĂšs contemporaine dans la clientĂšle de bien des spĂ©cialistes de l’occulte, tels ces chamanes corĂ©ens Ă©tudiĂ©s par Kendall 1996 dans un article au titre trĂšs Ă©vocateur. 54Mais cette attention portĂ©e Ă  la personne nous oriente Ă©galement vers un autre rĂŽle du travail » maraboutique. Vers un autre rĂŽle 55Dans la conception maraboutique, la personne est soumise Ă  des forces qui peuvent ĂȘtre sources de malheur, et l’on a vu l’éventail de celles qui Ă©taient diagnostiquĂ©es Ă  Paris. Pourtant toutes ces sources ne sont pas qu’extĂ©rieures Ă  l’individu. Lui-mĂȘme peut ĂȘtre mis en cause. Ainsi, Ă  une femme anxieuse de savoir si son mari va revenir, TourĂ© rĂ©pond Tout dĂ©pend de vous. » À une consultante dont le couple se dĂ©fait, Guirassy assĂšne Il faut vous calmer. Vous ĂȘtes l’auteure de ces perturbations », dĂ©mentant nettement l’interprĂ©tation que celle-ci veut entendre et qu’elle suggĂšre il y aurait quelqu’un » – un ensorcellement – entre elle et son mari. Ici encore, chaque marabout a sa propre panoplie de causes, reposant sur des cultures individuelles, sur des analyses personnelles des attentes de leurs clients ; certains marabouts sont plus enclins que d’autres Ă  souligner le rĂŽle du consultant lui-mĂȘme et de sa subjectivitĂ© comme source premiĂšre de ses difficultĂ©s. TourĂ© va mĂȘme jusqu’à se gausser de ses propres collĂšgues qui ne parlent que de shejtan ou de sort. Mais en examinant de prĂšs le dialogue qui s’instaure dans les consultations, on constate que souvent plusieurs causes sont Ă©voquĂ©es en mĂȘme temps. Ainsi Ă  un homme que sa femme veut quitter aprĂšs 20 ans de mariage, Dabo rĂ©pond que cette derniĂšre est sous l’influence d’une tierce personne et qu’il va faire quelque chose » pour qu’elle change d’avis mais il demande aussi Ă  l’homme de rĂ©flĂ©chir, de changer d’attitude Ă  son Ă©gard
 Chez Anna qui Ă©choue aux examens alors qu’elle travaille beaucoup, Mohammed diagnostique un blocage » dĂ» Ă  son entourage
 mais il ajoute Vous ĂȘtes stressĂ©e, je vous demande de vous tranquilliser
 » C’est donc souvent un langage aux voix multiples que tient le marabout, oĂč la mise en cause d’un tiers n’exclut pas la prise en compte d’un individu responsable de ses propres actes. 56Il paraĂźtrait abusif d’attribuer l’émergence de telles causes au contexte parisien puisqu’elles existent depuis longtemps dans les villes africaines. De mĂȘme, il ne paraĂźt plus trĂšs pertinent, du moins plus trĂšs actuel de considĂ©rer, comme le fit naguĂšre AugĂ© 1975, que le passage de la conception persĂ©cutive » Ă  la culpabilitĂ© individuelle » s’explique par la modernitĂ© et l’urbanisation. Comme le montrent de rĂ©centes analyses menĂ©es dans les villes africaines Marie 1997a, le fait saillant est au contraire la variĂ©tĂ© et la coexistence des systĂšmes de rĂ©fĂ©rence. C’est bien cette mĂȘme tension que l’on peut constater Ă  Paris, dĂ©mentant toutes les conceptions trop linĂ©aires de l’évolution des sociĂ©tĂ©s. 57Mais cette mise en exergue du sujet individuel, contribue aussi Ă  modifier le rapport entre le consultant et son marabout, et Ă  confĂ©rer Ă  ce dernier un nouveau rĂŽle celui non plus ou non plus seulement de devin capable de rĂ©duire l’infortune, mais de nĂ©gociateur et de conseiller. Le temps des consultations parisiennes est Ă©maillĂ© d’exhortations intimĂ©es sur un ton d’autoritĂ© Ne vous laissez pas abattre », ou Je vous demande de ne pas vous inquiĂ©ter, mettez-vous dans votre tĂȘte que vous allez rĂ©ussir », ou encore Gardez confiance en vous ». Certains conseils sont mĂȘme prodiguĂ©s hors de toute divination Ce n’est pas une question de mĂ©diumnitĂ© », dit TourĂ©, qui donne Ă  sa consultante des arguments pour qu’elle rĂ©ussisse Ă  obtenir de son ami un mariage halĂąl, fait Ă  cette jeune fille des remontrances sur ses mauvaises relations avec son pĂšre Ă  propos d’un hĂ©ritage, incite cette jeune femme Ă  abandonner sa relation avec un homme mariĂ©. Il s’agit parfois simplement de dĂ©samorcer une crise Vous ne souffrez pas trĂšs gravement, ce n’est pas tellement dramatique » remarque Gassama. Sans trouver des causes occultes Ă  chaque question qui leur est soumise – et rĂ©sistant parfois, en cela, aux pressions de leurs clients – les marabouts se font les mĂ©diateurs d’une morale sociale issue de l’islam48, jouent les rĂŽles de conseillers et de consolateurs Il y a des gens qui ne supportent pas leur problĂšme, il faut les rassurer, les consoler » dit Diaby qui ajoute Partager sa douleur, en parler, c’est dĂ©jĂ  un pas vers la solution. » MĂȘme les marabouts du cabinet mĂ©diatique disent offrir le cĂŽtĂ© humaniste, un regard, une Ă©coute, un conseil moral pour attĂ©nuer la douleur »49. Qu’il soit bien ou mal assumĂ© par les marabouts, ce rĂŽle d’ Ă©couteur »50 que leurs consultants leur font jouer Ă  Paris n’est pas nĂ©gligeable, au point que certains se plaignent d’ĂȘtre dĂ©sormais consultĂ©s par leurs clients Ă  tout propos
 58On pourrait certes dire que, venus Ă  Paris pour voir quelque chose » et y gagner leur vie, les marabouts retrouvent dans ce nouveau contexte la fonction de nĂ©gociateur et de rĂ©gulateur de conflits qui est aussi souvent la leur en Afrique ; ce rĂŽle dĂ©borde celui de voyant dans lequel ils se sont coulĂ©s dĂšs leur arrivĂ©e en France. Mais cette interprĂ©tation est incomplĂšte car le fait marquant est que cette demande d’écoute et de conseil leur est faite par des consultants de toutes origines. Ainsi ce que Marie, jeune femme française, retient des marabouts qu’elle a longuement frĂ©quentĂ©s Ă  la suite d’un chagrin d’amour, ce n’est ni les divinations, ni le travail » qu’ils ont fait pour elle – travail envers lequel elle a d’ailleurs eu souvent un recul critique –, mais prĂ©cisĂ©ment les contacts chaleureux, les discussions, la disponibilitĂ©, la compassion, les encouragements. 59Dans la France contemporaine, oĂč la fragilitĂ©, l’instabilitĂ© marquent les vies ordinaires, ce rĂŽle jouĂ© par les marabouts – par eux mais aussi par bien d’autres personnages51 – semble traduire le fort besoin d’instances mĂ©diatrices ou de relais de mĂ©diation, mĂ©diations plus lĂ©gĂšres, plus improvisĂ©es, plus fugaces que les institutions existantes. Haut de page Bibliographie AubrĂ©e, Dynamiques comparĂ©es de l’Église Universelle du Royaume de Dieu au BrĂ©sil et Ă  l’étranger », in Bastian, F. Champion & K. Rousselet dir., La globalisation du religieux, Paris, L’Harmattan 113-124. 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Haut de page Notes 1 Il s’agit d’une Église nĂ©o-pentecĂŽtiste d’origine brĂ©silienne implantĂ©e Ă  Paris depuis 1992, dont les fidĂšles sont, depuis 1998, presque exclusivement d’origine africaine, voir Dard 2003. 2 Sur la constitution de cette clientĂšle, voir Kuczynski 2002 309 et sq.. 3 GeschiĂšre 1995 dans le cadre du Cameroun, Bubandt 2006 dans le cadre de l’IndonĂ©sie. 4 Comme c’était le cas dans l’ex-URSS. 5 Le matĂ©riau utilisĂ© rĂ©sulte d’une enquĂȘte intensive menĂ©e auprĂšs de marabouts parisiens dans les annĂ©es 1990 et poursuivie plus longtemps auprĂšs d’un petit nombre d’entre eux, ainsi que d’enregistrements d’émissions en direct sur deux radios communautaires de la bande FM l’une maghrĂ©bine, l’autre antillaise animĂ©es par un mĂȘme marabout – reprĂ©sentant une vingtaine d’heures et plus de 200 consultations. 6 Ce cas est analysĂ© en dĂ©tail dans Kuczynski 2007. 7 Dans son ouvrage concernant notamment l’économie du charisme dans cette ville, Soares 2005 134 cite, comme Gibbal, le cas d’un chauffeur particuliĂšrement bien protĂ©gĂ© », puisqu’il Ă©chappait aux accidents que l’état de sa voiture et des routes pouvait faire redouter. 8 En particulier ceux de DaniĂšle Hervieu-LĂ©ger 1999. 9 Voir Ă  ce sujet Benoist 1996 et une description de ce phĂ©nomĂšne au Cameroun dans Monteillet 2005. 10 Expression empruntĂ©e Ă  l’article d’Alain Marie 1997b, qui traite des liens qu’un individu noue ou cherche Ă  dĂ©nouer avec sa communautĂ© originelle. Sur les liens entre sorcellerie et migration, voir Bouly de Lesdain 1994. 11 Merci Ă  Constant HamĂšs pour cette information. Voir son article dans ce numĂ©ro. 12 Selon le TĂąrikh al-sudan xviie siĂšcle, la prospĂ©ritĂ© de la ville de DjennĂ© et de ses commerçants aurait Ă©tĂ© assurĂ©e par les actions et priĂšres de lettrĂ©s de la ville. 13 Du moins momentanĂ©ment
 14 En poular djilul. C’est le cas dans l’exemple de Khadi Ă©voquĂ© plus haut. 15 Contrairement au jet de cauris. Le listikhar arabe istikhĂąra est issu de l’incubation grecque. 16 D’au moins une nuit, nĂ©cessaire au rĂȘve. 17 LittĂ©ralement association » de l’islam avec d’autres pratiques. L’un des thĂ©ologiens qui a inaugurĂ© cette condamnation est le hanbalite Ibn Taymiyya 1263-1328. 18 Le terme ruqiya est dĂ©rivĂ© de la racine arabe signifiant faire des incantations. Sur les usages de la ruqiya dans les dĂ©buts de l’islam, voir HamĂšs 2007 37-40. Voir aussi la description de la formation et des pratiques d’un guĂ©risseur pratiquant la ruqiya dans Khedimellah 2007. 19 La doctrine salafiste la plus rigoureuse considĂšre la mĂ©decine prophĂ©tique dans sa totalitĂ© comme bid’a, innovation blĂąmable. 20 De la biographie de ces auteurs figurant en quatriĂšme de couverture, on peut dĂ©duire que ce livre n’est pas antĂ©rieur Ă  l’annĂ©e 1997. Les auteurs appartiennent au mouvement tabligh. 21 On trouve sur l’Internet un trĂšs grand nombre de sites dĂ©volus Ă  la ruqiya, indiquant pour des cas bien identifiĂ©s, les versets Ă  prononcer, les produits Ă  ajouter telle l’huile de graine noire », nigelle ». Certains de ces sites offrent mĂȘme la possibilitĂ© de tĂ©lĂ©charger des textes et des psalmodies de priĂšres de protection. 22 C’est le titre de l’émission que fit, dans les annĂ©es 1994-1995, un marabout sur les ondes d’une radio de la bande FM. 23 Les termes par lesquels sont dĂ©signĂ©s les personnes et les actes relatifs Ă  l’intervention des marabouts sont toujours euphĂ©miques. 24 L’attachement excessif de leurs clients Ă  un homme ou une femme qu’il s’agirait de faire revenir Ă  tout prix, ne manque pas de troubler bien des marabouts mĂȘme si, gagne-pain oblige, certains accĂšdent Ă  ces dĂ©sirs. 25 Dans l’islam maraboutique, les lieux souterrains, les seuils, les endroits trĂšs frĂ©quentĂ©s tels les marchĂ©s sont les repaires privilĂ©giĂ©s des gĂ©nies. 26 C’est le français qui sert de lingua franca Ă  la pratique maraboutique en France. 27 C’est d’ailleurs le terme attacher » qu’emploient les lycĂ©ens dont les propos et pratiques sont analysĂ©s dans Gibbal 1974 641. 28 La sourate CXIII, 4, condamne les souffleuses dans les nƓuds ». Certains marabouts utilisent cependant cette pratique, dont l’effet est censĂ© ĂȘtre plus rapide que la fabrication d’amulettes. On retrouve ici le souci du gain de temps imposĂ© par le contexte parisien – qui a cependant son revers car les actions rapides sont rĂ©putĂ©es peu durables. 29 Qu’on pense, par exemple, au nouage de l’aiguillette, malĂ©fice connu dans la tradition europĂ©enne mĂ©diĂ©vale, visant Ă  rendre un homme impuissant. 30 Version ouest-africaine de l’arabe djinn. 31 Mais dans certains cas particuliĂšrement rĂ©calcitrants, lorsqu’il s’agit de faire du mal, ce sont des djinns peu recommandables qui sont invoquĂ©s, avec une demande de pardon faite Ă  Allah, voir un exemple dans Kuczynski 2007. 32 Il s’agit du nom propre de la personne et non de son patronyme. 33 Ils ne coĂŻncident souvent pas avec les orifices du corps humain, et le degrĂ© d’efficacitĂ© de chaque point cerveau, os, moelle, etc. varie selon les marabouts. 34 C’est-Ă -dire qu’il n’est plus conscient de ce qu’il fait. 35 Au sens de la witchcraft d’Evans-Pritchard. 36 Il faut noter que le terme de soucougnan est employĂ© dans ce sens aux Antilles, voir Henry Valmore 1988 72. 37 L’auteur Ă©voque le milieu dakarois. 38 Sourates CXIII et CXIV. 39 En arabe, l’une des dĂ©signations du malheur est banĂąt giyar filles des vicissitudes du sort Sublet 2003 286. 40 C’est ce type de cas que l’on dĂ©signe au SĂ©nĂ©gal par maraboutage ». 41 Voir remarque identique Ă  propos de l’action malĂ©fique en milieu camerounais parisien dans Bouly de Lesdain 1994 158. 42 D’aprĂšs le manuel signalĂ© ci-dessus. 43 Dont l’une des formes est la fragilitĂ© des couples. 44 Voir Ă  ce sujet Sublet 2003 qui commente 72 mĂ©taphores dĂ©signant le malheur en arabe. 45 Sur le contenu des talismans et des textes employĂ©s, voir HamĂšs 1997. 46 Toutes matiĂšres qui, par ailleurs, sont bonnes Ă  sacrifier c’est en principe la divination qui indique le type d’offrande nĂ©cessaire. 47 Ce que, cependant, certains marabouts, pris par la pression de la clientĂšle et du marchĂ©, ne manquent pas de faire. 48 Morale parfois assouplie au regard de la stricte norme islamique. 49 1995, sur les ondes de la radio France-Maghreb. 50 RĂŽle qu’on ne peut confondre avec celui d’un psychothĂ©rapeute, quel qu’il soit, mĂȘme si ce rĂŽle de conseiller repose partiellement sur une fine observation des gestes, des dires du consultant. 51 Qu’on pense, par exemple, Ă  l’essor du de page Table des illustrations Titre BĂ©nin, Fon bĂČcyɔ́ pour empĂȘcher un supĂ©rieur de revenir sur la faute d’un subordonnĂ© LĂ©gende bĂČcyɔ́, littĂ©ralement bĂČ, objet dont la puissance est activĂ©e par un traitement particulier et cyɔ́, enveloppe corporelle du mort, son dĂ©signe toute reprĂ©sentation humaine sculptĂ©e, et est toujours considĂ©rĂ©e comme une chose-dieu, Ă  la fois singuliĂšre mais reproductible, dont la puissance tient plus Ă  sa prĂ©sence qu’à ses facultĂ©s de reprĂ©sentation. Voir Jean Bazin, Retour aux choses-dieux », in C. Malamoud & Vernant dir., Corps des dieux Le temps de la rĂ©flexion, 7, pp. 253-273, 1986. URL Fichier image/jpeg, 108k Titre BĂ©nin, NagĂŽ, bĂČcyɔ́ pour tuer un ennemi URL Fichier image/jpeg, 100k Titre Sud-Togo, Ewe, bĂČcyɔ́ pour unir un couple pour la vie URL Fichier image/jpeg, 116k Titre Sud-BĂ©nin, Aja-Fon, bĂČcyɔ́ pour unir un couple pour la vie URL Fichier image/jpeg, 102k Haut de page Pour citer cet article RĂ©fĂ©rence papier Liliane Kuczynski, Attachement, blocage, blindage », Cahiers d’études africaines, 189-190 2008, 237-265. RĂ©fĂ©rence Ă©lectronique Liliane Kuczynski, Attachement, blocage, blindage », Cahiers d’études africaines [En ligne], 189-190 2008, mis en ligne le 08 avril 2011, consultĂ© le 17 aoĂ»t 2022. URL ; DOI Haut de page Droits d'auteur © Cahiers d’Études africainesHaut de page
Search Tu Me Manques Tellement Message. Voici une merveilleuse liste des sms et message d'amour pour dire tu me manque Message pour dire tu me manques La Terre peut s'arrĂȘter de tourner, les oiseaux s'arrĂȘter de chanter et les poissons arrĂȘter de Mon fils Eurico , parti beaucoup trop tĂŽt, le 1 mars 2016 What does 'Tu me manques tellement mon magnifique garçon' mean in PubliĂ© le 2 Juillet 2015 par Parmi les versets du Saint Coran, nous avons les versets dit "invocations exaucĂ©es", ces versets sont tellement puissants vue leur portĂ©e historique, mais, aussi, leur preuve en matiĂšre de manifestation des miracles dans la solution spirituelle. Aujourd'hui, je vais partager un peu sur les vertus et secrets du verset Abrahamique, son historique et comment le pratique. Lisez attentivement jusqu'Ă  la fin. Historique du verset Abrahamique Abraham selon l'appellation Judo-chrĂ©tienne et Ibrahim selon l'appellation Islamique a une place on ne peut plus important dans l'histoire des religions. L'histoire de ce prophĂšte ne sera pas longue dans cet article. Nous allons faire court, et mĂȘme trĂšs court. En rĂ©sumĂ©, Ibrahim vivez dans une citĂ© IdolĂątre avec ces parents. Il faut dire que la population de cette citĂ©e Ă©tait des IdolĂątres, en d'autre terme des gens qui adorent des statues, et autres objets physiques. Lorsqu’on envoya le prophĂšte Abraham vendre des statues, une fois sur la place du marchĂ© il chanta " Qui d'autre veut acheter ce qui ne lui servira Ă  rien". On peut dire que c'est une façon plutĂŽt curieuse de faire du marketing...Et de surcroit, il trainait sa marchandise supposĂ©e ĂȘtre des dieux au sol. Il traitait mal les dieux des idolĂątres et ces derniers dĂ©cidĂšrent un jour de mettre fin Ă  ces agitations qu'ils jugeaient blasphĂ©matoire Ă  l’égard de leurs Dieux. SĂ©ance tenante, chaque personne de la citĂ© vint avec un morceau de bois et on alluma un grand feu dans lequel on jeta le prophĂšte Abraham paix et bĂ©nĂ©diction sur lui. Dans les flammes ardentes, il a remis son destin entre les mains de Dieu par ce terme "ASBOUNNALLAHA WANIMAL WAKILOU". C'est une courte invocation qui fut si puissante que Dieu envoya l'ange Gabriel pour transformer cette chaleur dans laquelle il se trouvait en un lieu paisible et frai. C'est la naissance du verset Abrahamique. Plus tard, le prophĂšte Mohamed Paix et BĂ©nĂ©diction sur lui conseilla ce verset Ă  tous les croyants qui se trouveraient dans des situations dĂ©licates de l'utiliser comme invocation exaucĂ©e. Les vertus du verset abrahamique Vous venez d'apprendre un peu sur la naissance du verset Abrahamique. Maintenant, nous allons parler de ses vertus. Comme tout verset, il existe des vertus cachĂ©s et nous ne transmettons que ce que nous pouvons. Le verset en lui mĂȘme est celui de la sourate Al-Imran, sourate 3, verset 173. Le verset complet dit " Certes ceux auxquels l'on disait "Les gens se sont rassemblĂ©s contre vous; craignez-les" - cela accrut leur foi - et ils dirent "Allah nous suffit; Il est notre meilleur garant". Mais la partie connue pour le zikr est " ASBOUNALLAHA WANIMAL WAKILOU" qui n'est qu'un bout de ce verset. " ASBOUNALLAHA WANIMAL WAKILOU" veut dire ==> "Allah nous suffit; Il est notre meilleur garant" Ce verset a deux grandes vertus 1. Protection 2. RĂ©ussite et Ă©volution Cas de protection avec le verset Abrahamique On rĂ©cite le verset Abrahamique au moins 50 fois par sĂ©ance de priĂšre, ce peut-ĂȘtre les priĂšres quotidiennes, ceci Ă  titre prĂ©ventif. Mais si vous ĂȘtes harcelĂ© par des gens qui sont potentiellement dangereux et vous craignez pour votre vie, vous passez Ă  la vitesse supĂ©rieure en rĂ©citant ce verset 450 fois chaque jour de prĂ©fĂ©rence la nuit comme suit 400 puis 50. De la base vers le sommet. Cas de rĂ©ussite et Ă©volution avec le verset Abrahamique Pour rĂ©ussir, il s'agira de le rĂ©citer pendant plusieurs jours 450 fois, comme suit 50 fois, puis 400 fois. Donc, du sommet vers la base. C'est une technique de rĂ©citation enseignĂ©e dans des Ă©coles hermĂ©tiques. Bien sĂ»r, il faudra Ă  chaque sĂ©ance ajouter une invocation de votre choix et dire votre vƓu. C'est aussi simple que ça. Ce verset a fait des miracles pour les autres et je vous le conseille vivement de l'intĂ©grer Ă  votre tour dans vos invocations de tous les jours. Vous verrez des grandes changements s'opĂ©rer au fur et Ă  mesure et surtout, restez dans le droit chemin car, Dieu n'Ă©coute pas les malhonnĂȘtes, les ingrats, ceux qui consomment des choses acquises de maniĂšre illicite. J'ai donnĂ© une bonne vertu de verset Abrahamique dans la solution spirituelle dans cet article. Maintenant, si vous voulez aller plus loin dans la pratique avec ce verset, hĂ© bien, lisez mon document " comment prier avec puissance quand on est musulman". Vous y apprendrez non seulement plus d'information sur ce verset et comment l'utiliser de maniĂšre approfondie, mais, aussi, comment utiliser le verset de Jonas et bien d'autres secrets encore. Il ne me reste plus qu'Ă  vous souhaiter bon Zikr et surtout, partagez cet article avec les gens que vous aimez et vos poches. BARAKALLAHOU FIKOUM

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Filde discussion: Peut-on changer notre Destin? (Lu 3258 fois) 0 Membres et 1 InvitĂ© sur ce fil de discussion. Djib # 69007. Membre rĂ©gulier Hors ligne Sexe: Âge: 31 Localisation: lyon Messages: 75. Peut-on changer notre Destin? « le: Octobre 08, 2008, 11:53:45

Lesinvocations peuvent-elles changer le destin Assalam alaykoumMon mari est parti et m’a laissĂ©e seule avec trois enfants Il ne prie pas je lui ai demandĂ© de revenir pour arranger nos problĂšmes mais il refuse de revenir Il m’a divorcĂ©e sans raison valables On a eu des problĂšmes comme tous les couples Je fais beaucoup d’invocations pour qu’il revienne Je suis dĂ©primĂ©e et 2cOHP.
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