Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles" Accueil; Articles; Photos; Articles. Tous les articles; Album photos. Toutes les photos ; Diaporama; Membres. 4 membres. Pour être tenu au courant des futures mises à jour du blog et y participer, inscrivez-vous: S'inscrire au blog. A découvrir. Tous les partenaires; Proposer un partenaire; Politique de confidentialité du blog Ce Il y a pire que le bruit des bottes, le silence de pantoufles. » Par cette citation de l’écrivain suisse Max Frisch, l’historien Richard Vassakos illustre le danger du laisser-faire face aux stratégies d’extrême droite. Le 9 février à Béziers, des syndicalistes des villes d’Occitanie que gèrent des maires du RN ou proches de lui et des membres de Visa* ont dépeint les similitudes de leur gestion. Similitudes qu’une brochure** qui sera distribuée dans les boîtes aux lettres résume. De Beaucaire à Béziers et de Perpignan à Moissac Tarn-et-Garonne, tous relèvent des attaques contre le service public » Yvan Clariana FSU Béziers, des brutalités contre les personnels » Patricia Barbazange CGT Béziers, des bouffées de racisme en conseil municipal » Françoise Akoum, Réagir pour Beaucaire et un pouvoir illimité » sur la gestion du personnel de plus en plus soumis à l’arbitraire » Jean Boucher CGT Perpignan. La montée des nationalismes et de la question identitaire chez les élèves » que dénonce Yvan Clariana, Jean Boucher la résume ainsi Dans toutes ces mairies, la politique est à l’ultra-chauvinisme. » Ce qui amène Louis Aliot à nier la catalanité de Perpignan, en supprimant tout ce qui rappelle la Catalogne dans le blason de la ville ou en interdisant le drapeau sang et or lors d’une manifestation catalane. Même chose à Beaucaire où le drapeau de la ville a disparu du blason remplacé par des références religieuses. Le catholicisme, c’est le dada de tous. Tous ont placé des crèches dans leur hôtel de ville. Au début, le sous-préfet de Béziers intervenait pour faire respecter la loi, rappelle Mathilde Vidal Solidaires, désormais même les décisions de justice sont ignorées. » L’apathie de l’État Une apathie de l’État » qui interpelle » Richard Vassakos. À Béziers, dit-il, même les cérémonies patriotiques ont été christianisées. Il ajoute Ceux qui vont à la messe dans les arènes ne le savent pas, mais ils intègrent une sorte de "nous chrétiens" face à "eux" dont on imagine qui ils sont. » Son dernier livre La croisade de Robert Ménard chez Libertalia dissèque d’ailleurs la manière subtile » qu’a ce dernier de réécrire l’Histoire au profit de ses idées particulièrement de la NostAlgérie » et de la haine du 19 mars qui a mis fin à la guerre coloniale. Et Daniel Kupferstein Visa34 de dénoncer cette convergence de gestion des mairies brunes » qu’il ne faut surtout pas laisser passer. On a besoin d’unité et de se retrouver dans l’action », résume Jean Boucher contre le tremplin vers le pouvoir central que représentent ces mairies brunes ». *Vigilance et initiatives syndicales antifascistes. ** S’armer contre l’extrême droite » 3€ dispo le 12 février. Interviewréalisée à la fin de l'année 2017 avec le président du parti Ecolo Patrick Dupriez
Je trouve cette phrase célèbre tellement d' repensais justement à un pote quand cette phrase m'est venu, dès qu'on lui posait des questions sur un sujet d'actualité genre le mariage gay, le hallal à l'école, la gay pride il me disait toujours "bof, tu sais, moi je m'en fous, les gens font ce qu'ils veulent etc...Bordel c'est tellement la solution de facilité ça Cette manière un peu vicieuse de vouloir toujours préserver la paix sociale, pendant que certains souffrent en silenceA croire qu'aujourd'hui en France prendre partie, même modérément, c'est déjà un tort
Ily a pire que le bruit des bottes, c'est le silence des pantoufles Le 25 octobre 2017 le collectif a envoyé une lettre aux élus ayant voté la loi « renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme » (Messieurs Blanchet, Bouyx, Levigoureux,
Une comédie mordante par le Théâtre des Osses, compagnie associée au domaine d’O depuis 2009, sur le thème de l'aliénation de l'homme moderne, empêtré dans ses certitudes et sa bonne conscience “petit bourgeois” qui peut se résumer ainsi “Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles”. Au royaume de la normalité tranquille et rassurante, celle de Monsieur Bonhomme, petit industriel à la morale bizarrement biseautée, toute vérité n’est pas bonne à dire. Theodor Bonhomme se veut irréprochable, avec son associé qu’il gruge pourtant, muni de la meilleure conscience du monde, avec sa femme qu’il protège, avec sa bonne qu’il rudoie, pour le bien de la maisonnée, bien entendu. Et face à l’inhumanité de deux incendiaires sans foi ni loi, Monsieur Bonhomme continue de clamer son humanité. Absolument transparents, les deux guignols pyromanes dévoilent pourtant leurs sinistres projets, cyniquement, clairement. Tellement clairement que Monsieur Bonhomme regarde ailleurs, pense à autre chose, à lui, à son rang, à sa grandeur d’âme. Ecrit en Suisse dans l’insouciance des années 50, Monsieur Bonhomme et les Incendiaires peut se résumer par la terrible phrase de son auteur, Max Frisch, Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles ». Texte paru aux éditions de l’Arche Mise en scène Gisèle Sallin Avec Roger Jendly, Anne-Marie Yerly, Yann Pugin, Olivier Havran distribution en cours En partenariat avec la Librairie Le Grain des Mots, le domaine d’O vous propose de retrouver l'ouvrage Monsieur Bonhomme et les Incendiaires à la librairie 13, bd du Jeu de Paume - 34 000 Montpellier et au théâtre d’O le soir de la représentation. Max Frisch En Suisse et en Europe, 2011 a été l’année Max Frisch. Né le 15 mai 1911 à Zurich, où il est mort en 1991, Max Frisch est considéré comme un auteur classique dans de nombreux pays, la France faisant exception, ne lui ayant toujours pas accordé la place qu’il méritait. Germanophone, il fait partie, avec son concitoyen Friedrich Dürenmatt, des auteurs majeurs de la littérature de langue allemande de l’après-guerre. Auteur de romans, de théâtre, Frisch a débuté dans la vie comme architecte. Menant pendant près de 15 ans une double carrière d’écrivain et d’architecte, il se consacre définitivement à l’écriture à partir de 1955 et produit très vite ses plus grandes oeuvres Je ne suis pas Stiller en 1954, Monsieur Bonhomme et les Incendiaires en 1957, Homo Faber en 1958, des textes où il explore le thème de l’aliénation de l’homme moderne.
Lamême nuit, d’autres tags, hostiles ceux-là à l’aéroport nantais de Notre-Dame-des-Landes ont été peints sur des murs de l’hôtel-de-ville de Poitiers. Ils ont été effacés par les services municipaux. Publié par des larbins de la maison Poulaga (lanouvellerepublique.fr, 30
Par Karen BertailPublié le 12/06/2021 à 14h03Mis à jour le 13/06/2021 à 16h22 Samedi 12 juin, une centaine de Landais a répondu, place Saint-Roch à Mont-de-Marsan, à l’appel national à manifester pour les libertés et contre les idées d’extrême droite ». Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles », voici l’un des slogans brandis, samedi 12 juin, sur la place Saint-Roch à Mont-de-Marsan. Ils étaient près de 100 à se réunir, vers 10 heures, pour lutter contre les idées d’extrême droite. Côté politique, le Parti communiste, Europe Écologie les Verts EELV, la France Insoumise et le parti ouvrier indépendant démocratique étaient présents tout comme le syndicat CGT union départementale des Landes, des associations Attac, le Mrap ou encore la Fédération syndicale unitaire. Il s’agit aujourd’hui de mener une action de sensibilisation pour aider le public à déconstruire les idées de l’ extrême droite, annonce Gérard Kerforn, coprésident de la Fédération des Landes du Mrap. Ce n’est pas tant pour la manifestation que pour l’information du public, via la distribution de tracts et les crieurs publics. » Certains n’ont pas manqué de donner l’exemple de l’interdiction de distribution de tracts ou la vente du quotidien L’humanité », à Dax, fin mai. Une porosité flagrante »Le coprésident poursuit Notre but est de donner des arguments, de décoder les idées de l’extrême droite pure et dure mais aussi les thèmes, les petites phrases qui en font le lit, contre cette porosité flagrante qui déroule le tapis rouge au Front national. »Parmi les supercheries dénoncées L’extrême droite qui seraient plus laïque que laïque ». Faux, rétorquent les manifestants. Derrière un discours pseudo-laïque, leurs vieilles obsessions xénophobes et identitaires restent. Ils instrumentalisent la laïcité pour stigmatiser ceux qu’ils appellent les étrangers, ferments habituels du racisme. » Laurence Motoman, d’EELV, par ailleurs candidate aux élections régionales, a partagé Liberté, Égalité, Fraternité, ces trois mots sont inscrits sur la façade des bâtiments de la République française. Et, il est temps d’y ajouter solidarité et respect. » Elle en appelle à la raison plutôt qu’à la force et à la pédagogie et la prise de conscience plutôt qu’à la violence et au conditionnement instrumentalisant les peurs des citoyens. »
LaNavrance humaine. “Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles.”. M. Frish. Je suis née à l'époque des épidémies. Le petit voisin en face de chez ma grand-mère avait la Polio, ils le baladaient dans une charrette, à l'époque il n'y avait pas de fauteuils roulants. Ses jambes mortes pendaient dans le vide, c'était - dictées - littérature - listes - liens recommandés -> retour Littérature germanophone <-Autre littérature Littérature japonaise retour page d'accueil FRISCH Max 15/05/1911 - 04/04/1991 Max Frisch est un des auteurs suisses allemands majeurs de l'après-guerre. "Dans son œuvre, Frisch a particulièrement prêté attention aux problématiques d'identité personnelle, de morale et d'engagement politique. L'ironie est une caractéristique significative de ses publications d'après guerre. Pire que le bruit des bottes, le silence des pantoufles » est une célèbre phrase de cet écrivain." wikipedia Correspondant pour le journal Neue Zürcher Zeitung., il voyage en Europe. Puis, il devient architecte. En 1942, il se marie une première fois il aura de ce mariage deux fils et une fille. Il fait la connaissance de Brecht et de Dürrenmatt en 1947. En 1951, il passe un an aux Etats-Unis. En 1954, il quitte sa famille. Entre 1958 et 1963, il entretient une liaison avec Ingeborg Bachmann ; puis il se marie avec une jeunette une étudiante de 23 ans ; ensuite, il rencontre une autre femme. Il décède d'un cancer. Merci wikipedia. - La Guerre était finie Als der Krieg zu Ender war. 125 pages Editions de l'Aire. Traduit de l'allemand par Pierre Sabatier. "" Le premier tableau se déroule dans une buanderie au sous-sol d'une maison. On voit Agnès, assise. Gitta est debout. "" "" pages 7-8. Agnès voit une silhouette c'est son mari, Host Anders, qui revient se cacher dans la buanderie. Gitta, elle, attend toujours son mari. Reviendra-t-il ? Le mélange du présent de Gitta et du passé d'Agnès, qui a expliqué comment Horst est revenu, fait un effet très curieux. A l'étage, on entend de la balalaïka ce sont les Russes qui sont là. Savent-ils que des Allemands se cachent en bas ? "" On frappe à la porte. Tous se cachent, sauf Agnès, qui ouvre. C'est Jehuda, un Juif qui est chargé par les Russes de trouver des bouteilles. Les Russes vont vite savoir que des Allemands se cachent en bas "" page 27 Un texte pas inintéressant, que l'on lit sans ennui - mais qui n'est pas vraiment marquant non plus - sur l'occupation russe et américaine, et le passé que l'on ne peut oublier de ceux qui ont fait la guerre, et parfois pire. Ce n'est sans doute pas l'oeuvre idéale pour aborder l'oeuvre de Max Frisch. - Retour à la page Littérature germanophone - hvOcTlx.
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